L’Irlande et la France terminent leur 6 nations en beauté. Même s’il faut noter un match contre le pays de Galles dans nos annales. A une lettre « n » près nous avons eu chaud…
L’heure fut en effet au spectacle. Arbitral, je vous prie ! Il est bien loin le temps où les matchs s’arrêtent à la 80ème minute. Le Brexit est désormais en œuvre. L’île a sa langue et ses codes. Berceau du rugby oblige! Cela ne pardonne pas les interprétations subjectives et approximatives de nos juges à l’arrose. La vidéo reste un atout pour certains et un piège pour d’autres. D’ailleurs comme dirait Perdigue « quand le doute appartient à la perfide l’appel de la vidéo se fait sur un écran géant ». La gesticule a du sens. Regardez comme l’Angleterre est grande et sa justice clé ment ! Regardez comment le frenchie est méchant… En revanche quand l’avantage se destinerait pour un coq loin d’être endormi, la gestuelle se fait plus timide. Un petit écran taille lecteur DVD au grand maximum. L’arbitre est seul juge devant des millions de spectateurs. Mais heureux le bon sort et la solidité de nos tricolores.
Du coup pour la Saint Patrick de nos nounours tout se fait en décalage. L’arrivée en chantier. C’est Flo en tête d’enfile qui porte les maillots. Les castors sont en masse autour du portable de Gwen architecte et constructeur à ses heures. L’arbitre anglais siffle enfin l’essai mérité. Miguel suppose une logique chromatique. Les bleus jouent en bleu et les diables en rouge. N’empêche comme notre Jean Pierre…
Le rouge agite le taureau pour l’anglais qui l’ignore et le bleu temporise les casques. Les règles s’adaptent, d’où l’idée d’une protection arbitrale. Le tout est que son chef d’orchestre reste en accord avec lui-même. Je plains sa solitude. Il fut néanmoins source d’émotions. De la révolte à la tristesse, de l’incompréhension à la récompense. Bref l’ordre a ses réponses dans nos appartenances latines. N’est-ce pas la traduction en civilisation des jeux du cirque, nez rouge pour l’arbitre à l’appui. Sacré pied de nez à Aliénor.
L’illusion fut bien réelle et la victoire bien française. Certains devraient avoir confiance à une neutralité du juge qui donne simplement le destin aux joueurs et le hasard dirigé à l’ovale. « L’arbitre a ses raisons que la saison ignore ! » me glisse Titi pinson volant. Il y a du latin décomplexé dans nos voisins anglophones. Ce qui se siffle au bout de 3 pénalités se siffle au bout de 25 pénalités pour d’autres. A solitude de la justice ! Zorro est bien un solitaire qui parle espagnol. Bernardo muet ne peut que gesticuler devant de tels forfaits… La sentence pour les latins est plus directe et bien moins perfide. A dire vrai certains privilèges résistent et se prouvent aux échecs. Le roi ne se touche pas. En revanche tu peux taquiner la dame comme tu veux. Mais point de contact au roi. Nos bleus mis aux nus n’ont pas reculé. Fin du match et du tournoi et début du notre.
L’arbitre et coach fut nounours. Normal, c’est eux qui réceptionnent ! Comme quoi on peut être juge et parti et être bon. Du coup la danse des équipes et du jeu fut équilibrée. Le score fut libéré. Il en est ainsi quand l’esprit du rugby est respecté. Nous n’étions pas assez pour faire du jeu à quinze. Notre staff réfléchit sur la question. Ils ont découvert la possibilité de communiquer par mail, pigeon voyageur, appel de fumée, télépathie jusqu’au nouveau doodle. Ben lance les dés et il obtint à chaque fois neuf réponses. Le mélange entre doodle et le bordel fait un boggle. Pour les amateurs de bons mots trouvez la fameuse « qu’on sonne » comme signe de rappel.
Nous eûmes en vétéran Eric pas notre Barde pris dans ses écritures, mais l’inventeur en Renaissance. L’homme ne le croyait pas. Si peu de monde et tant de galons. Du coup il sortit son doigt. Poussou poussa derrière lui et se retrancha sur sa pelouse, ne ratant jamais une occasion pour montrer sa saucisse. Le castor a des suites dans ses idées. Il épice la vie en herbe. Le grand Thom sortit sa relève. Pour dire il a le sens de la réplique. Un grand thom bis à la rescousse et la secousse. Nous authentifions la lignée. Le physique est là, il ne trompe pas. Joss restera en couverture et Peyo en amortit. Thom à la mêlée a ses habitudes. Perdigue en tête chercheuse, Régis à l’aile. En sacrés poulets.
