La partie fut synthétique pour le match retour. Pas comparable avec la première rencontre sur le terrain adverse. Le retour se joue à la maison et se fait à l’extérieur pour l’adversaire. La constante du sport se fait ainsi. Nous jouons à domicile à l’extérieur. C’est Titi qui sera d’ouverture pour mener une ligne de ¾ légère et mobile à souhait. Et dans mobile il y a léger. Bref, les gros étaient solides, Fayou en gros des troupes culmine à lui tout seul la moitié de la mêlée. Le castor est grand et costaud. Perdigue compléta la troupe au hasard des choses. Le barbu en ballade trouva réconfort dans le match. Quoi nous jouons, d’accord mais seulement si on plaque! Il est en ballade le garçon et poète à ses heures. La partie se fit en trois tiers temps. Comme d’hab, pour les doodeleurs qui cliquent et qui viennent. Le principe du doodle présente de même cette constante. Il permet de jouer ensemble en s’appuyant sur les présents. Le fameux principe des copains d’abord. Non ce n’était pas le doodle, la méduse ce rateau, con se le dise au fond des torts, dises au fond des torts. J’ai du jouer en père peinard en oubliant la mare des plaquages, j’ai oublié les copains d’abord, les castors d’abord. Du coup les copains des copains nous permettent de faire masse et jouer de la balle. Les invités de la veille du mercredi. Heureusement que les vieux de la veille sont présents et assistent au spectacle. Du Mozart en voilà, du Zinzin, du Yann et j’en passe qui n’ont pas répondu pour jouer mais qui ont répondu dans l’esprit . Ils sont venus au spectacle, bouffe en prime. La transmission est ainsi elle ne se fait pas uniquement avec la beuchigue mais avec des castors sur le pré et sur la touche, l’esprit rugby règne. Le temps n’est qu’un référentiel spatial à distance relative. Et les cinquante ans, c’est demain. Ma droite devient gauche si je me tourne et le passé devient futur si je clique sans suite.
Le jeu se fit dans le beau et le moins beau. Dassault joue aérien et envoie du lourd à souhait. Leur jeu est organisé, chacun à son poste. Comme les castors avec une pointe de jeunesse en prime. Nous prîmes trois essais. Le premier sur un plaquage débordement nécessitant un mea culpa de bardibule au centre pour alourdir les légers, bien guidé par son 10 lui bien en place. Le nouveau centre malheureusement eu la seconde de réflexion qui permit au centre adverse de faire une biscouette d’anthologie pour aplatir le fond de sa ligne derrière notre ligne. La défense ne se fait pas en chasse. La seconde pour bardibule se compte en minute, latence ou réaction. Seule la plume garde le savoir. Bref la défense au centre se fait toujours en attaque. Le Target est verrouillé. Le deuxième fut une dédicace en ralenti à notre Perdigue qui comme tout barbu qui se respecte se retrouva en défenseur isolé derrière un ruck. Le choix est multiple pour les joueurs adverses. Je le narre au ralenti pour laisser le temps au gros de rejoindre le coeur de l’action. Le ruck crée une ligne avec au centre un tas. Il reste du coup si tout le monde suit, deux côtés. A droite et à gauche… merci Perdigue c’est le seul qui suit… et qui est derrière le fameux ruck. Bref, le jeu se veut en grand solitaire. L’harmonica est de sortie et le castor a les dents longues mais le souffle court. J’ai eu le temps de prendre des notes, je jouais trois quarts au fond à droite, 10 euros la place et une vue sympa. Dédicace à Pintxe qui était resté de son côté au match allé. L’arbitre toujours bien placé et ça tenait du miracle venait de Lourdes. Serge sentait le drame mais ne pouvait intervenir sur le sort. Port du sifflet néglige! Seul Perdigue pouvait faire obstacle à la sentence. Tout ça à bonne distance de notre ligne d’essai. Plus proche des 50 que de nos 5 mètres. Bref, les gros malgré la prose ne sont toujours pas en protection et Perdigue léger sur le moment se prit au jeu du porteur de balle. Cf la bardibule au ralenti. La jeunesse a des coups de reins que même Perdigue tombe sur le cul. Heureusement que le castor a la queue plate. Bref, seul contre un cela n’a pas de mérite. Mais bon lui était bien placé. Deux essais en plaquage raté et débordement réussi. Nous rappelons que mardi prochain, nous travaillons le plaqué sur deuxième couche. Cambot aux commandes.
L’essai des castors fut dans une action collective et à l’ancienne pour les archiball. En bon lancement de jeu sans en avant ne laissant pas le temps à l’adversaire d’être sur la défensive. L’art de le la prise d’intervalle et du débordement en prime. Mozart rangea sa baguette devant ses belles retrouvailles.
Gwen géra les affaires du trou. Il travaille pour son jubilé. Pour l’instant il nourrit les bêtes.
Nous restâmes sur 3 essais à 1 et nous nous préparâmes pour une autre marée plus culinaire cette fois-ci mais toujours collective: la fête de la morue 2018.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire