28 avril 2006
Irlandais nous voilà...
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26 avril 2006
Le cuistot de la semaine et les lendemains qui chantent
Avant tout, arrêtons nous un instant pour crier haro sur le baudet face à l’affront subi par notre recordman quelques heures après son exploit. Jérôme, nous sommes tous de tout cœur avec toi et nous ne pouvons pour t’épauler que te rappeler qu’il vaut mieux être saoul que con, ça dure moins longtemps... Mais ceci, tes pandores ne le savent pas et ça leur va comme ça !
Un proverbe hollandais assure que haring in't land, dokter aan de kant, quand le hareng est là, le docteur est loin. Le général ne s’est pas laissé impressionner pour autant, il était présent, et sur le terrain, et au trou. Il nous a rappelé à tous qu’il faut être à 15 h le vendredi à l’aéroport de Bordeaux, en route pour l’Iralnde. Vous avez noté ? 15 h.
Le hareng n’a fait qu’un tour de table et n’a même pas eu le temps de parfumer la caque. Trop bon, disait Dudu. Excellent, lui rétroqua l’assemblée telle une légion d’otaries. Bismarck qui adorait tellement ce clupeiforme au point de lui donner son nom, se serait régalé et présenté ses excuses pour sa victoire sur Napoléon… et le Tchô serait rentré dans l'Histoire (on en apprend des choses le mardi soir, il faut juste s’en rappeler le mercredi matin !).
Ont suivi le rôti de porc et sa louche de fayots prévoyant des lendemains qui chantent. Heureuses celles qui nous maternent, pour une fois qu’elles participent au repas de la veille et qu’il nous est simple de lui décrire sa mousse au chocolat.
Un jury d’élites, Loulou, le Général, Gwen, Alain F., Jacques Cétoukafélui et Pascal A. lui souflent une brise à 13, cela ne va pas sans nous rappeler qu’un pet sournois est un pet de putois.
Ce que le barde en dit :
Rien à dire, le Tcho, sur ton repas d'hier
le hareng mâtiné de tous ses accessoires
le hareng magnifique, rutilant et si fier
avait bonne figure et parfumait le soir
le porc servi froid était tendre et suave
heureux du haricot qui baigne dans sa graisse
et lui tient compagnie comme un chien pris en laisse
sans savoir qui des deux est le maître ou l'esclave
le camembert accort que tu nous proposas
ne sentait guère la rose ni même le mimosa
mais Dieu que ces senteurs dans la gorge changent d'âme
et deviennent Chanel aux palais qui s'enflamment
que dire pour conclure de la mousse finale
semblable en bien des points à la lutte homonyme
à elle seule elle valait que l'on tentât un hymne
mais tu fus chiche Tcho pour nos pauvres fringales
il est vrai que le cake dont tu l'agrémentas
compensa à merveille la maigreur du plat
les damnés de la terre que nous sommes ici bas
y trouvèrent leur compte pour clore le repas
Ca a beloté grave hier soir, mais le perdant a hélas décrété que ses adversaires étaient tous hors jeu (si, si, vous avez compris !)
Un proverbe hollandais assure que haring in't land, dokter aan de kant, quand le hareng est là, le docteur est loin. Le général ne s’est pas laissé impressionner pour autant, il était présent, et sur le terrain, et au trou. Il nous a rappelé à tous qu’il faut être à 15 h le vendredi à l’aéroport de Bordeaux, en route pour l’Iralnde. Vous avez noté ? 15 h.
Le hareng n’a fait qu’un tour de table et n’a même pas eu le temps de parfumer la caque. Trop bon, disait Dudu. Excellent, lui rétroqua l’assemblée telle une légion d’otaries. Bismarck qui adorait tellement ce clupeiforme au point de lui donner son nom, se serait régalé et présenté ses excuses pour sa victoire sur Napoléon… et le Tchô serait rentré dans l'Histoire (on en apprend des choses le mardi soir, il faut juste s’en rappeler le mercredi matin !).
Ont suivi le rôti de porc et sa louche de fayots prévoyant des lendemains qui chantent. Heureuses celles qui nous maternent, pour une fois qu’elles participent au repas de la veille et qu’il nous est simple de lui décrire sa mousse au chocolat.
Un jury d’élites, Loulou, le Général, Gwen, Alain F., Jacques Cétoukafélui et Pascal A. lui souflent une brise à 13, cela ne va pas sans nous rappeler qu’un pet sournois est un pet de putois.
Ce que le barde en dit :
Rien à dire, le Tcho, sur ton repas d'hier
le hareng mâtiné de tous ses accessoires
le hareng magnifique, rutilant et si fier
avait bonne figure et parfumait le soir
le porc servi froid était tendre et suave
heureux du haricot qui baigne dans sa graisse
et lui tient compagnie comme un chien pris en laisse
sans savoir qui des deux est le maître ou l'esclave
le camembert accort que tu nous proposas
ne sentait guère la rose ni même le mimosa
mais Dieu que ces senteurs dans la gorge changent d'âme
et deviennent Chanel aux palais qui s'enflamment
que dire pour conclure de la mousse finale
semblable en bien des points à la lutte homonyme
à elle seule elle valait que l'on tentât un hymne
mais tu fus chiche Tcho pour nos pauvres fringales
il est vrai que le cake dont tu l'agrémentas
compensa à merveille la maigreur du plat
les damnés de la terre que nous sommes ici bas
y trouvèrent leur compte pour clore le repas
Ca a beloté grave hier soir, mais le perdant a hélas décrété que ses adversaires étaient tous hors jeu (si, si, vous avez compris !)
25 avril 2006
Cétoukafélui II
La barde est de retour
Il paraît, Jérôme, que ta tristesse fut grande
de ne pouvoir lire l'hymne traditionnel
que, chaque mercredi par des vers en bandes
dispensent comme il le peut le barde officiel
de guerre lasse Walid saisit la balle au bond
et marqua un essai superbe et prometteur
ce libanais farouche a le vers riche et bon
et sait donner une voix aux repas enchanteurs
je regrette l'absence des endives et betteraves
et le divin roll mops étrange et scandinave
je pleure les champignons et le filet mignon
les carottes sublimes qui donnent le frisson
il fallait bien conclure par de molles bananes
le dîner concocté par notre gueule d'amour
on le sait la carotte et la banane ahanent
aux gorges de palais si volontiers glamour
il semble que la barre soit à présent si haute
que pour rivaliser avec cétoukafélui
il faut tendre au parfait, au rêve et au sans faute
relevons la gageure compagnons du mardi
pépé ne sait que trop le défi qu'il relève
mais je vois son béret qui déjà se soulève
l'homme n'est pas de ceux qui craignent l'impossible
je le sais qui promets des saveurs indicibles.
Il paraît, Jérôme, que ta tristesse fut grande
de ne pouvoir lire l'hymne traditionnel
que, chaque mercredi par des vers en bandes
dispensent comme il le peut le barde officiel
de guerre lasse Walid saisit la balle au bond
et marqua un essai superbe et prometteur
ce libanais farouche a le vers riche et bon
et sait donner une voix aux repas enchanteurs
je regrette l'absence des endives et betteraves
et le divin roll mops étrange et scandinave
je pleure les champignons et le filet mignon
les carottes sublimes qui donnent le frisson
il fallait bien conclure par de molles bananes
le dîner concocté par notre gueule d'amour
on le sait la carotte et la banane ahanent
aux gorges de palais si volontiers glamour
il semble que la barre soit à présent si haute
que pour rivaliser avec cétoukafélui
il faut tendre au parfait, au rêve et au sans faute
relevons la gageure compagnons du mardi
pépé ne sait que trop le défi qu'il relève
mais je vois son béret qui déjà se soulève
l'homme n'est pas de ceux qui craignent l'impossible
je le sais qui promets des saveurs indicibles.
19 avril 2006
Le cuistot de la semaine et le Cétoukafélui
Plus rien ne sera jamais comme avant. Que tous ceux qui butinaient le 14 se posent, même le 15 a été ignoré au point qu’on peut déjà évoquer l’avant-Jérôme et l’après-Jérôme.
Mais quel est donc le secret de gueule-d’amour ? On le sait bien marié (lui aussi), mais jamais au point de voir notre mignon si bien traiter un filet – que le teint rose-rouge a bien failli nous inquiéter quoiqu’en dise le vieux 4 (auto-proclamé expert en femmes de joueurs depuis hier soir).
L’homme à la barre légendaire a donc réussi à placer la barre haute. Le jury, sans sourciller, succombe au charme du mignon et Bruno G., Bernard P., Hervé D., Yannick D. et Thomas V. dégainent le 16 ! Vous avez bien entendu : 16. Comme on dit dans le jargon des chroniqueurs, la barre est dure avec un très étroit.
