La morue de bouffe: Morue tu ris te salutant!
Tout est bon dans la morue, dit le dicton Inuito-Beglais.
Pour faire une belle fête de la morue, la recette est la même que pour la pêche éponyme :
- un bon capitaine
- un bon bateau
- de bons moussaillons
Le bon capitaine, nous l'avions en la personne de Pioopioo, notre Captain Igloo . Le pacha se cherche dans la houle. Foie d’Amiral en poulpe. Le trie à babord bien sélectif nom d’un bachibouzouk de baraque à frite. La tortue, la morue, le castor, le radis noir de Bègles, la ville aime le règne de l’ovale dans son animal et nous laisse pas le temps de prendre la mouche. Du coup tout est fait pour préserver le règne de la mer. Merde au plastique si la morue veut survivre. Le castor aime la nature et chante dans la marée. “O mon bateau, ohoh oh … tu es le plus beau des bateaux…” Même si pour le tubercule le poil fait défaut. L’organisation se fera dans la mêlée. Les postes seront fait au jugé. L’adaptation est reine quand c’est la découverte. Fête de la morue nous voilà!
Le Pioo est le diminutif de Pioo pioo. Sa moitié à vrai dire. Pour ne pas dire le ¾. Le pilier avait du plomb dans l’aile. On connaissait déjà ses qualités en matière de logistiques "charcutières", le bougre en avait également à propos du cabillaud. Aidé de son pirate de père, il arma un magnifique bateau décoré par Titi. La légende du castor s’est faite sur le pré. La marine a sa part belle dans le monde de l’ovalie et garde en souvenir une morue à chaque port. Con se le dise. La préparation se fit en étape. Le castor est sportif et sa passion est la gonfle. La serraille est de mise quand en face le nombre fait force. Le stage de préparation ne fut pas de trop pour découvrir les plaisirs cachés du Bacalao et assurer le gros des troupes. Flo gère la pression plus sereinement depuis. Sa toge et sa tonsure ont prouvé que la sagesse nécessite parfois certains sacrifices. Pets à son âme. Le corps est une dette en soi et la gestion de la pression ne sort de sa prison qu’en relaxe. Porto nous fut bon et son amiral assura la base et les repères de la mer. Le remède de la paire pour les dyslexiques de la réception.
Le Castor Ier
L’habite d’amarrage trouva de belles fondations. La montagne dans son chalet. Le pré comme gazon et le bleu de la mer qui nous offre le coeur au voyage. Le numéro de la morue se perdit dans l’allée d’une place à double nom. La liberté est présente et sonne une révolution. La place est belle et la foule familiale.
Les cales du navire sont remplies. Le voyage allait être long aussi la liste de vivres se devaient d'être conséquente :
450 litres de bières,
100 kg de frites,
2400 acras,
60 kg de brandade,
120 litres de punch
60 litres de sangria
50 l de rosé
600 piquillos
30 kg Salade de morue
Et une pincée de sel…
La petite touche finale est sacré pour tout bon lancement de jeu. Castors aux crampons sont à coups sûrs de la balle.
Aider de quelques-uns, probablement trop peu, même si tout chiffre reste relatif. D’où l’intérêt d’avoir des lettres sur notre maillot plus que des chiffres. Qu’on sonne, voyelle, qu’on sonne, voyelle, voyelle… Mot compte triple: MORUE!
Maître capelo un mot: “Morue, ou cabillaud, est un nom vernaculaire désignant en français des poissons de plusieurs espèces de l'ordre des Gadiformes. Ces poissons vivent dans les eaux froides. Auparavant populaire et méprisé, ce grand poisson est présent aujourd'hui sur la carte de bien des restaurants pour sa saveur et les multiples préparations dont il fait l'objet. En effet, sa chair est particulièrement appréciée car, dépourvue de fines arêtes, elle se détache facilement de l'épine dorsale et des robustes côtes. La pêche en surnombre est à l'origine de sa rapide raréfaction, à l'exception des stocks de cabillauds de la mer de Barents dont la quantité augmente depuis le milieu des années 2000.
Le terme « cabillaud » apparaît dans la langue française en 1250. Il semble d'origine flamande, du moyen néerlandais « cabbeliau », du latin baculus (bâton).
Quant au terme de "stockfish", moins usuel, c'est un mot d'origine allemande utilisé pour désigner des filets de cabillaud (Gadus morhua) séchés à l’air libre. En Norvège, le cabillaud de l'océan Arctique qui vient frayer chaque année dans l'archipel des iles Lofoten est appelé Skrei, terme issu de l’ancienne expression viking « å skreide fra » (Skrida), qui signifie une avancée « à grandes enjambées », rapide7. “Merci wiki!
Pioo Pioo chargea les cales du premier trois mâts Archiball : le Castor Ier. Restait à savoir si l'équipage de bras cassés doodelisés allait répondre présent, être capable de sortir du port et affronter le premier coup de vent du Vendredi soir. Nul doute que l’appel de la morue allait porter ses fruits.
