Par Le Barde
Il n'y avait personne. Personne pour faire la bouffe. Alors Traiteur est venu. Il est gentil Traiteur. Et il fait de la bonne bouffe. Quand il n'y a personne, il y a traiteur, et c'est bien. Même s'il faudra tirer un trait sur lui afin que personne devienne quelqu'un. C'est quelqu'un, pourtant, Traiteur mais cela ne suffit pas pour en faire un castor. Car Traiteur jamais ne sera un castor.
Sur le grand tableau des repas, on trouve enfin des noms. Exit Traiteur. Quelques trous encore à combler et le tour sera joué.
Traiteur nous fit une salade de riz, des côtes de porc avec de grosses pennes, des lamelles de fromage (sans lancer d'assiettes puisque traiteur est personne) et des tartes aux fruits. Par contre, Jacky dédaigna le café. Jacky, il n'aime pas officier après personne. Peut-on lui en vouloir ? Pas de pression non plus. Le bar a tout d'un fantôme. Le bar, c'est personne. Traiteur, au moins, il fait sa bouffe même s'il n'est personne.
De jeunes pousses avaient rejoint le trou qui avait des airs de jouvence. Lolo était de retour. Jean-Philippe avait un look maori. Affaire de coiffure sans doute. Il nous épargna son haka. A tort. Corsenac était là, et c'est bien lorsque Corsenac est là.
Sur le pré de Bergonié, il y eut bien quelques chamailleries. Mais les jambes étaient alertes. Les mains un peu moins. La faute à la chaleur moite d'un automne radieux ?
Ce fut une bonne soirée. Rendons grâce à Traiteur et accordons lui d'être stagiaire pour boucher les trous. Et que personne ne regimbe. Traiteur, il a sa place parmi nous. Ce mardi en fut l'éclatante illustration. Loué soit celui qui se substitua à personne. Le trou a horreur du vide, c'est bien connu.
Sur le grand tableau des repas, on trouve enfin des noms. Exit Traiteur. Quelques trous encore à combler et le tour sera joué.
Traiteur nous fit une salade de riz, des côtes de porc avec de grosses pennes, des lamelles de fromage (sans lancer d'assiettes puisque traiteur est personne) et des tartes aux fruits. Par contre, Jacky dédaigna le café. Jacky, il n'aime pas officier après personne. Peut-on lui en vouloir ? Pas de pression non plus. Le bar a tout d'un fantôme. Le bar, c'est personne. Traiteur, au moins, il fait sa bouffe même s'il n'est personne.
De jeunes pousses avaient rejoint le trou qui avait des airs de jouvence. Lolo était de retour. Jean-Philippe avait un look maori. Affaire de coiffure sans doute. Il nous épargna son haka. A tort. Corsenac était là, et c'est bien lorsque Corsenac est là.
Sur le pré de Bergonié, il y eut bien quelques chamailleries. Mais les jambes étaient alertes. Les mains un peu moins. La faute à la chaleur moite d'un automne radieux ?
Ce fut une bonne soirée. Rendons grâce à Traiteur et accordons lui d'être stagiaire pour boucher les trous. Et que personne ne regimbe. Traiteur, il a sa place parmi nous. Ce mardi en fut l'éclatante illustration. Loué soit celui qui se substitua à personne. Le trou a horreur du vide, c'est bien connu.