Alors, prenez quatre joueurs autour d'une table : l'un commence, pose une carte sur la table, bien visible aux trois autres, qui doivent, si possible, jouer une carte de la même couleur. La levée est attribuée à celui des quatre joueurs qui a joué la carte la plus forte, dans la couleur proposée par le premier ; le vainqueur ramasse le tout. Et treize levées, ça fait un grand chelem. Disons ch'lem, d'ailleurs. Pas chien, le bridge partage l'expression avec le rugby (et autres sports, comme le tennis). Les lycéens l'ont même récupérée pour leur compte, le "grand chelem" est le fait de redoubler toutes ses classes, et donc de faire six ans là ou un "bon" élève n'en fait que trois, n'est-ce pas !?!
Vous êtes sans doute entrain de vous dire, mais où il veut en arriver ?
Oh rien, je dis ça comme ça... en attendant que le général nous ponde son compte rendu !
Sinon, vous pouvez aussi allez voir ici ou ici pourquoi les écossais ont toujours leur plaide sur eux.




3 commentaires:
Here, is "Scots wha' hae'" (Scots who have) written by Robert Burns as he imagined Robert the Bruce addressing his troops at Bannockburn.
Traduction ... les paroles qui accompagnent l'air de cornemuse.
Ce serai peut-être bien de les connaître pour le prochain déplacement.
Scots wha' hae'
Scots, wha hae wi' Wallace bled,
Scots, wham Bruce has aften led,
Welcome to your gory bed
Or to victorie!
Now's the day, and now's the hour:
See the front o' battle lour,
See approach proud Edward's power
Chains and slaverie!
Wha will be a traitor knave?
Wha can fill a coward's grave?
Wha sae base as be a slave?
Let him turn, and fleel
Wha for Scotland's King and Law
Freedom's sword will strongly draw,
Freeman stand, or freeman fa',
Let him follow me!
By Oppression's woes and pains,
By your sons in servile chains,
We will drain our dearest veins
But they shall be free!
Putain, quel talent ce Walid ! Parce que franchement, je voyais pas où tu voulais en venir avec ton bridge à la con ! Par contre quel doigté dans la définition ! mais dans tout ça le général il est où bordel !
En fait, c'est moi l'anonyme ; on va pas rester sur un malentendu à la con ô mon libanais magnifique.
le barde
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