07 septembre 2006

Une rentrée gravée dans les anales (un seul « n »)

Allez savoir pourquoi quand ça pue, ça poète de partout ! N'est-ce pas le coq qui chante même les pieds dans la merde ? Joutes verbales entre inspirés quand ça daube, réponse de notre ex-président au barde dédiée à tous les Archiballs. On est gatés !

Aussi loin que je fouille au fin fond des annales
Des rentrées Archiball les plus originales
Je ne trouve qu’orgies, ripailles et bacchanales,
La chanson des odeurs, rien que très normal.

Mais celle de 2006, au parfum animal,
Cette vision d’horreur, montant aux fosses nasales,
Des souvenirs de chtouille envahissant la salle,
Restera à jamais gravée dans les anales.

Il faut garder espoir, ô amis Archiball.
L’assureur Gaboriau saisi aux amygdales
Entrepris par Loulou devra se mettre à table
Et de not’ trou à rats rallumera le fanal.

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