03 novembre 2022

Le cuistot de bouffe : Gros Marco comme devant

Par le Barde et Bardibulle



Marco était de bouffe. Le trou fait dans le neuf. Du coup, ce sont les gros qui sont mis en avant. Le gros est un avant par définition qui s’ignore. Il se distingue par leur couronne de strap. Le pré comme de loin garde ses repères. Maxime et le Tarbais anime un jeu qui procrastine. La pression n’est pas loin quand le jeu se repousse à demain. Bref, il y a du monde, de l’intensité et un jeu qui se rapproche du plaqué. Les équipes en opposition trouvent équilibre à un ou deux essais prêts. Le jeu est alerte tous les ballons se jouent. Le bar est en hauteur autant mettre du costaud en cuisine. Tout était prêt à l’arrivée des joueurs. La machine à pression est en commande du coup les castors font union autour du bar. Notre cuistot chantonne du Nadau quand il se sent d’attaque. Un mélange de douceur dans un monde parfois dévastateur. Curieux que dans le dur se murmure toujours un petit air d’encantada. Le « a » dont les parpagnas ne sont pas avares se prononce « o ». Le cuistot pour sa première dans le nouveau trou complète son répertoire. « Mon dieu que j’en suis à mon aise,Quand mon Saby est auprès de moi… ». L’accueil fera l’entrée. Pourquoi se mettre à table alors que le sud nous maintient debout. Jacquouille dans la charcutaille trouve du bonheur. Du jamon del Païsse ! Du chorizo, tout est bon dans le cochon. Le pain fera un rappel en surface. Un plateau combinado des saveurs d’Espagne. Le rosé et un soupçon d’anisé arrosera le débat.

La mise à table se fera à l’écho d’un Pépé. Son « à table » est unique il sonne 22H. Pour le coup il nous fera mentir. La table est encore bien remplie. Les coureurs sont en appétit, la relève et les piliers s’apprivoisent le repère. Le plat sera somptueux et copieux. A croire que Marco est un gros qui s’ignore. Pas de demi-mesure, l’homme du pack envoie du bois. Le plat porte en nom dont la saveur en permet l’oubli. Preuve en photo en appui.



Le dessert se fera en deux temps. L’absence de fromage trouvera un réconfort dans les tapas. Un lancer à l’ancienne sans trop de fracas. Qui a dit que les gros ne savaient pas lancer. Le cuistot a tout misé sur la forme et le fond quel plaisir quand le genre se mélange. Le dessert se fera à l’emporte-pièce. Chacun son petit verre d’une mousse au chocolat, crème chantilly, framboise et sablé. La délicatesse à l’état brut. Un petit air d’encantado, car le a mérite son o.

Le bout de table s’installe en mode belote. Le nouveau trou assoit le jeu. Les gros se retrouvent à la hauteur du bar. Mondragon se prépare.

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