J-20 : Le Tarlouzain parle aux castors, « qui sera là pour mon repas que je fais une fois par an tous les 6 mois », le Tarlouzain est un compteur, pour ne pas dire conteur. Il compte en verlan. La bouffe ça se prépare depuis Toulouse, con se le dise. Les castors sont constants : les présents répondent présents, les présents répondent absents, des absents répondent présents, et des absents répondent absents. Jusque là du normal en bon sens. Chercher la logique vous trouverez le bonheur.
Pour le pré nous aurions dû faire un doodle, les vacances pour les castors donnent des ailes pour le ski et des crampons pour le pré. D’un côté ça glisse, de l’autre ça plante. Le nombre sera limité à un près, pour être suffisant au toucher. Notre Jeff sera notre liant, sans retour intérieur, je vous prie. L’océan a ouvert son jeu. Un de moins et nous sortions les cartes pour la belote.
Une douche et direction le trou.
De son côté, le Tarlousain reste un castor amoureux dans l’offrir. Il charge sa moto. L’esprit libre, il y a quinze inscrits. Un match à l’ancienne en somme. Point de remorque quand le don est dans la présence. Par précaution un mouton sur le porte bagage et un camembert du coin, sait-ton jamais, la route est longue. Sur le chemin il rencontre une ferme en colère. Le périple prête aux rencontres. L’intelligence est un art de l’adaptation. Pour soutenir nos agriculteurs, gloire à nos seins, l’entrée se fera soupe ou ne sera pas. Et le voilà troquant sa moto pour un tracteur. Le Tarlousain cuisine tout à la main surtout les légumes. La soupe est bonne car les légumes sont frais cueillis directement sur l’autoroute. Triste de ne pouvoir en profiter sur le marché. Certains dieux tombent du ciel d’autres marchent sur leur tête. Le bon sens pour le cuistot est dans l’assiette. La soupe c’est bien connu est une spécialité de Toulouse. La suite bien de saison sera saint et l’agneau en son roi. J’y go la ballade est dans l’occitan. Les mots ne servent à rien tant que l’accent tient la route. Il gagne le point dans son périple pour la cuillère. Le trophée pour Toulouse est une évidence, un Dupont trop loin, notre cuistot fait tout à l’huile de coude. Les légumes en farandole de printemps. Du vert, de l’orange, et du rouge. Sabite sera son roi. Les plus ou moins quinze inscrits sont aux anges. Quoi mon cuissot ne tient pas de Jupiter, mais le miracle bien dans sans justesse. Fin du plat, il ne reste plus que les os pour pleurer.
Le lancer se fera dans le classico. Classe et sico. Des maladresses en réception une allégresse pour l’envoyeur. Jacquouille pleure à chaque bris. Le tout est de bien signaler quand l’envoi touche. Un sms pour rappeler de réceptionner. Notre Tarlousain est en mode 2.0. Quinze inscrits, dix -huit assiettes 3 fracas. Jusque-là tout va bien. La voie lactée du fromage de Toulouse. La vache suppléera l’ovin, rien ne remplacera le vin. Une menthe fraiche peut-être. Un dessert sucré prêtera une amorce à une menthe de comptoir. Le Tarlousain tient du Brel dans son « Jeff est revenu. »
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