22 avril 2024
Didier à la rescousse et un trésor à table.
Cary de bouffe : Seuls les castors ont des ailes
Par Le Barde et Bardibulle
20 mars 2024
La jeunesse de Marcel à l'assaut des Archiballs
heureux sous cette douce nuit de mars.
Le Tarbais : qui c’est qui est très lentilles ?
Par Bardibulle
Qu’il est bon d’être en nombre sur le pré. Notre programme vise l’entrainement sur grand terrain. Dassault tient du mirage. La semaine prochaine c’est réception. Nous hésitons presque à jouer des cinquante au 5. En attendant le pré, tout doucement les vestiaires se remplissent. Le cérémoniel est le même côté castors. Les arrivées se font au gré des caractères. La lanterne rouge reste une fidèle la voiture de Dudu. Il clôture le nombre. Il en est ainsi quand le castor se fait coureur.
L’arrivée sur Musard a de nouveaux ses fidèles. L’accueil pourtant a une barrière fermée. Le demi d’ouverture devient fermeture. Bref, le code est bien quelque part dans l’attente du magnétique libérateur. Le Trésor le code, lui il s’en branle, il est présent. Maxence, Peter, les joueurs commencent à marquer de leurs empreintes le bitume. Les vertèbres sur le synthétique sont mises à rudes épreuves. Les tours de chauffe eux, se font en binôme. Le tourne disque se fait entre un 33 tours ou un 45 tours. Le trois contre trois pour commencer et nous voici à élargir les lignes. Sur le bord Mozart, et Chewy, diminutif de Chewbacca sont des anciens en plein Jeûnes. Putain que l’accent est de trop quand l’esprit et le corps ne veulent faire qu’un. Les genoux entre choux et cailloux trépignent entre du dur sur du tendre. Mieux vaut avatar que jamais. Il est bien bon de les avoir au bord. Le rugby est un jeu de transmission. L’ovale veut du rebond, con se le dise. Sur le terrain du beau jeu, une envie commune de faire vivre la gonfle. Point de fait remarquable lorsque l’exceptionnel devient une norme. Le jeu à défaut de demi d’ouverture sera pris par les gros. C’est Paulino en bon double demi fera ouverture. Son jeu en course, et en prise d’intervalle donnera toute substance à la formule « qui a dit que les gros ne savaient faire de sautées. » Ca sent bon la lettre. Au trou nos stagiaires à défaut de courir mettent du niveau à la pression. Tic et Tac font leur panpan. Il y aura du monde au trou, c’est le stadoceste qui régale.
La douche sera légèrement bouillante. Les castors ébouillantés s’éparpilleront pour retrouver un autre point chaud. La bière de décompresse. La table fera salle comble. Charcuterie pour ne pas faire du boudin en entrée. Le cuistot garde la ligne en l’enlevant à ses gros. Il ne fait pas bon d’être cochon quand on flirte avec le pic du midi.
La suite se fera en lentilles. Délicieuses à souhait. La déception tient dans l’absence du fameux haricot. Titi se régale, il tâte ses inters à la belote. Le silence sent le bon et pousse à une chansonnette. Qui c’est qui est lentille ? Les lentilles. (Michel Fugain pour avoir l’air…) Les saucisses seront de bonnes compagnies.
Le lancer d’assiette subira des bris et le lacté se fera en brebis. Point nécessaire de confiture quand la montagne est belle.
Le dessert une douceur féminine dans un soupçon de tarte maison. Le Tarbais a du nez pour une poire en décalque. La tarte avec un sacré gout de reviens-y sonnera l’appel du comptoir.
Point de belote, les dès sont dans la menthe. Le comptoir devient contoir. Les repères d’amitié ont leurs séquences.
Il faut, dans
ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.
Il faut fouler
aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
De ces biens
passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.
On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
On s’approche,
on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
Alfred de Musset
Eric est le Barde. Le Barde est notre Barde. Il nous traduit en vers et en prose, c’est notre ami, notre poète, notre Barde !
Les castors sont des frères et notre homme a perdu le sien.
Le Tarlouzain de bouffe : Je sonde donc je suis…
28 février 2024
P'ti Lou y es tu? Pedro que fais tu? Castors repus!
