Par Bardibulle
Il est bien bon ce mardi soir ensoleillé. Le vent vient du Nord et garde son frais hivernal. Mais bon l’appel de Musard réchauffe les castors en herbe. Les amateurs tournent autour du pot. La grille est fermée. Tels des animaux en cage qui souhaitent sortir à l’intérieur ou rentrer à l’extérieur. La pelouse est gardée et respecte une chasse gardée. Il faudra des castors motivés pour revendiquer l’ouverture tant attendu.
Le Mardi est sacré ! Le gardien du pré est aux abois. Quel est donc cette danse estivale ? Il est curieux ce va et vient. La saison est sur le final. Seuls les archis se trimbalent avec leur sac et espèrent toujours la pénétration. Le pré se fait prier. La grille ne pourra contenir l’envie de saison. Bardatruc lui est en ballade, Piou Piou travaille le haut du corps avec Peyo. Les deux font la paire quatre jambes et trois épaules. Bientôt l’équipe sera enfin au complet. Il faut combler le temps à défaut de ballon et de voisins disponibles. Nous allumâmes le saint cierge de Lourdes. (Immatricule conception pour les amateurs du bon rire et vaccinés contre la coluche néphrétique…)
Il est bien bon ce mardi soir ensoleillé. Le vent vient du Nord et garde son frais hivernal. Mais bon l’appel de Musard réchauffe les castors en herbe. Les amateurs tournent autour du pot. La grille est fermée. Tels des animaux en cage qui souhaitent sortir à l’intérieur ou rentrer à l’extérieur. La pelouse est gardée et respecte une chasse gardée. Il faudra des castors motivés pour revendiquer l’ouverture tant attendu.
Le Mardi est sacré ! Le gardien du pré est aux abois. Quel est donc cette danse estivale ? Il est curieux ce va et vient. La saison est sur le final. Seuls les archis se trimbalent avec leur sac et espèrent toujours la pénétration. Le pré se fait prier. La grille ne pourra contenir l’envie de saison. Bardatruc lui est en ballade, Piou Piou travaille le haut du corps avec Peyo. Les deux font la paire quatre jambes et trois épaules. Bientôt l’équipe sera enfin au complet. Il faut combler le temps à défaut de ballon et de voisins disponibles. Nous allumâmes le saint cierge de Lourdes. (Immatricule conception pour les amateurs du bon rire et vaccinés contre la coluche néphrétique…)
Les castors sont confiants et comptent sur les copains. Il y a toujours un Barde en réserve avec sa beuchigue. Mais en ce moment notre Barde cajole ses balles. Le ballon reconnait son maitre et ne le quitte pas. Du coup le toucher sans la balle c’est pas de la balle. Piou Piou lui il s’en fout, avec ou sans ballon le rugby c’est dans la tête. Son régime d’ancien gros se tâte avec celui des nouveaux maigres. L’homme à défaut de se découvrir des jambes de gazelles va devoir suppléer son jeu de tête avec celui des mains. Titi a sorti sa bécane et joue en rouge et petit Thom aux couleurs de l’AB. Les deux seront ensemble. Les couleurs on s’en balance puisque nous sommes impairs. Du coup celui qui marque complétera la troupe d’en face. Il est de raison que la supériorité numérique fasse loi et score surtout quand petit Thom est dans le coup.
Mais bon nous profitâmes d’un jeu de va et vient. L’art de la passe permit de faire bouger le ballon de Serge. Nous reconnaissons le ballon usé à l’épreuve de son maître. Il en a vu ce ballon ! Cela se sent à l’attrapé. Il est lisse pour éviter les mains maladroites. Serge tient son jeu de là. Le castor aime le bon jeu. En jouant avec sa balle, nous pourrions dire qu’il joue à domicile. Et bien même avec ses attributs l’homme râle le bon jeu. L’exige du beau est ainsi. La prise du trou ou du décalage en croisé se leitmotive à chaque mouvement. Le score fut du côté des meilleurs. Donatien retrouve du poil de la bête et du souffle à la rattrape. L’homme tient du chêne et mange le rugby par le bambou. Nous eûmes du beau jeu et du moins bon à l’opposé.
La douche en cascade. Le rendez-vous est pris. Le trou aussi c’est le poulpe à la régale.
L’arrivée se fait en travaux. La rue se fait une certaine jeunesse. Pépé suit le mouvement et profite de la Réunion. Notre bar est à la fête. La bière se veut blanche. La blonde n’est plus. Vive la blanche ! « Auprès de ma blanche » chanta le vieux 4. Pour lui la bière n’a pas de couleur. Les parfums se profitent dans la masse. L’homme compte d’ailleurs les jours. Le pays Basque est en vue et l’homme en un jour prendra une année dans la vue. Les cahuètes et les chips, les cartes à jour. La transmission est là, le bar est à table !
La douche en cascade. Le rendez-vous est pris. Le trou aussi c’est le poulpe à la régale.
L’arrivée se fait en travaux. La rue se fait une certaine jeunesse. Pépé suit le mouvement et profite de la Réunion. Notre bar est à la fête. La bière se veut blanche. La blonde n’est plus. Vive la blanche ! « Auprès de ma blanche » chanta le vieux 4. Pour lui la bière n’a pas de couleur. Les parfums se profitent dans la masse. L’homme compte d’ailleurs les jours. Le pays Basque est en vue et l’homme en un jour prendra une année dans la vue. Les cahuètes et les chips, les cartes à jour. La transmission est là, le bar est à table !
Le poulpe au fourneau. Les couleurs sont de rigueur quand la cuisine se rapproche des îles. Les castors aiment s’épicer la vie. Le poulpe lui aime épicer la notre. La table est accueillante. Des couleurs du soleil tapissent la cène. L’orange, le jaune et le boudin nous ramènent à l’horloge sans son Pépé. Le castor est discipliné surtout quand la table est mise. L’expression du respect des couleurs prend tout son sens ! Jacquot suit la partition. Le cochon épicé fait son boudin. Le poulpe est un combattant de la victuaille.
Les achards sont de sortie. L’homme en Patton de la bonne bouffe prêt à reconquérir les faveurs du trou. Mélange de légumes et de couleurs à la fraiche. Que du bonheur en bouche. La Réunion porte bien son nom ! Le boudin fait son petit effet. Du coup le poulpe s’exfiltre pour la cuisson du riz. Il faudra des rappels pour le sortir de la crypte en vapeur. Le riz pour le cuistot se respecte et mérite le cri de ses compères. Pépé est parti avec l’horloge et la cuisson se fera du coup à la louche. Le poulpe à plusieurs tentacules à son arc. Les lentilles sont déjà sur la table pour la suite. Notre Jacquot freine les assauts de nos castors affamés. L’homme au béret connait la suite et sait déjà que ce n’est pas un simple lentille-saucisse. Le fumet annonce sans parole la régale.
Le poulpe enfin amène la suite. La rougail saucisse réunionnaise. Une ROUGAIL SAUCISSE en majuscule. Car de la rougail, le poulpe en connait tous les secrets. Le tout est dans la mijote et les bonnes doses. Et surtout le plaisir des partages. Nous reconnaissons la cuisine à huit bras tellement la popote se veut familial. Le mélange est épicé à souhait. Les castors téméraires peuvent flirter avec les bombes de la fournaise. Certains palais sont solides et aiment la castagne. Les nuances la rougail fait silence. Le silence confirme le sacré. Sabite avec la Réunion trouve belle entente.
Nous sommes tous Guillourets. L’accent insulaire prend place et libère la parlote. Le silence de la régale se transforme en bons mots. Notre Barde aurait conté fleurette.
Dans la catégorie cuisine à huit bras, le poulpe a fait mains mises sur le podium des délices. La cuillère de bois 2017 trouve dans cette réunion un sacré challenger ! Houston we’ve got a rougail !
Les assiettes se replièrent pour le lancer. La chanson du fromage fait suite de la chanson au point opaque à l’honneur. Et le poulpe fut dans la maitrise. L’homme est membré. Certains disent que le castor a un talon caché. Nul ne pourra lever le secret. Tout membre est respecté. Même le président en fera tout un fromage. La réunion a des délices mais le côté lacté reste bien de proximité et de circonstances. Le dessert fut aussi de région de la Bretagne. Le poulpe a son emprise, ses racines et son cœur dans la Réunion. Sa géographie n’a pas de frontière pour les plaisirs entre amis.
« Un pour poulpe et poulpe pour un ». Sur ses mots, Jean Phi s’éclipsa pour retrouver ses vignes. Les castors tourneurs de dés sortirent les cartes. Le barman son café. L’ambiance est bien dans le voyage. Le bonheur est simple comme une bonne rougail saucisse, et enculé comme point d’exclamation. Les castors sont heureux, le poulpe le sourire en coin a accompli sa mission.
Le trou est un voyage.
« Un pour poulpe et poulpe pour un ». Sur ses mots, Jean Phi s’éclipsa pour retrouver ses vignes. Les castors tourneurs de dés sortirent les cartes. Le barman son café. L’ambiance est bien dans le voyage. Le bonheur est simple comme une bonne rougail saucisse, et enculé comme point d’exclamation. Les castors sont heureux, le poulpe le sourire en coin a accompli sa mission.
Le trou est un voyage.
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