Enfin, pour ceux qui n’arrivent pas à suivre, à noter la mise en place d’un nouveau label : Cétoukafélui, que Jérôme déflore avec brio.
Le barde n'était pas là, mais y a poème quand même :
Sachant qu’il n’est pas facile de faire des rimes habiles
Et que qui les fait sans vouloir est couillon sans le savoir
Soyez cléments camarades, il n’est là qu’en intérim
Espérant désespérément des phrases qui riment
Oyé braves gens, oyé braves hommes
Penchons nous enfin sur la popote de Jérôme
Que les mardis tremblent et que le torse bombe
L’événement du jour est un record qui tombe
Cooool, le roll mops venant du froid était scandinave
Avec ses gondoles d’endives et ses dès de betteraves
Etant venue plus tôt l’heure des braves
Qui désertèrent sans lumière le pré à l’heure grave
C’est tout qu’a fait lui, notre Jacques a dit
Le filet mignon en croûte avec ses champignons
Présenté conquérant, vini vidi et carottes vichy
Devant tant de bravoure le vin fut sans chichis
Bien que de prime abord la banane semblait molle
Ton repas, Jérôme, nous a foutu la gaule
Il fut sans mal et sans le moindre bémol
Celui qui fit bouffer aux adversaires le sol
A gauche, le créateur du label Cétoukafélui et à droite, le poète de rechange déguisé en Elie Semoun.
Mais quel est donc le secret de gueule-d’amour ? On le sait bien marié (lui aussi), mais jamais au point de voir notre mignon si bien traiter un filet – que le teint rose-rouge a bien failli nous inquiéter quoiqu’en dise le vieux 4 (auto-proclamé expert en femmes de joueurs depuis hier soir).
L’homme à la barre légendaire a donc réussi à placer la barre haute. Le jury, sans sourciller, succombe au charme du mignon et Bruno G., Bernard P., Hervé D., Yannick D. et Thomas V. dégainent le 16 ! Vous avez bien entendu : 16. Comme on dit dans le jargon des chroniqueurs, la barre est dure avec un très étroit.
Enfin, pour ceux qui n’arrivent pas à suivre, à noter la mise en place d’un nouveau label : Cétoukafélui, que Jérôme déflore avec brio.
Le barde n'était pas là, mais y a poème quand même :
Sachant qu’il n’est pas facile de faire des rimes habiles
Et que qui les fait sans vouloir est couillon sans le savoir
Soyez cléments camarades, il n’est là qu’en intérim
Espérant désespérément des phrases qui riment
Oyé braves gens, oyé braves hommes
Penchons nous enfin sur la popote de Jérôme
Que les mardis tremblent et que le torse bombe
L’événement du jour est un record qui tombe
Cooool, le roll mops venant du froid était scandinave
Avec ses gondoles d’endives et ses dès de betteraves
Etant venue plus tôt l’heure des braves
Qui désertèrent sans lumière le pré à l’heure grave
C’est tout qu’a fait lui, notre Jacques a dit
Le filet mignon en croûte avec ses champignons
Présenté conquérant, vini vidi et carottes vichy
Devant tant de bravoure le vin fut sans chichis
Bien que de prime abord la banane semblait molle
Ton repas, Jérôme, nous a foutu la gaule
Il fut sans mal et sans le moindre bémol
Celui qui fit bouffer aux adversaires le sol
A gauche, le créateur du label Cétoukafélui et à droite, le poète de rechange déguisé en Elie Semoun.
16 avril 2006
14 avril 2006
12 avril 2006
Le cuistot de la semaine et la paix des ménages
Arnaud B. est bien marié et il nous en a fait la démonstration. On peut s’en réjouir, car les collègues qui ne vivent plus d’amour et d’eau fraîche (sic) se rabattent eux sur le prêt-à-manger, tantôt en boîtes, tantôt sous alu. Profitons en tant que maman est comblée et le « tu sais où tu peux te la mettre ta bouffe du mardi ! » n’est pas encore à l’ordre du jour.
Bref, des petites mains agiles se sont agitées pour émietter le poisson pendant que d’autres se gaussaient devant le slogan de notre campagne irlandaise « ça sent le poisson ! ». Une belle terrine bien présentée pour une entrée généreuse suivie d’une ratatouille griffée d’une grande marque avec son jambon braisé (des heures et des heures) dans son excellent jus. Le reste est un classique : camembert et gâteau au chocolat.
