14 décembre 2006
Le cuistot de la semaine, tiens voilà du boudin !
Quoi ? 18 !!! A croire que tous les spécialistes du boudin se sont réveillés. Une bonne note qui accable les absents et moi le premier !
Espérant trouver assistance, j’ai demandé à plusieurs personnes de rendre compte du repas de notre ami Thomas pendant mon absence ce mardi. Rentré le lendemain et espérant découvrir matière prête, quelle fut ma surprise quand je n'eus trouvé point de réponses à ma requête (poil au ? Ah, pour ça, y a du monde !).
Ceux-ci auraient oublié de se sortir le doigt du cul et chacun d'eux aurait passé la soirée à sentir celui de son camarade en se disant qu'il y en a bien un qui va finir par lever la queue pour laisser passer celle de son acolyte (poil à la ?).
Il y aurait donc eu du boudin ! Les amateurs du boudin en ont oublié leur mission et leur tâche a fini par tourner en eau de boudin.
Et si Thomas a fait dans le boudin, c'est parce que sa femme n'est pas là depuis 15 jours (véridique, c'est lui qui me l'a dit.) On le sait, quand Blandine est à la maison, c'est plutôt petits farcis. Remember… c'était l'année dernière ! Quoiqu'il advienne, même dans le boudin, le petit Thomas excelle et comme dirait Nikos : " Surtout, les petits restez vous même. " Toi aussi Toto ! c'est vrai quoi.
Pour ne pas laisser passer inaperçu un repas archiballesque qui clos l'année 2006 avec un superbe 18 pour un tiercé soupe / boudin au 2 pommes / gâteau au chocolat, le barde n'en fait qu'a sa tête :
Foin de la rime et vive le vers libre
ô Thomas, ô mon basque titubant
lorsque les effluves de l’alcool épuisent
ton corps chétif
toi qui ne te couche jamais
sans une bassine à tes côtés
les soirs de beuverie
et de vague à l’âme
où ton estomac de mirliton
rend grâce et s’abandonne
piteusement
ô mon basque cuisinant comme peu
la soupe, le boudin ou le chocolat
toi dont la superbe est telle
au jeu de l’assiette
qu’elle laisse pantois
les castors repus et déchus
de n’avoir pu qu’effleurer
l’objet de leur convoitise
ô toi notre coursier des près
notre antilope, notre gazelle
notre guépard, tu n’as rien
du pottock qui broute dans
les montagnes du pays chéri
qui t’enfanta,
tu es notre mowgli, notre
petit d’homme, notre sauvageon
intrépide, celui qui met
à mal les défenses ébahies
et enchante les scores de nos
joutes ovales.
O thomas, je te bénis,
à l’aube de ces fêtes
qui annonce la venue du sauveur.
Et si, d’aventure, nous devions
faire une crèche
c’est toi que je placerai
sur le berceau céleste.
Que la paix du seigneur
Sois toujours avec toi
Amen !
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2 commentaires:
Bon, le blogger, rien à dire sinon qu'il a fait remarquer qu'il n'était pas là pour apprécier le boudin, ce en quoi, il a eu tort puisque vous savez que les absents ont touj..... etc, etc .......
Pour le Barde égal à lui-même, je me prosterne et lui rends grâce (au nom de nous tous) d'une telle prodigalité épistolaire d'une qualité qui frise l'insolense. Votre Seigneurie, je me prosterne à vos pieds !
Mais dans tout ça, car il y a un mais, je ne vois pas un mot sur la chorale (Les Noeuds Rats Scéniques)qui a fait, ce dernier mardi ses premiers pas, hésitants peut-être, mais à mon sens probants. Avec de la persévérance et de la sérénité (pas vrai Jérôme, morpion) on risque de reparler de nous dans quelque temps. Et puis autre sujet qui me tient à coeur, les noeuds !
Je veux parler bien sûr du papillon, que j'espère voir arborer par un maximum d'entre vous le jour de l'A.G. , classe oblige! Sans oublier que pour les retardataires, j'en ai toujours à vendre pour la modique somme de 20 euros l'unité. Conditions spéciales pour un achat groupé. Et moi dans ma mini-boutique, on ne paye que lorsqu'on a effectivement le matos. (je me suis vu réclamer des ronds, mardi dernier, pour une liquette que je n'ai pas eue). Mais, il ne faut pas tirer sur l'ambulance; l'erreur est humaine et il n'y a que ceux qui ne branlent rien qui ne se trompent pas. J'en connais qui ne risquent pas de se tromper, dans notre noble assemblée ...mais passons.
Allez, à mardi et que le cul vous pêle ...
Bises humides.
Haut les coeurs et pardonne-moi, mon amiral, mon Nelson, pour ce coup de Trafalgar. Je me rattraperai en composant un choeur pour ta dive chorale.Tu seras ma muse, ma source, mon eden.
Bises
le Barde
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