Deux blessés Peyo en acromion et Régis en torticolis. L’expérience fut nouvelle. L’ailier se doit de chauffer ses cervicales, l’attente du jeu se fait par une posture cervico- brachiale tournée vers la mêlée. Le reste est dans l’attente. Dans le jeu à 13 pour que le jeu arrive à l’aile il faut des passes. La position lui fut fatale, les muscles ont le temps de refroidir pour le gros qui s’ignore. La première passe sautée et c’est le claquage ! Rien de grave pour l’ailier, mais bien une entorse pour notre centre basque. Peyo restera au chaud pendant 6 semaines. Le clouc fut sensible à son acromion.
Mis à part ça le jeu fut dynamique, en passe, en contact, en passe sans contact, en contact avec passes, en plaquage et en calzone pour la touche. Du jeu à l’ancienne comme on l’aime. Les deux équipes sont faites pour partager du bon temps. Le rythme est soutenu Easy Gwen en survol, et Peyo avec un seul acromion a du mal du coup à respirer et cherche son souffle. Il terminera le match. Le castor est solide. Sur le banc de touche la relève est absente du coup tout le monde jouera jusqu’au bout. Julien en talon sera l’unique stagiaire de la partie. Il se rend compte que dans la mêlée les castors sont chauds ! Ben a retrouvé ses talons et ses retours à l’intérieur. Les gros ont une fâcheuse tendance de revenir vers les gros…
Et les anglais d’arbitrer pour les anglais. Les nounours en belle opposition ! Ils jouent le ballon et aiment aussi les envolées. Le score fut de 5 essais à 5. Peut-être un essai oublié pour les Nounours qui ne m’en tiendront rigueur. Les entames furent Archiball dans un jeu de passe et d’opportunisme (Thom en mobylette anonyme). Et les fins de mi-temps en anaérobie pour les Archiballs et en caractère pour les Nounours avec un sacré centre en canne. Les deux équipes se mélangèrent dans un jeu libéré et convivial. Le respect est là. Il y a des cloucs et des déclics, c’est cool. L’arbitre libérera rapidement l’assemblée. Tout le monde n’est pas british. Car une réception se dessine. La douche et nous voilà dans l’Eire du temps !
L’ambiance est familiale, l’Irlande siège à Pessac. Des danseurs animent la soirée et la flûte gaélique libère une mélodie que la Guinness sublime dans ses saveurs celtiques. Peyo déclara forfait pour le concours de fléchette. Une sacrée mise aux verts pour nos Castors ! L’ambiance est barbue, déclin actuel du féminin et montée en puissance de la bière. La rousseur est brune me souffle en poème Julien. Une sacrée et une belle réception à la Nounours. Les pintes tournent, les castors dansent, le grand Thom transmet au petit le plaisir d’être Archi. Les nounours dans l’accueil, ils ne changent pas et promettent une réception qui gagne. Et la pression coule à Flo...
L’ambiance est familiale, l’Irlande siège à Pessac. Des danseurs animent la soirée et la flûte gaélique libère une mélodie que la Guinness sublime dans ses saveurs celtiques. Peyo déclara forfait pour le concours de fléchette. Une sacrée mise aux verts pour nos Castors ! L’ambiance est barbue, déclin actuel du féminin et montée en puissance de la bière. La rousseur est brune me souffle en poème Julien. Une sacrée et une belle réception à la Nounours. Les pintes tournent, les castors dansent, le grand Thom transmet au petit le plaisir d’être Archi. Les nounours dans l’accueil, ils ne changent pas et promettent une réception qui gagne. Et la pression coule à Flo...
Encore une belle rencontre avec nos amis à poils.
La soirée avance, l’heure se fait au retour. Il en est ainsi de toutes bonnes choses. La douceur se veut dur au final. Pour revenir il faut bien partir. N’est-ce pas là le noyau de la mélodie gaélique. Le bonheur se vit, se danse et un blog qui reste à lyre…
La soirée avance, l’heure se fait au retour. Il en est ainsi de toutes bonnes choses. La douceur se veut dur au final. Pour revenir il faut bien partir. N’est-ce pas là le noyau de la mélodie gaélique. Le bonheur se vit, se danse et un blog qui reste à lyre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire