Par Le Barde et Bardibule
Le printemps fait son œuvre. Les giboulées en derniers cris de Mars font maintenant place au soleil. L’été appelle son Guitou, itou. Les montagnards yololent, les castors itouent. L’hibernation a sonné son glas. Le fameux glas du glagla hivernal. Le Sabite et Tom en pointe, Dudu en regard dévissé et Croucrou en sage avisé. Ce dernier réécrit pour le novice les règles du toucher. Il en est au tome 1 : « La controverse est satanique ». La défense se déstabilise en un mouvement et trois mots. Et les croyances de l’un deviennent les déviances de l’autre. Dieu des castors, ils sont devenus fous… Du coup Titi qui en est resté « au pré on bulle » de la fameuse, dit « certes », a retrouvé la ligne. Même en hors-jeu le castor est bon. Sa beauté pince son pinson.
Le tout est technique la ligne bouge et nous éloigne par le temps de la limite de son hors-jeu. Subtil mais technique. Le hors-jeu est simple comme une défense qui attend. « Tout vient à plaindre à qui sait attendre ». Le jeu en dehors des clous restent un éphémère dont certains sont des maitres de l’intercepte.
Croucrou à défaut de Barde chante l’entourloupe. Pour ce jeu la bouteille est nécessaire. Bouteille en métaphore du poids et de l’expérience. Et sur le coup le pinson a de l’expérience. Le radiologue irradie depuis peu sur des jours sans jupes de plomb. Il s’ouvre pour ainsi dire au bonheur. Sa foulée est légère et sa feinte embusquée toujours aussi dévastatrice. Qui a dit que les vieux ne savent pas courir ? Sergio de son côté toujours à l’affût de l’ouverture. Il ne l’attend plus depuis longtemps, le castor barman a pour devise « quitte à l’attendre autant le créer ». L’art est dans la désynchronisation du bas et du haut. Le pantin mime la défense dans un jeu de miroir fatal. Il joue à la pointe des pieds de son adversaire. Un coup je fais la passe et un coup la feinte part. Bref il provoque la convoque avec la ligne.
Nous fumes nombreux à courir en ce mardi du saint Anicet. Anicet est un sain pour qui aime l’anis. Le dieu des castors sait que l’Anicet garde dans son signifiant désaltérant une part d’invincibilité.
Certains esclaves furent affranchis pour la question à changer le cours de l’histoire de Rome. Ceci est un détail pour certains et pour le Pintxe ça veut dire beaucoup. Couilles qui ne tiennent… Même si sur le coup l’insoumis est en vacances. Tout combat même éternel mérite une pause. Il parait que l’éternité c’est long… surtout vers la fin. Bises à Woody qui joue sans perdre Allen. Nous eûmes du beau. Le soleil aide sur la question et la lune dans son balbutiement de premier quartier qui distingue le croissant de la chocolatine. Nous sommes à Bordeaux où nous ne le sommes pas. Les Gascons mangent bon. La partie nocturne libéra le jeu en pointe du jeune Doc qui joue et vie sur le pré de Musard. Chaque brindille le porte dans l’accélération. Il joue à domicile. Le noir le met en lumière.
Pour ceux qui jouent à l’extérieur à domicile, le noir est ingrat il crée des marches arrières avec des en-avants qui se répètent. Le salut fut dans l’inconnu. Le secret tient dans celui qui connait où se situe l’interrupteur et la lumière fut. Alléluia pour certains qui se rendirent compte que le toucher se fait avec un ballon. Tout le monde acquiescera que ce qui se passe dans le noir reste dans le noir. La lumière retrouvée nous reprîmes le cours du jeu cette fois ci avec le ballon. La technique se veut dans la simulation. La pensée du geste ne s’éprouve pas que dans le moteur des choses. Le mouvement est une anticipation permanente d’une expérience motrice mémorisée. La perception est une action simulée. Le beau jeu se veut dans l’intention pour celui qui suit l’affaire. Freud dans le simulé ne stimule qu’un orgasme déplacé. D’ailleurs sur le sujet Lacan ne peut que pousser sa métaphore « à toute passe manquée, est une casserole réussie ! ». Heureusement que la lumière donne accès aux souvenirs et que la pénombre se joua du nombre. Double doc en prime. L’un est chaussé et l’autre aussi. C’est la Piballe qui réceptionne.