Le castor certifié con forme sait cuisiner dans l’adversité. Le stage de notre trou et son périmètre de cuisson limité à son seul mètre carré nous permit rapidement de supporter le dur de la promise cuitée!
Maître capelo un mot: “Morue, ou cabillaud, est un nom vernaculaire désignant en français des poissons de plusieurs espèces de l'ordre des Gadiformes. Ces poissons vivent dans les eaux froides. Auparavant populaire et méprisé, ce grand poisson est présent aujourd'hui sur la carte de bien des restaurants pour sa saveur et les multiples préparations dont il fait l'objet. En effet, sa chair est particulièrement appréciée car, dépourvue de fines arêtes, elle se détache facilement de l'épine dorsale et des robustes côtes. La pêche en surnombre est à l'origine de sa rapide raréfaction, à l'exception des stocks de cabillauds de la mer de Barents dont la quantité augmente depuis le milieu des années 2000.
Le terme « cabillaud » apparaît dans la langue française en 1250. Il semble d'origine flamande, du moyen néerlandais « cabbeliau », du latin baculus (bâton).
Quant au terme de "stockfish", moins usuel, c'est un mot d'origine allemande utilisé pour désigner des filets de cabillaud (Gadus morhua) séchés à l’air libre. En Norvège, le cabillaud de l'océan Arctique qui vient frayer chaque année dans l'archipel des iles Lofoten est appelé Skrei, terme issu de l’ancienne expression viking « å skreide fra » (Skrida), qui signifie une avancée « à grandes enjambées », rapide7. “Merci wiki!
Pioo Pioo chargea les cales du premier trois mâts Archiball : le Castor Ier. Restait à savoir si l'équipage de bras cassés doodelisés allait répondre présent, être capable de sortir du port et affronter le premier coup de vent du Vendredi soir. Nul doute que l’appel de la morue allait porter ses fruits.
Le castor certifié con forme sait cuisiner dans l’adversité. Le stage de notre trou et son périmètre de cuisson limité à son seul mètre carré nous permit rapidement de supporter le dur de la promise cuitée!
La sortie du port fut délicate du fait d'une avarie électrique au moment de lâcher les amarres. Quatre friteuses, deux fours, une tireuse et une remorque réfrigérée tel était le challenge à relever avec 1200 watts. Ce n’est pas du coton ces affaires d’électron libre en surcharge. Un agent de la capitainerie intervint rapidement et l'incident ne dura pas longtemps. L'électricité fût rétablie à l'arrivée des premiers loups de mers.
Assez naturellement, les mousses d'un soir prirent leurs postes par goût, compétence ou défaut : la caisse (1), le bar (2), la tireuse (1), la préparation des assiettes (2), la cuisson des frites et accras (1), la gestion du stock et produits frais (1). 7 mousses c'est à priori le minimum pour assurer sereinement le coup de feu de la tranche horaire à laquelle le gens mangent. Le système est pyramidale. L’amygdale de la faim se soulage dans la soif. L’homme se fait loup quand la morue se fait loin. L’étanche soulage pour que le thon de la discorde s’apaise. La batterie se tient dans la communication et le demi emmêlé se transforme en demi de mêlée. Les gros se disciplinent quand le ton monte. La symphonie du bonheur reste pour le captaine Pioo Pioo une île au trésor. Il est à l’heure en charge de la friture et note avec sa longue vue ses troupes en bataille. Jambe de bois et longue vue pour préserver la paire Escassut ne seront jamais de trop!
Évidemment, le castor, animal d'eau douce, eut quelques difficultés avec le vocabulaire du monde de l'eau salée et il y eut quelques confusions sémantiques. Ainsi lorsque le capitaine Pioopioo te demande de filmer, il ne s'attend pas à ce que tu sortes ton smartphone mais que tu prennes du film alimentaire pour reconditionner un plat. De même la consigne de garder la pression ne veut pas dire de vider le fût de jouvence. Derrière tout cuistot sommeille en castor joueur qui s’ignore.
La terminologie "grande cuisine" de nos plats, certes précises, s'avéra un peu trop longue et source de confusion dans le feu de l'action. Le parmentier de Morue sous son étale de queue de castor s’est confondu en excuse avec les barquettes de Morue en Parmentier sur son tas de castors en pleurs quand la bise fut venue.Peut-être serait-il judicieux de simplifier pour l'année prochaine. La Jacquouille pour la une, un grand Thom pour la 4, et 3 Pintxe de bières à venir… Le punch restera le punch, Zinzin oblige!
A ces détails prêts, le coup de vent du vendredi fut passé avec réussite et dans la sérénité. Le capitaine et son père satisfaits de l'équipage retournèrent tard dans leurs quartiers.
Le lendemain, la météo était annoncée : tempête ! Comprendre non seulement l'affluence du samedi soir et un double service midi et soir mais également 60 kg de brandade à écouler alors que les jolies béglaises ne porteraient finalement que des robes aux décolletés parfois envoûtants. Bref, pas vraiment un plat adapté à la chaleur du week-end.
