Le 22 décembre, un appel a été lancé sur notre blog pour participer à la journée mondiale du don d'orgasmes. Les Archiballs ont été nombreux à se mouiller pour la bonne cause ! La palme d'or(gasme) revient à…
27 décembre 2006
26 décembre 2006
25 décembre 2006
24 décembre 2006
23 décembre 2006
22 décembre 2006
Don d'orgasmes
En ces temps de Noël, on est particulièrement sollicité par des assocations caritatives. Si la plupart demande du temps ou de l’argent, l'équipe de l'Archiblog vous invite à « donner » votre orgasme pour l'association Global Orgasm. C'est le premier anniversaire du blog, alors ça s'arrose !
En effet, deux pacifistes allumés Donna Sheehan (76 ans, vieille gamelle pour une bonne soupe) et Paul Reffell (55 ans, vieux vicelard à la tête de lard) ont lancé un appel mondial d’« orgasme mondial simultané pour la paix » le vendredi 22 décembre (oui, oui, c'est aujourd'hui). Ils invitent hommes et femmes de tous pays à avoir des relations sexuelles le jour du solstice d’hiver - soit le vendredi 22 décembre - et à avoir des pensées pacifistes avant et après. Pour les détails, c’est au gré de chacun : « à l’heure que vous souhaitez, dans le lieu que vous souhaitez et dans l’intimité que vous le souhaitez. »
Ce projet, inspiré du soixante-huitard « faites l’amour pas la guerre », se veut une démarche scientifique. Partant du principe que nos esprits pourraient influencer les champs d’énergie, ils estiment que si, à un moment donné, un maximum de personnes ont un orgasme et des pensées pacifiques, cela peut modifier « le champ d’énergie de la Terre » et ainsi « réduire les niveaux de violence et d’agression ». Ils entendent calculer ce phénomène grâce au Global Consciousness Project de l’Université de Princeton (EU), un programme qui vise à mesurer l’impact d’événements majeurs – comme le Tsunami de décembre 2004 - sur la conscience de l’humanité.
Ami Archiball, pacifiste ou non, convaincu par le projet ou pas, rien ne t’empêche de participer. Et rien ne t’interdit de prolonger l’action aussi lontemps que tu le souhaites. C’est gratuit, et tu peux « donner » autant de fois que tu veux, où et avec qui tu veux. Il y a bien, en chacun de nous, un Jean-Claude Van Damne qui sommeille, lui qui a dit un jour : Ma femme n'est pas ma meilleure partenaire sexuelle, mais elle fait très bien le ménage… Au début pour faire l'amour..., et je ne parle pas que de sexe..., il faut être physical, mais ensuite, il faut être plus mental, et après quand tu as un enfant, il faut être spiritual pour bien l'élever.
Pour vous mettre en appétit, quelques sex-symbols bien de chez nous en plein orgasme !
En effet, deux pacifistes allumés Donna Sheehan (76 ans, vieille gamelle pour une bonne soupe) et Paul Reffell (55 ans, vieux vicelard à la tête de lard) ont lancé un appel mondial d’« orgasme mondial simultané pour la paix » le vendredi 22 décembre (oui, oui, c'est aujourd'hui). Ils invitent hommes et femmes de tous pays à avoir des relations sexuelles le jour du solstice d’hiver - soit le vendredi 22 décembre - et à avoir des pensées pacifistes avant et après. Pour les détails, c’est au gré de chacun : « à l’heure que vous souhaitez, dans le lieu que vous souhaitez et dans l’intimité que vous le souhaitez. »
Ce projet, inspiré du soixante-huitard « faites l’amour pas la guerre », se veut une démarche scientifique. Partant du principe que nos esprits pourraient influencer les champs d’énergie, ils estiment que si, à un moment donné, un maximum de personnes ont un orgasme et des pensées pacifiques, cela peut modifier « le champ d’énergie de la Terre » et ainsi « réduire les niveaux de violence et d’agression ». Ils entendent calculer ce phénomène grâce au Global Consciousness Project de l’Université de Princeton (EU), un programme qui vise à mesurer l’impact d’événements majeurs – comme le Tsunami de décembre 2004 - sur la conscience de l’humanité.