Par Le Barde et Bardibulle
Les mercredis se suivent et ne se ressemblent pas. Seulement 7 la semaine dernière, nous nous retrouvâmes à 14 sur le pré. L’amour parfois divise. Maitre Capello dans ses calculs trouve une constante. « Le compte est (cupi)bon ! ». Le facteur Saint Valentin prête à l’unique son double. L’exception sur cette règle se fait sur le pré. Pour le pré à défaut d’averse se fut l’inverse, il accorde bien à la gonfle un toute autre hémisphère. Le castor est en amour ce que le demi est à la mêlée. Dudu sur la question n’aime pas les sautées. Il est d’ailleurs plus Ricard que demi et plus olives que chips. Point avare de le répéter, sans vous parler de la double sautée. Certains l’ont vu faire une sautée, d’autres nieront le sacrilège. Le Dudu est un castor sacré. Pas de mardi ni de mercredi sans sautée, pas de mardi ni de mercredi sans son essai.
Repassons la scène au ralenti. Pépé si tu nous lis. Tout d’abord le Dudu est un castor qui s’étire beaucoup, gage de sa longévité et surtout gage de stratégie. Son tour de chauffe est un leurre. Il observe, calcule, évalue les jeunes en herbe ou ceux qui n’ont point besoin de chauffer les quadriceps. Il se glissera du côté du jeu le plus fluide. Il y a du Guitou en lui, l’expérience choisit toujours son camps celui de la gagne. Bref, tant pis pour le connaisseur et gloire à l’innocent. Quand tu as Dudu en face, c’est que tu es dans la mauvaise équipe. Con se le dise. Si tu ne le sais pas encore, son jeu le rappellera. Bref sur le soir, sa prise du trou fut magique, dans son éternelle et inattendue efficacité. L’art du tourniquet qui donne à la gonfle sa cape d’invisibilité et l’art d’appeler le coéquipier pour confondre l’adversaire dans de multiples entourloupes visuelles, sonores, motrices qui rendent la prise du trou dans tout le complexe de sa simplicité. De 4 mains potentielles nulles n’effleureront la bête. Gloire à Dudu ! Jean phi est là, il ne saute pas, il jongle. C’est son style à lui. Sa manière de caresser la gonfle, la cinétique en plus. Notre vigneron préféré, lui ne choisit pas son camp, il joue où bon nez lui porte. C’est-à-dire en face du Tarbais. Titi fut aussi magique, des étirements en moins, malgré un Tarbais toujours redoutable. La Chalosse revient plus bondissante. Peter taquine l’amour sur le pré. Le jeu en sera plus alerte d’un côté comme de l’autre. La Chalosse ne joue jamais à moitié et dans son rugby n’a pas de frontières. Un sept partout. JB en hauteur surveille les échanges sur le court. Le juge ne pourrait dire que nous nous rendions coup sur coup, néanmoins les castors taquinèrent de nombreuses fois de chaque côté la ligne d’essai. Il y eut du beau, du jeu et surtout Dudu beau. Quel bonheur quand les pieds ne servent qu’à courir et les mains qu’à faire des passes. Des points de frustrations pour les gazelles et des friandises pour les gros.
La douche et direction le pré c’est encore nos stagiaires à la bouffe.
Cuistot de bouffe : Avec Poulpo, l'amour est dans le trou
Par Le barde et Bardibulle
Pour la Saint Valentin, il n’y a pas à dire le castor est un animal amoureux.
Comment parler d’amour sans se mettre à table. Fameux banquet pour Platon, un en-cas pour Schopenhauer. Qui de mieux que des philosophes pour rendre une logique à ce qui n’en a pas. De l’effet hormones comme phéromones pour tenter d’expliquer ce qui nous fait et nous rend chairs. Quelques agapè pour amuses bouches et de l’éros pour que ça phile. Bref, l’amour est un piège tendu à l’individu pour perpétuer l’espèce. C’est une pensée en gros. En revanche sa magie est dans tout un élan, bien celui du cœur qui nous porte vers un être. Là c’est la gazelle qui parle ou qui tout simplement se vise ! Etre castor quand tu nous saint valentien ! Le pré est un liminaire du trou. Nous serons sept mercenaires pour donner du phile à retordre à ce saint qui se fout du trou. Et tout compte fait sept ça rime bien avec fête. Surprise une Léa les attendra. Qui a dit que le rugby n’était pas une philosophie de l’amour. Et pas d’amour sans chanson…
Quand Peter s'étale
Comme un soleil d'été
Et marque son essai
Rassemble ses à peu près
Quand Christophe lumière
Percute avec son corps
Des montagnes, des forêts
Et ses voeux de trésors
Que te pèle, que te pèle, que te pèle
Que te pèle, oh que le cul te pèle
Quand la ligne se fait trou
Quand la prise se fait Dudu
Quand Peyo est sur les vingt-deux
D'un seul coup t’es plus sur
Quand les mains voudraient bien
Quand David n’ose pas
Quand la défense dit non
François a sa petite voie
Que te pèle, que te pèle, que te pèle
Que te pèle, que te pèle, que le cul te pèle
Quand tu ne te sens plus chatte
Et que tu deviens chienne
Et qu'à l'appel du castor
Tu brises enfin tes chaînes
Quand Fayouze a le sourire
Celui du trou pris
Quand c'est Fayouze qui dit non
Quand c'est Fayouze qui dit oui
Oh que te pèle
Oh que te pèle
Quand tu débordes encore
Pti’ lou comme un cheval mort
Ne sait pas, ne sait plus
S'il existe encore
Quand Bardibulle parle d’amour
Comme d'autres font la guerre
Quand il a la balle
Qui perce et qui la perd
Que te pèle, que te pèle, Que te pèle
Que le cul te pèle
Un quatre contre trois sans déconner. Vous vouliez quoi à part une chanson ? La douche et direction l’amour du trou c’est Poulpo qui se décarcasse.
