Par Bardibulle
Dernière de la saison et c’est la sortie des classes. Les saisons se suivent et ne se ressemblent, et ce mardi l’UBB est en FINALE ! Il faudra attendre vendredi mais l’UBB est en finale, quel top ce 14 ! Ils joueront ce vendredi où tout est permis. Pour l’occasion les castors se sont donné rendez-vous pour pousser les troupes et taquiner une dernière fois la gonfle. Grognard est sur place. Il fait parti de nos grognards. N’est pas grognard qui veut chez les castors ! Il découvre la relève et quelle relève ! Il est neuf et ancien et sa présence sent bon l’été et surtout sent bon la pala. Notre Barde astique de son côté ses boules. Il pointe en hémistiche, sa brillance dans les rondeurs. La poésie en vers et contre tous n’est qu’une évasion dont la caresse n’est que boules en action. Si le cochonnet était ovale est-ce que pointer ne serait pas le sens même du bienheureux. L’opportun est une affaire d’intention pour l’instant sur le pré ça tire et le kiki se pointe ! Dudu est un castor en honoraire, à chaque tour de chauffe il jubile de sa transmission et de toutes ses feintes potentielles.
Les pronostics sont de mises, champion, or not champion. Le Tarlouzain semble avoir une certaine expérience et sur la question ne prête maintenant qu’une certitude au doute. Du côté de Musard pour l’instant ça pointe. Les gambettes ne sont point avares et les essais iront d’un camp à l’autre.
La douche de décompresse, direction le trou, ce soir c’est Olive qui réceptionne.
Le cuistot est un challenger, sa mise en orbite tient dans ses offrandes. Il chasse la cuillère et le sanglier. Piou sur cette question le garde à l’œil, Jacquouille sait pourquoi ! Il culmine sur les monts du Médoc et sa devise tient dans les garnitures du trou. Il aura un commis, la batterie en cuisine est une affaire de castors. Et le combat du soir nécessite de faire équipe. Mais la relève a mis la barre haute voire très haute, l’union fait la force et ce soir le duo enverra du bois. Les pintxos de la semaine dernière ont fait trace et l’entrée se fera en mange debout. Le bar termine les futs, l’été libère la pression. A croire que les castors ne veulent plus manger à table. Pépé à 22h pétante crie à table. Il va falloir changer le texte en « mange-debout ». Grognard sera notre commis d’office au bout de table au milieu. Le milieu est une affaire d’équilibre, et le plus ancien tiendra le bon bout en son centre. Pour la suite il faudra s’asseoir, la chalosse dans le magret il s’y connait. Assis les castors, regardez, dégustez, savourez, ça c’est le trou. Magret Rosini, le Tcho aurait fait le rossignol sur la question. Les légumes de saisons et services à l’assiette, le médoc est une médecine en oc’. La table est grande, tant mieux les castors sont en nombre. Au bout Fayouze demande une nouvelle dose. Le rappel du médoc donne un véritable bon vivre à la santé du trou. Le bon trou fait le bon vivre, con se le dise !
Le lancer annonce une mise en satellite. La voie lactée tient du voyage et le Médoc garde ses montagnes cachées. Olive dans la découpe joue premier centre. Le dessert à la carte une nouvelle fois, Monsieur est un ambassadeur des délices sucrés.
Le trésor s’occupe des comptes. Les castors se rapprochent du comptoir, la mise au vert mérite une pastille. Le trou sent bon l’été.
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