Ami Archiball, pacifiste ou non, convaincu par le projet ou pas, rien ne t’empêche de participer. Et rien ne t’interdit de prolonger l’action aussi lontemps que tu le souhaites. C’est gratuit, et tu peux « donner » autant de fois que tu veux, où et avec qui tu veux. Il y a bien, en chacun de nous, un Jean-Claude Van Damne qui sommeille, lui qui a dit un jour : Ma femme n'est pas ma meilleure partenaire sexuelle, mais elle fait très bien le ménage… Au début pour faire l'amour..., et je ne parle pas que de sexe..., il faut être physical, mais ensuite, il faut être plus mental, et après quand tu as un enfant, il faut être spiritual pour bien l'élever.
Pour vous mettre en appétit, quelques sex-symbols bien de chez nous en plein orgasme !
20 décembre 2006
18 décembre 2006
14 décembre 2006
Le cuistot de la semaine, tiens voilà du boudin !
Quoi ? 18 !!! A croire que tous les spécialistes du boudin se sont réveillés. Une bonne note qui accable les absents et moi le premier !
Espérant trouver assistance, j’ai demandé à plusieurs personnes de rendre compte du repas de notre ami Thomas pendant mon absence ce mardi. Rentré le lendemain et espérant découvrir matière prête, quelle fut ma surprise quand je n'eus trouvé point de réponses à ma requête (poil au ? Ah, pour ça, y a du monde !).
Ceux-ci auraient oublié de se sortir le doigt du cul et chacun d'eux aurait passé la soirée à sentir celui de son camarade en se disant qu'il y en a bien un qui va finir par lever la queue pour laisser passer celle de son acolyte (poil à la ?).
Il y aurait donc eu du boudin ! Les amateurs du boudin en ont oublié leur mission et leur tâche a fini par tourner en eau de boudin.
Et si Thomas a fait dans le boudin, c'est parce que sa femme n'est pas là depuis 15 jours (véridique, c'est lui qui me l'a dit.) On le sait, quand Blandine est à la maison, c'est plutôt petits farcis. Remember… c'était l'année dernière ! Quoiqu'il advienne, même dans le boudin, le petit Thomas excelle et comme dirait Nikos : " Surtout, les petits restez vous même. " Toi aussi Toto ! c'est vrai quoi.
Pour ne pas laisser passer inaperçu un repas archiballesque qui clos l'année 2006 avec un superbe 18 pour un tiercé soupe / boudin au 2 pommes / gâteau au chocolat, le barde n'en fait qu'a sa tête :
Foin de la rime et vive le vers libre
ô Thomas, ô mon basque titubant
lorsque les effluves de l’alcool épuisent
ton corps chétif
toi qui ne te couche jamais
sans une bassine à tes côtés
les soirs de beuverie
et de vague à l’âme
où ton estomac de mirliton
rend grâce et s’abandonne
piteusement
ô mon basque cuisinant comme peu
la soupe, le boudin ou le chocolat
toi dont la superbe est telle
au jeu de l’assiette
qu’elle laisse pantois
les castors repus et déchus
de n’avoir pu qu’effleurer
l’objet de leur convoitise
ô toi notre coursier des près
notre antilope, notre gazelle
notre guépard, tu n’as rien
du pottock qui broute dans
les montagnes du pays chéri
qui t’enfanta,
tu es notre mowgli, notre
petit d’homme, notre sauvageon
intrépide, celui qui met
à mal les défenses ébahies
et enchante les scores de nos
joutes ovales.
O thomas, je te bénis,
à l’aube de ces fêtes
qui annonce la venue du sauveur.
Et si, d’aventure, nous devions
faire une crèche
c’est toi que je placerai
sur le berceau céleste.
Que la paix du seigneur
Sois toujours avec toi
Amen !
11 décembre 2006
Archiball à Pauillac
Le blog n’empêche pas les bogs. Certains se rendirent donc à Pauillac lorsque d’autres, vaillants, parvenaient bien au lieu de nos débats : Saint-Sauveur. Le match commença donc avec retard. Les archiballs étaient terriblement handicapés par l’absence de leur général, épuisé, éreinté par une nuit d’astreinte. Le résultat s’en ressentit. D’autant que certains cadres manquaient, excusés ou pas, encore moins quand il s'agit de joueurs des lignes avants. Il va falloir se déplacer autrement sauf à considérer que le castor est essentiellement sédentaire et manuel, en solo de préférence.
La rencontre se déroula sur un terrain de football vierge de toutes marques. Mais les deux équipes n’en eurent cure, rappelant, si besoin était, qu’à l’origine, football et rugby ne faisaient qu’un. Les castors arboraient une première ligne inédite avec un Bruno L. en pilar (quand je vous dis qu’il sait tout faire, même le con). Thomière en capitaine conduisit ses troupes dignement, mais force est de constater la supériorité des avants des vieux crus. Ils marquèrent les premiers. Et par deux essais bien avant que les castors ne finissent par revoir leur sens de l'orgueil. Ils réagirent par un essai sur une belle interception de Donatien en personne qui ne s’en remit pas ; sa cuisse, sa pauvre cuisse céda. Ces putains de Pauillacais remirent le couvert et inscrivirent un nouvel essai. Juste après, Dudu quittait le terrain, une cuisse récalcitrante le sommant de renoncer. Le barde après un passage au sifflet suppléait son maître. Les invités que nous sommes reprirent les choses en main avec un superbe essai de la ligne arrière : un essai d’anthologie, un essai à faire pleurer dans les chaumières. Regroupement, sortie de balle, cadrage du 10 poilu, décalage et terre promise pour l'ailier toulousain, Philippe.
Nous voici donc à 3 essais à 2. Et le combat des avants ne faiblit pas. Un autre essai des pauillacais vient nous rappeler que le rugby se joue avec une équipe complète (amis archiballs, on vous salue). Mais notre Libanais éternel rappela les locaux à l’ordre avec un essai fait d'un ballon récupéré dans un regroupement, côté fermé, le ballon va jusqu'à Pascal pour revenir sur le blogger à 70 mètres de la ligne adverse, ce qui l'obligea à se taper le chemin sans compagnie avec pour seul soutien le désormais cri de guerre archiball : « Vas y tout seul ! vas y tout seul ! ». Entre temps, Arnaud devait quitter les siens, sa côte cédant sur un choc. Les pauillacais gagneront la partie avec 5 essais à 3.
Une belle et bonne partie avec de beaux et bons vieux. Un castor d’or pour Lapébie qui, on vous le dit et le redit, sait tout faire. Sûr que notre Toto bondissant le méritait aussi surtout qu'il n'avait pas oublié ses bras pour plaquer. Mais il fallait choisir. On décernera aussi la côte d’or à Arnaud, le sifflet d’or au barde, la cuisse d’or à Donatien. Et la branlette d'or va à ceux qui n'étaient pas au rendez-vous.
Il faudra revoir la copie pour le match contre les radis noirs.
07 décembre 2006
Et une tartine de beurre, une !
Une baguette, un peu de beurre et une rondelle de saucisson… le bonheur !
06 décembre 2006
Passe d’architecte, bris d’assiette
Lorsque tu vins hier dîner au trou à rats
Tu pensais, cher Loulou, passer un bon moment
Parmi tous tes amis, dans la joie simplement,
La convivialité, sans craindre un attentat.
C’était mon jour de bouffe, les ventres étaient contents,
Nous passions tous à table un moment formidable,
Quand tu fus la victime de ce triste accident.