Poulpo avait petite mine. La faute à un rhume. Plein de compassion, le barde lui prépara un cocktail à base de rhum pour le requinquer. Il eut les effets escomptés. Et Poulpo recouvra toute sa vigueur pour partager ses offrandes.
En attendant ceux de Musard, Fayou et Croucrou conversaient à propos du pré idéal. Et plus précisément du rapport qu’entretient le pré avec nos chairs superflues.
- Plutôt que de maigrir, je préfère changer de terrain dit Fayou. Il faut tourner le dos au synthétique et revenir au naturel. En bref, il nous faut le terrain annexe
- Tu préfères donc les terrains gras lui répondit Croucrou.
- Oui admit Fayou. D’ailleurs, c’est le terrain qui est gras, pas moi. Le gros et le gras, ce n’est pas la même chose. On ne dit pas un un terrain gros, c’est absurde. Et puis, je ne suis ni gros ni gras, je suis et tout le reste, je m’en bats les couilles.
Ils glissèrent alors sur la fête du jour, cette Saint-Valentin qui fait commerce de l’amour. Croucrou eut, comme d’ordinaire, des pensées profondes : « A la saint-Valentin, moi, je ronge mon frein. Je trépigne, je m’impatiente, mais je n’en laisse rien paraître. Car, figure-toi que ces fêtes païennes censées célébrer Éros sont des hérésies. L’amour est de chaque instant, de chaque jour sinon, il n’est rien. Alors j’attends le lendemain pour filer de nouveau ma flamme. »
Fayou opina du chef. Il saisit sa pinte, la porta à ses lèvres, but une gorgée et gloussa de plaisir.
Le repas serait thaï. Encore fraîchement débarqué de Thaïlande, le poulpe entendait prolonger les charmes de son séjour. Des nems, des beignets de crevettes en entrée. D’accord, ils ne sont pas si thaï que cela. Mais le poulpe n’en avait cure. Mieux, il affirma : « Il n’y a que thaï qui m’aille ».
Ceux qui attendaient le traditionnel pad thaï en furent pour leurs frais. Du riz bien sûr, pour accompagner un poulet coco. Et c’était bon.
Le lancer d’assiettes fut impétueux mais précis. Jacouille, sis au bout de la table, s’empara de l’obole d’une main leste. JB itou, mais de la main gauche, comme ça, l’air de rien. Quant à Corsenac, il opta pour une synthèse à deux mains.
Le must, ce fut ces bananes flambées, ces petites bananes flambées dont nous ne fûmes qu’une bouchée. Une première ! Lorsqu’il vint vers nous avec son plat recouvert de flammes, dans la pénombre du trou, tout le monde se tut. Un hommage à Saint-Valentin. Une affaire de flammes. Et de bananes il est vrai.
La nuit était si douce. Une nuit de printemps. Sur son scooter, le poulpe se récitait des vers d’Aragon :
« D'aimer si fort ses lèvres closesQu'il n'ait besoin de nulle chose
Hormis le souvenir des roses
A jamais de toi parfumées
Celui qui meurt même à douleur
A qui sans toi le monde est leurre
Et n'en retient que tes couleurs
Il lui suffit qu'il t'ait nommée. »
27 février 2024
Le coup de griffe du nounours
Les cuistots de bouffe...4 Stagiaires plein d'avenir !
Le chabrot devient une constante et le sabyte se sert maintenant dans l’assiette. Bonne soupe et bon vin oblige. La suite donnera raison à Piou. La cuisson du féculent fait drame quand la cuillère de bois fait objectif. Le « Fait cuit lent » se joue à la minute. Nos cuistots en novice ont donné au riz un côté fait collant. L’art de la cuisine est une composition singulière pour ne pas dire une interprétation sublime d’un sens du nourricier. Sûr que nos stagiaires n’ont pas leur sens du partage dans les chaussettes mais bien dans les collants. Le mélange se fera un délice d’orient. Un saupoudre de légumes à la découpe pour donner au poulet comme au riz tout son sourire. L’orient express pousse au voyage.
Cuistot de bouffe : Tiens voila du guano, tiens voilà du guano
Par Le Barde et Bardibulle
Sur le pré comme de loin, nous fûmes bien en nombre pour courir ce mercredi. Du stagiaire à l’émérite nous étions une bonne équipe de XV entre nos 22 et les 40. Du 7 contre 8 ça ne tenait qu’à un tendon près.
Il est d’usage quand le pré nous appelle de faire des tours de chauffe, mais ce soir il faisait trop bon. Une fourbe légèreté qui peut nous faire penser que le tendon d’Achille peut être le tendon de Philippe. Point de tours de chauffe, le jeu sera roi ou ne sera pas ! Le toucher sera dans l’arène.
Dudu ne déroge pas à ses principes, rien ne sert de courir vite quand il faut s’échauffer à point. Sa manière à lui de l’étirement est une approche féline pour choisir après moultes observations son côté du camp. Marco sur le sujet est un solide, il se chauffe dans la commente. Sur le coup son contrepied est polyglotte. Un rien agaçant pour ceux qui jouent à l’oreille. Le toucher est un art subtil des sens en mouvement. Il annonce en basque et percute en espagnol. C’est technique mais bien déstabilisant pour l’adversaire. Le toucher pour lui se fait estocade. Le Tarbais a retrouvé ses crampons tandis que Louis a retrouvé ses deux bras. Trésor à chaque action mouille son maillot.
Le pré a donc offert du jeu en mouvement. Le moment du match sera sur une feinte walidienne de notre Piou au sublime de son art. Un inattendu attendu, un impossible possible bref une enfumade dont le je t’embrouille dans le mouvement enrhume. Le tourniquet a le don de faire perdre de vue la bechigue qui reste à s’y méprendre dans l’illusion d’une passe trompeuse. Bref la gesticule fait son rôle, le défenseur tousse avec le nez qui coule et Piou s’affirme dans l’aplati. Gloire à Piou Piou qui mérite bien son autre Piou pour ce jeu complet. Un tourniquet qui entourloupe. La virevolte se décarcasse, de l’aile à la cuisse, il n’y a qu’un paso doble. De l’ancien jeune au jeune ancien il n’y a qu’une passe qui ne tienne. Gare à celui qui fait une sautée. Jean phi trouve son énergie dans l’électrique. Le frottement du synthétique et la proximité d’une passe active font monter dans le castor une tension dont la réception fait explosion. Le score donnera la gagne au dernier marqueur.
La douche est chaude en cette saison. Direction le trou, c’est El Guano qui réceptionne !
Cuistot de bouffe : (Moz)arts de la table
Petit à petit le pré fait son nid. Il fait bon de se retrouver le mercredi. Voilà que tout à coup le ciel est bleu, voilà que tout à coup on est joyeux, ce sont les castors du mercredi, qui nous font voir la vie plus jolie… La chansonnette est à la chanson, ce que le pré est au champs. Une douce éclaircie dans l’air du temps. La légèreté est bien de mise quand la gonfle se prête dans l’amuse. Il est bon de retrouver le ballon sur le pré.
Ce soir JB ne sera pas sur la touche. Mozart est là mais pas sur la touche. Qui prend des notes ? Qui travaille nos annonces ? Du coup, Peter est revenu enfin avec une calzone. Il y a du talon dans l’ailier qui sera bien en bourre pour son retour. Quand on a que la bourre à s’offrir en partage. La jeunesse prête de la légèreté à notre jeu à toucher. Quoi qu’on dise, la vitesse a du bon pour taquiner la gonfle. Les espaces se prêtent aux gambettes. Les gazelles et les mobylettes auront sur le pré la vie belle. Jean-phi, Alex, et El Guano auront des espaces ou le coup de rein qui donne à l’intervalle toute sa profondeur. Et c’est les castors qui courent, qui courent qui nous rendent aux vingt-deux ! Le score donnera une pointe de vitesse aux gazelles aux départs mais trouvera un équilibre par la densité des gros. Rien ne sert de courir il suffit d’enclosquer à point, con se le dise.
La douche puis direction le trou.
Le cuistot de bouffe : Prezque comme à la maison !
La douche comme on les aime, glacée et de saison.
Direction le trou, c’est le Prezz et Tonton qui régalent !
Le cuistot de bouffe : A la table du grand Thom
17 janvier 2024
Le cuistot de bouffe : Sabitamonix
Au comptoir, nous papotâmes un long moment. La joie était de rigueur. Avec un zest de folie. Et les yeux d’Emilie.