C'était sans compter sur le capitaine Pioopioo qui lança un chantier titanesque de transformation de la brandade en croquette. Dudu a une technique qui vient de son cabinet de Bègles, la retraite l’irradie de donneur sans sommeil de plomb. La roulade se fait sous les aisselles, à l’ancienne. La technique est homologuée! Avis aux amateurs...
Arriva le service du samedi soir et ces paquets de mer d'affamés et d'assoiffés. Le soleil ne fait pas le désert mais le dessert! Le Castor Ier tangua fort quelques heures durant. Il fallait s'accrocher au bastingage pour ne pas passer par dessus bord. Mais tels des Castrais plein de courage et d'organisation, les castors ne se dérobèrent pas face aux commandes.
Assez naturellement, les mousses d'un soir prirent leurs postes par goût, compétence ou défaut : la caisse (1), le bar (2), la tireuse (1), la préparation des assiettes (2), la cuisson des frites et accras (1), la gestion du stock et produits frais (1). 7 mousses c'est à priori le minimum pour assurer sereinement le coup de feu de la tranche horaire à laquelle le gens mangent. Le système est pyramidale. L’amygdale de la faim se soulage dans la soif. L’homme se fait loup quand la morue se fait loin. L’étanche soulage pour que le thon de la discorde s’apaise. La batterie se tient dans la communication et le demi emmêlé se transforme en demi de mêlée. Les gros se disciplinent quand le ton monte. La symphonie du bonheur reste pour le captaine Pioo Pioo une île au trésor. Il est à l’heure en charge de la friture et note avec sa longue vue ses troupes en bataille. Jambe de bois et longue vue pour préserver la paire Escassut ne seront jamais de trop!
Évidemment, le castor, animal d'eau douce, eut quelques difficultés avec le vocabulaire du monde de l'eau salée et il y eut quelques confusions sémantiques. Ainsi lorsque le capitaine Pioopioo te demande de filmer, il ne s'attend pas à ce que tu sortes ton smartphone mais que tu prennes du film alimentaire pour reconditionner un plat. De même la consigne de garder la pression ne veut pas dire de vider le fût de jouvence. Derrière tout cuistot sommeille en castor joueur qui s’ignore.
La terminologie "grande cuisine" de nos plats, certes précises, s'avéra un peu trop longue et source de confusion dans le feu de l'action. Le parmentier de Morue sous son étale de queue de castor s’est confondu en excuse avec les barquettes de Morue en Parmentier sur son tas de castors en pleurs quand la bise fut venue.Peut-être serait-il judicieux de simplifier pour l'année prochaine. La Jacquouille pour la une, un grand Thom pour la 4, et 3 Pintxe de bières à venir… Le punch restera le punch, Zinzin oblige!
A ces détails prêts, le coup de vent du vendredi fut passé avec réussite et dans la sérénité. Le capitaine et son père satisfaits de l'équipage retournèrent tard dans leurs quartiers.
Le lendemain, la météo était annoncée : tempête ! Comprendre non seulement l'affluence du samedi soir et un double service midi et soir mais également 60 kg de brandade à écouler alors que les jolies béglaises ne porteraient finalement que des robes aux décolletés parfois envoûtants. Bref, pas vraiment un plat adapté à la chaleur du week-end.
C'était sans compter sur le capitaine Pioopioo qui lança un chantier titanesque de transformation de la brandade en croquette. Dudu a une technique qui vient de son cabinet de Bègles, la retraite l’irradie de donneur sans sommeil de plomb. La roulade se fait sous les aisselles, à l’ancienne. La technique est homologuée! Avis aux amateurs...
Arriva le service du samedi soir et ces paquets de mer d'affamés et d'assoiffés. Le soleil ne fait pas le désert mais le dessert! Le Castor Ier tangua fort quelques heures durant. Il fallait s'accrocher au bastingage pour ne pas passer par dessus bord. Mais tels des Castrais plein de courage et d'organisation, les castors ne se dérobèrent pas face aux commandes.
A 23h, aucun homme à la mer, aucune blessure. Quelques noyades dans l’ivresse du moment… Que du bon! Les vents d'afrique du sud s'étouffèrent tel des Montpelliérains sans bouclier. Les castors pouvaient souffler et profiter enfin de ce moment de calme et de joie du travail accompli. Le capitaine referma sa longue vue et envoya le marchand de sable sceller la marée.
Le dimanche, principe de précaution oblige, la fête fut annulée pour cause d'orage qui grondaient sur l’Océan. Le microcosme béglais et les sacrifices des morues à Calypso se sont avérés payant pour l’indulgence divine. Le castor est resté au sec. L’équipe de rouleur Dudu en pointe ont fait du stock…
Le castor a des ressources et à l’image à notre Kim sauvage nous chantâmes Cambot Dia!
Dommage pour la fête mais bienheureux le trou qui aime la morue. Même si elle est fraîche, elle est bonne ma morue. Dieu du soleil pense au castor, cela nous aurait éviter de bouffer de la brandade toute la semaine !
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