J’en suis le responsable, je suis inconsolable.
De ce fiasco je suis le malheureux auteur.
A l’instant fatidique du lancer des gamelles
C’est à toi Président que revenait l’honneur
De recevoir de moi la première d’entre elles.
Sur ma première passe tu fus irréprochable,
Des deux mains sans faillir l’objet tu attrapas.
Mon deuxième lancer hélas fut lamentable,
Et sur ton front auguste l’assiette se brisa.
Lolo pour plaisanter dit que t’avais tes règles,
Mais moi je voyais bien que ce n’était pas cela.
Le sang qui sur ton front gouttait comme des perles
Coulait d’une blessure causée par un éclat.
Le général médecin exercé au combat,
Sur les chants de bataille habitué aux obus,
Sut te sauver la vie sans en faire tout un plat
En recouvrant ta plaie d’un morceau de PQ.
J’implore ton pardon, Président bien-aimé.
Quoi qu’en disent certains très mal intentionnés,
Jamais je n’ai voulu, je le jure, te descendre.
Devant toi humblement je me couvre de cendres.
Joël
Le cuistot de la semaine avec les tripes
Vous avez déjà essayé de taper "tripes" sur Google ? Eh ben allez-y ! Vous n'allez pas en revenir. Un dico de scatologie, en vrac : ballonnement, flatulence, constipation, selles et tout le caca-boudin… avec mon estomac à peine accroché aux trois verres du whisky de la veille, le métier devient dangereux ! Re-google, deuxième page, et là, ouf : les tripes de Caen, on commence à voir plus clair… et puis non ! On replonge dans la terminologie de pointe : panse, feuillet, bonnet, caillette !!! Explication : c'est les quatre estomacs du bœuf, avec photo en couleur à l'appui… ouuuuu, mon estomac va lâcher ! Ah, moment de répit : la recette nous vient de l'Abbaye aux Hommes grâce au moine Sidoine Benoît… Mon estomac se calme, rassuré par la sérénité des lieux et puis non, ça repart : comment les nettoyer, gratter, retirer les boyaux… le niveau monte, je sens les dents du fond qui baignent. Je pense à l'abbaye et au moine comme on pense aux impôts ou à la belle-mère pour retenir une éjaculation précoce, ça marche… L'estomac tient bon… Google m'annonce que Guillaume le Conquérant s'empiffrait de tripes avec un jus de pommes de Neustrie. Là, c'est la quiche sur l’écran de mon ordi… à la radio, l'autre qui chante : Elle est bonne ta quiche amour…
Deux cachets d'aspirine plus tard, passage en revue des confréries : Le Grand Ordre de la Tripière d’Or, la Confrérie de la Tripière Fertoise… pour avoir la migraine, c'est réussi. Un porte-parole d'une confrérie t'explique que la préparation des tripes varie selon les endroits, comme à La Ferté-Macé où on les prépare en paquets, à Authon-du-Perche où on met du lard, à Coutances où on utilise de la crème… et à Caen, on les fait à la mode ?
On comprend pourquoi il était énervé le Joël. C'est que ça rend fou ces cons de tripes. On peut même finir par jeter les assiettes et heureusement que Loulou était de bonne humeur, les tables n'ont pas bougé !
Le jury n'a pas moufté ! Alain F., Titi, Christian I., Le Général, Dudu et le barde sortent le 14 pour une tripotée de duos : boudin-omelette en entrée, tripes-tagliatelles en plat, fromage-salade verte, gâteau au chocolat-assiette dans la gueule pour le dessert.
Une fois passée l'épreuve des tripes, on passe à l'épreuve suivante : la présentation du ballon Archiball par Titi. Pensez-y, c'est Noël.
Ce que le barde en dit :
Le boudin tire l’omelette
Vers les sommets
Faut-il en rester là ?
* * *
La tripe mêle ses parfums
Aux tagliatelles
Chercher l’intruse.
* * *
Au lancer d’assiettes
Le sang présidentiel
Coule à flots.
