02 février 2011

Le cuistot de la semaine, entrainement d'avants et Champagne d'après

Par le Blogueur


On ne saura jamais ce qui peut bien passer par la tête de Toto parfois !
Mais avant d'en parler, il y a cette histoire qui me chiffonne. Il y avait dans les journaux aujourd'hui une info exceptionnelle, un couple de transsexuels ont une fille qui veut elle aussi devenir transsexuelle. Un transsexuel, pour ceux qui ne le savent pas, est une créature d'un sexe qui aspire (hé, calmos, laisse-moi finir) à devenir du sexe opposé. Pour vous donner un exemple, aux Archiball, il y a par exemple... euh ! Non, laisse tomber.
Le plus étonnant dans l'histoire n'est pas que la fille de ce couple de transsexuels veuille devenir transsexuelle à son tour, mais ce qui me chiffonne le plus, c'est que la maman était d'abord un mec et que le papa était une fille. Quand tu réfléchis un peu, tu te demandes pourquoi ils se sont fait chier à changer de sexes alors que le mec qui était devenu une fille est tout bonnement tombé sur une fille qui est devenu un mec. Puisqu'à la base, un mec veut devenir une fille pour connaître l'amour avec un mec, là, le mec, qui est devenu une fille, est tombé sur une fille qui est devenu un mec. Je sais c'est compliqué comme ça, mais regarde, par exemple, aux Archiball, il y a... euh ! Non, non, y a rien.

Bon, tout ça pour dire, qu'hier, a eu lieu le premier entrainement officiel des avants. Oui monsieur. Un entrainement qui a rameuté son petit monde, à commencer par le grand Thom. Gwen, l'instigateur de ce sursaut sportif, est arrivé déguisé en Michaël Cheika, avec le bide, la casquette et un pantalon de survête. Au programme, des exercices de ouf. Impact, protection du ballon, touche : premier bloc et deuxième bloc, branlette : main gauche, main droite. Suivra une partie de touche-touche avec les arrières, un défilé de mode sportif : mitaines, cyclistes et juste-corps. Un grand moment.
Ça se termine toujours comme toujours : massage corporel sous la douche, séance d'habillage et trouage à rat. Là, Toto est au poste, nominé pour le meilleur désespoir masculin : plus de gaz, on risque de manger mi-cuit.
Première impression : Toto aime bien les ballons. Il en a gonflé quelques-uns et les a laissés trainer pour amuser la galerie qui s'est jetée dessus, des gamins dans l'âme.
Deuxième impression : Des photos de célèbres inconnus sont scotchés par ci, par là. On a beau chercher, personne n'a compris. On s'est tous demandé ce qui peut bien passer par la tête de Toto parfois !
La salade de mâche, de chou rouge et de lardons en a fait brouter beaucoup et plusieures fois, par peur de rien avoir de chaud en suivant. L'assemblée, compréhensive, attendait patiemment la cuisson du plat. Rien à dire, pas une manifestation d'agacement. Formidable.
Le plat arrive enfin, filets mignons avec une sauce venue de Mars (crème au kiwi), du riz et des patates douces al dente. Il faut admettre que le castor apprécie la découverte et l'heureux mariage des goûts. Les plats ont été vite essuyés.
Après le fromage, le lancer aurait pu bien se passer si Pascal était resté chez lui. Mais un étrange trouble compulsif le faisait bondir à chaque départ d'assiette dans l'espoir de l'intercepter. Mon voisin, dont je tairai le nom, émet l'hypothèse d'un accident qu'aurait eu Pascal dans un lave-vaisselle quand il était petit. Il faut souvent creuser pour comprendre.

En parlant de comprendre, Toto nous apprend que le couple placardé sur les murs n'est autre qu'un couple d'amis à lui. Ah ! fit l'assemblée histoire de dire quelque chose. Le pote en question est allé jusqu'en Nouvelle-Zélande pour trouver la merveilleuse Miranda. Gwen est dubitatif. Mais qu'est-ce qui peut bien passer par la tête de Toto parfois, en effet !
Pour finir, un gâteau au chocolat bukkaké de chantilly (du verbe japonais bukkakeru) fut dégusté avec quelques coupes de Champagne. On a fêté un anniversaire, qui serait soit celui de Thomas, soit celui de son packs. Toujours est-il que le Toulousain était de retour pour taper la causette avec Pepe qui commençait à se sentir le cul depuis l'absence de Francky.
On pense à toi Francky, tu nous manques grandement au trou. Hier encore, il en restait plein pour tes poules. Reviens vite, on a tous le cul qui gratte et on sait pas comment s'arrêter tellement qu'on est inconsolable !

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