Le pré se partagera dans une aire de l’en-but au demi. Comme quoi l’entrainement porte ses fruits. Nous remplissons de plus en plus de surface. La Chalosse dans son jeu d’ouverture aime les petits trous et ses grands espaces. A que la vie belle quand la gonfle va à l’aile. Julien va mieux, il a retrouvé ses deux mains pour protéger son ballon.
La douche et direction le trou. C’est le Barde et Hamilton qui régalent !
Le trou fera salle comble. La machi
ne à pression l’enlève aux coureurs. La clé n’a plus besoin de serrure. Question de magnétisme animal. La magie est dans le mélange. Poulet se questionne si derrière tout castor ne sommeille pas une morue. L’entrée se fera en donc salade. Des joueurs en surface et des honoraires en profondeur. Fayouze est un gardien. « Tout fout le toucan » pour nos honoraires prêts pour en découdre pour la fête de la Morue. Amélie bichonne ses poulains, il joue à domicile, pendant que nos artistes taquinent l’asperge. Notre Barde est un poète et notre Hamilton un artiste. Le symbole donne du mot à l’image et réciproquement. Les deux ne nous racontent plus de salade mais nous inspire dans le sublime de la découpe. Points de morceaux quand le mélange des couleurs nous met au vert. Le printemps est un été en devenir. Les couleurs font légumes de saison, du rouge, du vert, du blanc, du jaune, pour une fameuse mise bouche. Le liant un sabite éternel. Notre Barde à chaque verre donne du vers à retordre. Chaque lecture mérite sa prose.
ne à pression l’enlève aux coureurs. La clé n’a plus besoin de serrure. Question de magnétisme animal. La magie est dans le mélange. Poulet se questionne si derrière tout castor ne sommeille pas une morue. L’entrée se fera en donc salade. Des joueurs en surface et des honoraires en profondeur. Fayouze est un gardien. « Tout fout le toucan » pour nos honoraires prêts pour en découdre pour la fête de la Morue. Amélie bichonne ses poulains, il joue à domicile, pendant que nos artistes taquinent l’asperge. Notre Barde est un poète et notre Hamilton un artiste. Le symbole donne du mot à l’image et réciproquement. Les deux ne nous racontent plus de salade mais nous inspire dans le sublime de la découpe. Points de morceaux quand le mélange des couleurs nous met au vert. Le printemps est un été en devenir. Les couleurs font légumes de saison, du rouge, du vert, du blanc, du jaune, pour une fameuse mise bouche. Le liant un sabite éternel. Notre Barde à chaque verre donne du vers à retordre. Chaque lecture mérite sa prose.
L’hymne à Dudu fera chabrot sans soupe. L’honoraire a trop honoré, n’honore plus. Il se préserve pour la gonfle. Il cultive d’autres mets moins nourricier mais plus ludique dans un jeu de passe, toute son essence est là. Il siègera au bout auprès de nos cuistots. Piou dans l’hymne ne voit qu’un éloge à la morue. Didier, Poulet, Alain veulent apparemment en découdre. Ils sont sur le pas de tir. Heureux de les avoir en mode action. « Qui a dit que les honoraires ne peuvent plus cuisiner ? »
La suite donnera de l’asperges aux idées et des boulettes de viande faisant passer de la chair à la saucisse à la chair de poule. David trouve du doigt dans cette saveur comme Michel Ange en aurait accordé à la chapelle Sixtine. Le rencontre est simple et se sublime dans notre palais. Notre Pinson en extase, implore son saint Zinzin. Le service se fera jusqu’à la disparition. Point de miracle sans ascension, point d’ascension sans asperge. Tout compte fait Peter aurait annoncé une Calzone, une asperge, une ascension, une boulette, un plat de seconde ligne comme on en fait plus !
Le lancer d’assiette se fera en tirs croisés. Le panache est un art dans le découvrir. Le jeu mérite son spectacle mais la découverte rendra inaccessible la cuillère de bois. Le bris fait foi.
Le fromage un florilège de saveur. Le dessert des fraises et son nuage de chantilly. Le trou est aux anges et mure pour des saveurs de menthe.
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