* * *
Voilà du bon fromage
Au lait,
Ollé ! Ollé !
* * *
Le trou sans pression
N’est plus un trou
Du tout.
* * *
Deux cachets d'aspirine plus tard, passage en revue des confréries : Le Grand Ordre de la Tripière d’Or, la Confrérie de la Tripière Fertoise… pour avoir la migraine, c'est réussi. Un porte-parole d'une confrérie t'explique que la préparation des tripes varie selon les endroits, comme à La Ferté-Macé où on les prépare en paquets, à Authon-du-Perche où on met du lard, à Coutances où on utilise de la crème… et à Caen, on les fait à la mode ?
On comprend pourquoi il était énervé le Joël. C'est que ça rend fou ces cons de tripes. On peut même finir par jeter les assiettes et heureusement que Loulou était de bonne humeur, les tables n'ont pas bougé !
Le jury n'a pas moufté ! Alain F., Titi, Christian I., Le Général, Dudu et le barde sortent le 14 pour une tripotée de duos : boudin-omelette en entrée, tripes-tagliatelles en plat, fromage-salade verte, gâteau au chocolat-assiette dans la gueule pour le dessert.
Une fois passée l'épreuve des tripes, on passe à l'épreuve suivante : la présentation du ballon Archiball par Titi. Pensez-y, c'est Noël.
Ce que le barde en dit :
Le boudin tire l’omelette
Vers les sommets
Faut-il en rester là ?
* * *
La tripe mêle ses parfums
Aux tagliatelles
Chercher l’intruse.
* * *
Au lancer d’assiettes
Le sang présidentiel
Coule à flots.
* * *
Voilà du bon fromage
Au lait,
Ollé ! Ollé !
* * *
Le trou sans pression
N’est plus un trou
Du tout.
* * *
04 décembre 2006
Le barde propose sa nouvelle prose
Thom placide
et Ithurbide
le basque
sans frasques
se coltinent
la cuisine
dans le trou
où des fous
interlopes
gigotent
ces assis
vont ainsi
satisfaits
et replets
à leurs rêves,
sans trêves
ils chantonnent
fredonnent
des antiennes
anciennes
ces blasons
à foison
détaillent
les mailles
que leurs mains
à dessein
tricotent
ils fricotent
s’enfièvrent
quels lièvres
à la fin
s’en vient
l’assiette
que jette
Ithurbide
le druide
ou Thomière
le fier
aux castors
retors
avinés
houblonnés
ils traînent
leur haleine
fétide,
avides
d’une nuit
qui nuit
à leur corps
de cadors
au café
pop refaits
ils chuchotent
des litotes
inouïes,
éblouies
et farouches
leurs bouches
psalmodient
leurs dits
leur cri-cri
s’évanouit
quand fourbus
et repus
ils rentrent
dans leur antre,
où glissent
subreptices
leurs membres
de novembre
et Ithurbide
le basque
sans frasques
se coltinent
la cuisine
dans le trou
où des fous
interlopes
gigotent
ces assis
vont ainsi
satisfaits
et replets
à leurs rêves,
sans trêves
ils chantonnent
fredonnent
des antiennes
anciennes
ces blasons
à foison
détaillent
les mailles
que leurs mains
à dessein
tricotent
ils fricotent
s’enfièvrent
quels lièvres
à la fin
s’en vient
l’assiette
que jette
Ithurbide
le druide
ou Thomière
le fier
aux castors
retors
avinés
houblonnés
ils traînent
leur haleine
fétide,
avides
d’une nuit
qui nuit
à leur corps
de cadors
au café
pop refaits
ils chuchotent
des litotes
inouïes,
éblouies
et farouches
leurs bouches
psalmodient
leurs dits
leur cri-cri
s’évanouit
quand fourbus
et repus
ils rentrent
dans leur antre,
où glissent
subreptices
leurs membres
de novembre
02 décembre 2006
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