Le jury a apprécié le fait maison, normal pour un architecte. Lulu, Roland l’Amiral, Philippe Th, Lolo, Jean-Philippe S. et le Général donne à notre batisseur de quoi affoler le détenteur du record (non moins jeune, ni moins bien marié) : 14,5.
La suite, on la connaît. Un verre, ça va. Trois verres, ça va, ça va, ça va.
Ce qu'en dit le barde
C'est par un pain de thon qu'Arnaud nous appâta
mais le fourbe n'était pas l'auteur de ces appâts
Laurie, la douce Laurie les avait préparés
mais bon l'on est plus seul lorsque l'on est marié
c'est bien mieux j'en conviens que l'appel au traiteur
car cela ne sort pas des intimes cuisines
où parfois le cuistot la ménagère lutine
le thon était fort bon, l'endive la meilleure
le jambon au porto était fait à demeure
mais pas la ratatouille confinée chez Picard
n'importe elle était bonne et avalée dard dard
même si ses légumes n'étaient pas des primeurs
Le camembert classique parfuma nos gosiers
il appelait le vin, le pain et les baisers
que tout mâle ignorant des rites de l'amour
s'apprêtent à donner à sa tendre dulcinée
il s'étonne après de ne pas trouver place
dans le corps de la belle que ses odeurs agacent
il est pourtant des femmes aux ardeurs salaces
qui ne s'attardent pas à de telles impasses
et c'est au chocolat qu'il revint de conclure
ce prodigue repas consommé à la hâte
tant les mets proposés firent bonne figure
à l'appétit blasé de trente bouffeurs de chattes
Bref, des petites mains agiles se sont agitées pour émietter le poisson pendant que d’autres se gaussaient devant le slogan de notre campagne irlandaise « ça sent le poisson ! ». Une belle terrine bien présentée pour une entrée généreuse suivie d’une ratatouille griffée d’une grande marque avec son jambon braisé (des heures et des heures) dans son excellent jus. Le reste est un classique : camembert et gâteau au chocolat.
Le jury a apprécié le fait maison, normal pour un architecte. Lulu, Roland l’Amiral, Philippe Th, Lolo, Jean-Philippe S. et le Général donne à notre batisseur de quoi affoler le détenteur du record (non moins jeune, ni moins bien marié) : 14,5.
La suite, on la connaît. Un verre, ça va. Trois verres, ça va, ça va, ça va.
Ce qu'en dit le barde
C'est par un pain de thon qu'Arnaud nous appâta
mais le fourbe n'était pas l'auteur de ces appâts
Laurie, la douce Laurie les avait préparés
mais bon l'on est plus seul lorsque l'on est marié
c'est bien mieux j'en conviens que l'appel au traiteur
car cela ne sort pas des intimes cuisines
où parfois le cuistot la ménagère lutine
le thon était fort bon, l'endive la meilleure
le jambon au porto était fait à demeure
mais pas la ratatouille confinée chez Picard
n'importe elle était bonne et avalée dard dard
même si ses légumes n'étaient pas des primeurs
Le camembert classique parfuma nos gosiers
il appelait le vin, le pain et les baisers
que tout mâle ignorant des rites de l'amour
s'apprêtent à donner à sa tendre dulcinée
il s'étonne après de ne pas trouver place
dans le corps de la belle que ses odeurs agacent
il est pourtant des femmes aux ardeurs salaces
qui ne s'attardent pas à de telles impasses
et c'est au chocolat qu'il revint de conclure
ce prodigue repas consommé à la hâte
tant les mets proposés firent bonne figure
à l'appétit blasé de trente bouffeurs de chattes
07 avril 2006
05 avril 2006
Le cuistot de la semaine : Kiki on t'aime, Kiki on t'adore...
Il est désormais acquis que des huîtres en entrée rapportent autant de points qu’un quadruple flip renversé avec salto arrière en patinage artistique. Kiki l’a fait et avec la manière, car pour taquiner les huîtres, il a prévu citron ET vinaigrette à l’échalote. Pour ceux qui le connaissent bien, il n’y a là rien de surprenant : avant de s’attaquer à un mollusque bivalve, Kiki s’assure toujours de sa fraîcheur.
Quant au beurre/saucisse, fallait pas réveiller le vieux démon. Le beurre/saucisse pour Kiki, c’est Dernier Tango à Paris.
Mais le tour de piste fut encore plus riche : agneau à gogo et du beau gratin, panaché de salade et ses trois fromages, tarte aux pommes et gâteau au chocolat, vin blanc, vin rouge et… Champagne. On se serait cru à un mariage !
Jacques le boucher, Lolo, Jean-Ph S., Hervé D., Gilbert A. et Yannick D. célèbrent la noce avec un 14. Kiki, lui, en est à 54 (ou 56, à cet âge-là, on ne sait plus). On croyait regagner le bercail avec l’haleine vierge, mais le berger a enfilé la brebis et Hervé D. était en tournée. 2 h du matin : c’est parti mon Kiki, c’est parta mon…
Ce que la barde en dit :
C'est la tête dans le pâté que nous partîmes at home
au comptoir, en effet, nous parlâmes entre hommes
après avoir goûté aux huîtres et à l'agneau
de maître Signolat, magnifique aux fourneaux
Le rubgy de comptoir a des charmes innombrables
il prolonge à merveille les plaisirs de la table
les lendemains qui chantent y perdent un peu leur âme
qu'importe c'est au présent que l'on fourbit ses armes
il fut question de touffes, de rugby et d'Irlande
et nous reprîmes en cœur nos hymnes en guirlande
Kiki parla très peu de ses quêtes féminines
de ses furieux périples que le désir dessine
nous revinmes hachés par trop de bières bues
le cœur en bandoulière et "la bite sous le bras"
trouvant dans le sommeil un repos scélérat
pour nos corps harassés, avinés et fourbus
Le Café populaire a sans doute des charmes
mais rien ne vaut, amis, de rester dans le trou
méditez l'évidence et desserrez l'écrou
car c'est au fond du trou que la vie se déclame
Quant au beurre/saucisse, fallait pas réveiller le vieux démon. Le beurre/saucisse pour Kiki, c’est Dernier Tango à Paris.
Mais le tour de piste fut encore plus riche : agneau à gogo et du beau gratin, panaché de salade et ses trois fromages, tarte aux pommes et gâteau au chocolat, vin blanc, vin rouge et… Champagne. On se serait cru à un mariage !
Jacques le boucher, Lolo, Jean-Ph S., Hervé D., Gilbert A. et Yannick D. célèbrent la noce avec un 14. Kiki, lui, en est à 54 (ou 56, à cet âge-là, on ne sait plus). On croyait regagner le bercail avec l’haleine vierge, mais le berger a enfilé la brebis et Hervé D. était en tournée. 2 h du matin : c’est parti mon Kiki, c’est parta mon…
Ce que la barde en dit :
C'est la tête dans le pâté que nous partîmes at home
au comptoir, en effet, nous parlâmes entre hommes
après avoir goûté aux huîtres et à l'agneau
de maître Signolat, magnifique aux fourneaux
Le rubgy de comptoir a des charmes innombrables
il prolonge à merveille les plaisirs de la table
les lendemains qui chantent y perdent un peu leur âme
qu'importe c'est au présent que l'on fourbit ses armes
il fut question de touffes, de rugby et d'Irlande
et nous reprîmes en cœur nos hymnes en guirlande
Kiki parla très peu de ses quêtes féminines
de ses furieux périples que le désir dessine
nous revinmes hachés par trop de bières bues
le cœur en bandoulière et "la bite sous le bras"
trouvant dans le sommeil un repos scélérat
pour nos corps harassés, avinés et fourbus
Le Café populaire a sans doute des charmes
mais rien ne vaut, amis, de rester dans le trou
méditez l'évidence et desserrez l'écrou
car c'est au fond du trou que la vie se déclame
04 avril 2006
Montaigne marque un essai
Comme le dit si bien un proverbe breton : Quand le goéland se gratte le gland, c’est qu’il va faire mauvais temps. Quand il se gratte le cul, c’est qu’il ne fera pas beau non plus…
Que va-t-il se gratter notre barde samedi 8 avril 17 h ?
A la Machine à Lire, 8 place du parlement à Bordeaux, Montaigne marque un essai : Mohé.
Venez nombreux avec 10 euros en poche, vous repartirez intelligents !!!
Que va-t-il se gratter notre barde samedi 8 avril 17 h ?
A la Machine à Lire, 8 place du parlement à Bordeaux, Montaigne marque un essai : Mohé.
Venez nombreux avec 10 euros en poche, vous repartirez intelligents !!!
