27 février 2024

Les cuistots de bouffe...4 Stagiaires plein d'avenir !

Par Bardibulle,


Sur le pré nous n’étions pas nombreux. Pour ce dernier jour de janvier, la veille d’un fait vriller donne à l’aire de jeu des limites d’en en-but à ses 22. Dudu garde l’enclos apparemment, il est notre fidèle. Le jeu en sa présence redoute les sautées comme pour les dames « sauter n’est pas jouer ». Le jeu fut néanmoins alerte, dynamique, le sens du toucher est un massage des âmes. Le piou est nostalgique de ses exploits de mercredi dernier. Son tourniquet ne fait plus trou. La constante d’un jeu en canne d’un et d’un jeu de solide en face ne donne raison à ni l’un, ni l’autre. Les actions ne tiennent que par la dextérité de la passe. Point de Pedro pour réceptionner nos coups d’envoi. Le castor en devenir ne peut être au moulin puisqu’il est au four. Les gros rattraperont les gazelles. Rien ne sert de courir vite il faut marquer des points. Con se le dise !

La douche retrouve ses vapeurs. La route vers le trou. Une place réservée pour Dudu. La couloir s’ouvre à une douce lumière, point de mur mais un escalier pour faire monter de douces saveurs.

Une première nous attend au trou. Point de Grognard au trou mais bien une vieille garde aux abois, Poulet, Jacquouille supervisent nos stagiaires. Ils ont troqué leurs crampons pour un tablier. Quatre castors pleins d’avenir donne à la pression un sens à la décompresse.

Les premiers pas se feront dans le sens sécure d’une soupe. L’aventure prête à la longueur et mérite bien son youpala. Les premiers pas méritent de l’équilibre dans la régression. Une soupe dont les saveurs se prêtent au chaud et au bon. Fayouze préside et autorise le service. Les secrets tiennent du mélange. L’épaisseur du liquide donne du plaisir du coco à des potimarrons.
Le chabrot devient une constante et le sabyte se sert maintenant dans l’assiette. Bonne soupe et bon vin oblige. La suite donnera raison à Piou. La cuisson du féculent fait drame quand la cuillère de bois fait objectif. Le « Fait cuit lent » se joue à la minute. Nos cuistots en novice ont donné au riz un côté fait collant. L’art de la cuisine est une composition singulière pour ne pas dire une interprétation sublime d’un sens du nourricier. Sûr que nos stagiaires n’ont pas leur sens du partage dans les chaussettes mais bien dans les collants. Le mélange se fera un délice d’orient. Un saupoudre de légumes à la découpe pour donner au poulet comme au riz tout son sourire. L’orient express pousse au voyage.


Le lancer se fera à 8 mains. Hommage à notre Poulpe. La casse fut de mise. Guitou fut une bonne cible pour une découpe en règle. Aubin découvre la technicité d’un simple lancer d’assiette. Le sage s’interroge si cette presse n’est pas fait pour remporter notre futur open de golf. Ce n’est pas sur un par que l’on peut atteindre notre Guitou, le club en main il reste redoutable. Le trou reste une ouverture au rêve. Le challenger a peut-être cherché à neutraliser en mode furtif son plus grand adversaire.

Le lacté se fera dans différents délices sans se raconter de salade. Pour le dessert David peindra son œuvre. Un flan patissier fait maison. Les stagiaires se donnent. Gloire à eux.

Le Get s’opposera à la menthe pastillée. La nuit à son jour. L’escalier au rez de chaussée. Le dedans à son dehors. Sa percée à son retour à l’intérieur.

Furent vins : le castor arriva le premier.
Hé bien, lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi, l’emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ?

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