Au trou nous retrouvâmes du beau monde. La Piballe qui n’a pas dormi tout l’hiver fut fort en canne quand la bise fut venue. Les foumis travailleuses du trou se sont données rendez-vous et pas des moindres. Du pilier dans Lafourche face à notre Pépé éternel. Mozart dans la distribution active. Sa douce va mieux et l’homme aime son trou. La génération de la passe à l’aile, la vie est belle en centre averti de Calanques bronzées qui porte son « P ». Le Zinzin en réserve de quoi remplir toute la table et de laisser à notre vénéré Tarlouze qu’un bout de bar. Un Tarlouze sans Walid c’est comme Gwen qui fait une passe, cela reste du domaine de l’impensable. Le Trez est présent. Le jacquouille aussi. La table est mise et voici que notre hôte sort ses œufs. Poussou rougit il comprend le sens figuré de la question. Pour lui les œufs c’est pour battre l’omelette. Les œufs rien de tel pour rendre le sourire au castor. Le mimosa est un fondamental dans l’art de la bonne bouffe.
Les œufs font le printemps comme les hirondelles font le couscous. La merguez en nombre limitée. Le trou a ses parfums que le nombre ignore. Aujourd’hui les castors font masse. Quoi de plus jouissif qu’un trou comblé. L’extase est dans le sentiment de complétude. Les raisins secs pour nous ramener dans le fruité de la semoule et tous les épices qui poussent l’orient à nos porte. La Piballe a compté juste. Il ne s’attendait pas à autant de berbères affamés.
L’heure se fit au lancer. La Piballe sur la question n’est pas économe et balance du bon jeu. Le doigté et dans le saint-Bruno. Pépé a eu chaud à son béret. Le béret de Pépé reste un symbole dans l’art du spectacle. Plus le béret se rapproche des épaules et plus le spectacle est réussi. La casse fut au rendez-vous mais bravo au lanceur dont les objectifs d’une passe allongée furent largement appréciés. Houston nous avons une assiette. La Piballe ayant bien lancé tout ce qu’il avait sortit son coulant de fromage un rustique dont on en oublie le nom. Camembert sur le sujet.
Le dessert un gateau au chocolat tendre et léger à la première, légèrement plus lourde à la troisième bien plombante. Le chocolat est ingrat et le dessert tellement bon.
Le jeu de cartes en rendez-vous du hasard laissa un Zinzin en justicier de l’espace.
Le trou repu. Les castors sortirent de leurs « entre ». Dehors la lune toujours timide débute son remplissage. Le cycle est au rendez-vous et Porto à notre porte…
Au trou nous retrouvâmes du beau monde. La Piballe qui n’a pas dormi tout l’hiver fut fort en canne quand la bise fut venue. Les foumis travailleuses du trou se sont données rendez-vous et pas des moindres. Du pilier dans Lafourche face à notre Pépé éternel. Mozart dans la distribution active. Sa douce va mieux et l’homme aime son trou. La génération de la passe à l’aile, la vie est belle en centre averti de Calanques bronzées qui porte son « P ». Le Zinzin en réserve de quoi remplir toute la table et de laisser à notre vénéré Tarlouze qu’un bout de bar. Un Tarlouze sans Walid c’est comme Gwen qui fait une passe, cela reste du domaine de l’impensable. Le Trez est présent. Le jacquouille aussi. La table est mise et voici que notre hôte sort ses œufs. Poussou rougit il comprend le sens figuré de la question. Pour lui les œufs c’est pour battre l’omelette. Les œufs rien de tel pour rendre le sourire au castor. Le mimosa est un fondamental dans l’art de la bonne bouffe.
Les œufs font le printemps comme les hirondelles font le couscous. La merguez en nombre limitée. Le trou a ses parfums que le nombre ignore. Aujourd’hui les castors font masse. Quoi de plus jouissif qu’un trou comblé. L’extase est dans le sentiment de complétude. Les raisins secs pour nous ramener dans le fruité de la semoule et tous les épices qui poussent l’orient à nos porte. La Piballe a compté juste. Il ne s’attendait pas à autant de berbères affamés.
L’heure se fit au lancer. La Piballe sur la question n’est pas économe et balance du bon jeu. Le doigté et dans le saint-Bruno. Pépé a eu chaud à son béret. Le béret de Pépé reste un symbole dans l’art du spectacle. Plus le béret se rapproche des épaules et plus le spectacle est réussi. La casse fut au rendez-vous mais bravo au lanceur dont les objectifs d’une passe allongée furent largement appréciés. Houston nous avons une assiette. La Piballe ayant bien lancé tout ce qu’il avait sortit son coulant de fromage un rustique dont on en oublie le nom. Camembert sur le sujet.
Le dessert un gateau au chocolat tendre et léger à la première, légèrement plus lourde à la troisième bien plombante. Le chocolat est ingrat et le dessert tellement bon.
Le jeu de cartes en rendez-vous du hasard laissa un Zinzin en justicier de l’espace.
Le trou repu. Les castors sortirent de leurs « entre ». Dehors la lune toujours timide débute son remplissage. Le cycle est au rendez-vous et Porto à notre porte…
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