02 avril 2006
Les aventures de Kiki sur le parking de Langon
L'aventure avait mal démarré, Kiki était resté à l'heure d'hiver. Notre héros gare sa voiture sur le parking de Langon à la sortie de l'autoroute avec une heure de retard. Moulé dans son pantalon comme un toréro, il aborde une dame avec un "vous m'attendez ?" que seul Boggart se serait permis de faire. Mauvaise pioche...
Mauvaise pioche, téléphone portable, un "allo" de rage et tout devient clair. "Je croyais que tu m'avais posé un lapin !". C'est mal le connaître. Pas de lapin, juste sa femelle serrée dans le pantalon comme une andouillette sous vide.
"Sur le parking ? Oui, j'arrive"... Kiki regagne sa voiture et se refait une beauté digne du printemps en mettant à mano son rouleau de printemps en forme et à l'air. De telle façon que le manche à deux marteaux serait prêt pour la Jacob de chez Scouflaire Frères installés autrefois à Onnaing*.
L'heure séparant l'hiver de l'été étant aussi longue qu'une heure séparant rien du tout, sa petite aiguille tombe amoureuse des cinq doigts qui l'étreingnent, et les gratifie d'une chantilly sans supplément. Ainsi la dame de l'heure d'été fait connaissance avec son deuxième lapin.
Moralité : à l'heure d'été pour la tétée, toutes les aiguilles sont à régler.
* : cf. google.fr
Mauvaise pioche, téléphone portable, un "allo" de rage et tout devient clair. "Je croyais que tu m'avais posé un lapin !". C'est mal le connaître. Pas de lapin, juste sa femelle serrée dans le pantalon comme une andouillette sous vide.
"Sur le parking ? Oui, j'arrive"... Kiki regagne sa voiture et se refait une beauté digne du printemps en mettant à mano son rouleau de printemps en forme et à l'air. De telle façon que le manche à deux marteaux serait prêt pour la Jacob de chez Scouflaire Frères installés autrefois à Onnaing*.
L'heure séparant l'hiver de l'été étant aussi longue qu'une heure séparant rien du tout, sa petite aiguille tombe amoureuse des cinq doigts qui l'étreingnent, et les gratifie d'une chantilly sans supplément. Ainsi la dame de l'heure d'été fait connaissance avec son deuxième lapin.
Moralité : à l'heure d'été pour la tétée, toutes les aiguilles sont à régler.
* : cf. google.fr
01 avril 2006
Le poisson pané : nouveau logo des Archiballs
Le blog des archiballs a 100 jours ! Vive le blog et vivent les Archiballs.
A cette occasion, Jean-Louis V., président de l'association des Archiball Bordeaux, vous présente le nouveau logo et la nouvelle mascotte de l'association. Cette nouvelle identité visuelle affiche une modernité et une jeune dynamique. Cette rupture voulue par Jean-Louis marque l'histoire de l'association par ses récentes valeurs et rompt avec l'héritage passéiste du blazon et du castor.
Conçu dans le secret, afin que le débat ne perturbe pas la volonté du président d'un renouveau, ce logo sera bientôt décliné et présent sur toute la gamme Archiball : le nouveau maillot, le nœud de papillon et les toutes dernières commandes pour lesquelles Titi La Boutique avait pris du retard, et pour cause... Quand à ceux qui possèdent déjà des blazers et autres éléments de la gamme Archiball, ils sont priés de les rapporter avant le 30 juin 2006 afin que la nouvelle signature puisse y être apposée.
En espérant votre complète adhésion.
Le président
Pour voir le logo, cliquez ici
A cette occasion, Jean-Louis V., président de l'association des Archiball Bordeaux, vous présente le nouveau logo et la nouvelle mascotte de l'association. Cette nouvelle identité visuelle affiche une modernité et une jeune dynamique. Cette rupture voulue par Jean-Louis marque l'histoire de l'association par ses récentes valeurs et rompt avec l'héritage passéiste du blazon et du castor.
Conçu dans le secret, afin que le débat ne perturbe pas la volonté du président d'un renouveau, ce logo sera bientôt décliné et présent sur toute la gamme Archiball : le nouveau maillot, le nœud de papillon et les toutes dernières commandes pour lesquelles Titi La Boutique avait pris du retard, et pour cause... Quand à ceux qui possèdent déjà des blazers et autres éléments de la gamme Archiball, ils sont priés de les rapporter avant le 30 juin 2006 afin que la nouvelle signature puisse y être apposée.
En espérant votre complète adhésion.
Le président
Pour voir le logo, cliquez ici
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