On y échappe pas. Ca sera les Blacks en quart et à Cardiff. Sur cette question, le Barde n'a qu'un mot à dire : Gloire au pays organisateur qui fait jouer son équipe à Cardiff ! C'est vrai que c'est absurde, et les commentaires à la télé insistaient sur la question tout en se demandant mais comment les français revenaient de Cardiff après le match ? en train ou en avion !!!
On s'emmerde tant que ça pendant un match de rugby à TF1 !?
Toujours est-il qu'à Cardiff, les Français y vont en quart (pullman, hé hé hé) et ont rencart avec les Blacks (merci Philippe, re-hé hé hé). Le pays du Haka contre le pays du Yaka. Ok, pour l'Argentine, on était tous "yavéka". Mais de là à compter sur les Irlandais pour nous sortir du pétrin du match raté devenu le toc de notre futur secrétaire des sports, c'est un peu court ! Alors, puisqu'il faut y aller, il faut y aller. Après les Blacks (Sainte-Marie mère de Dieu, j'arrête de mentir si on gagne), il y aura les Sudafs (Dieu le père, j'arrête aussi les gros mots) et ensuite l'Australie (et de dire des cochonneries aux filles). Voilà que la Coupe du Monde se transforme en Tri Nations et pour ça, devenir croyant, ça vient tout seul.
Pour passer le temps sans s'énerver, notre Guigui nous propose une vidéo Zen et, pour mater le match, Titi nous pond un conseil en or. C'est en bas et dans l'ordre.
30 septembre 2007
28 septembre 2007
Monsieur Lomu et madame Lamolle
Vous avez peut-être lu Sud Ouest, la pelouse de Bègles accueillait un tournoi d'anciennes légendes du rugby. Lomu était par là. Le voilà en image avec nos légendes à nous et la meilleure de toutes nos légendes avec sa femme au téléphone et la femme de Lomu à côté. Cheese (et pudding) pour la photo.
27 septembre 2007
Le cuistot de la semaine, le Magicien dose…
by Perdigue
Je ne vous dirai pas le score de cet entraînement castorien, mais on aurait dit une sélection de l’hémisphère sud contre Cadaujac. Bon, le tout était d’être dans la bonne équipe : la « vivesse » face à la puissance. Je vous laisse deviner qui a pris l’ascendant. Les ballons tombent un peu moins, mais sur un demi terrain, les espaces sont un peu restreints.
Le Castor commencerait-il son hibernation ?
Pour voir si le reste de la troupe avait trouvé refuge dans son trou à rats de prédilection, nous partions tous sur un seul vélo, avec Kiki à la manette, lui qui, ce soir, aurait fait passer Mignoni et Élissalde pour des débutants.
Après avoir dévalé les quelques marches qui nous séparent de notre Walhalla, là où des vierges alanguies nous attendent, là où les anciens nous accueillent pour l’accolade, là où la joie et le bonheur nous habillent d’une seconde peau, et bin LÀ, la stupeur devenait palpable.
Comme disent les Men d’Outre Manche et d’Atlantique, c’était un « strange feeling of déjà vu ».
Oh putain, la tuile. Tu sais un peu comme lorsque ta gonzesse t’a scié les noix pendant des plombes pour acheter LA robe pour être la plus belle pour aller chez l’Ambassadeur bouffer des Ferrero, sans parler des grolles qu’elle a fini de choisir dans la voiture, et que, finalement, dès que tu arrives, la première greluche que tu croises est sapée exactement pareil. Hé bin voilà, t’y es !
Mais Garcimore n’est pas homme à avoir le rectum qui gratte sans réagir à pleines mains.
Devant l’objectif du blogger, il mystifie tout le monde. Il revêt son costume de scène et nos oreilles se mettent à bourdonner, le trou à rats devient une spirale infernale, et d’une voix de stentor Garcimore donne le ton : « C’est pas de la paëlla, bande de cons, c’est du caribou, ça s’voit pas ».
Et là, tout change, tout devient limpide. Ce n’est pas de la charcuterie, c’est du grenier médocain et du jambon de Bayonne.
Faisons fi de la paëlla, que ne reconnaissez-vous pas le ragoût de caribou ? Avec ses moules aux paupières dessinées d’un vert tendre, son chorizo andalou, ses calamars enlaçant les bouquets et les écrevisses. Y’en avait pour tout le monde et même plus.
Jérôme qui voulait des frites a été servi à la seconde. Il suffisait qu’il se rapproche pour se rendre compte que ce n’était point du riz, mais bien des frites. Des féculents quoi.
Bon là en effet, ça commençait à faire beaucoup et on expliquait à Garcimore qu’on nous avait déjà fait ce genre d’enculade y’a un peu plus de 2000 ans.
« Ha ouais », dit-il en remettant son protège couilles et en sortant son chapeau melon d’orange mécanique. On comprit de suite que ça allait faire mal.
Vous me croirez si vous voulez, mais il prit un pack de flotte et hop, il nous servit du La Tour Martillac 2004 qui se mariait à merveille avec un plateau de fromage succulent.
Le dessert arriva sur un lancer d’assiette énorme et nous pûmes nous finir sur une douceur bien farcie au rhum.
Notre Garcimore avait rondement mené les choses et répandait le bonheur autour de lui. La preuve en est, cela faisait bien longtemps que nous n’étions point sorti de notre gîte après minuit et ça, c’est un signe.
Pour son dépucelage culinaire, Dudu, Gwen, Christian D., Kiki, Hamilton et Loulou sanctionnent l’audace d’un 14,5 et reconnaissent la valeur de la bête en nous souhaitant qu’il fasse autant de progrès en cuisine qu’au rugby.
Aller Hop, la bise aux vieux et au Café pouffes.
Amis de l’archiblog, au plaisir de vous lire.
Fureteur du trou, on croyait avoir tout vu !!!
Je ne vous dirai pas le score de cet entraînement castorien, mais on aurait dit une sélection de l’hémisphère sud contre Cadaujac. Bon, le tout était d’être dans la bonne équipe : la « vivesse » face à la puissance. Je vous laisse deviner qui a pris l’ascendant. Les ballons tombent un peu moins, mais sur un demi terrain, les espaces sont un peu restreints.
Le Castor commencerait-il son hibernation ?
Pour voir si le reste de la troupe avait trouvé refuge dans son trou à rats de prédilection, nous partions tous sur un seul vélo, avec Kiki à la manette, lui qui, ce soir, aurait fait passer Mignoni et Élissalde pour des débutants.
Après avoir dévalé les quelques marches qui nous séparent de notre Walhalla, là où des vierges alanguies nous attendent, là où les anciens nous accueillent pour l’accolade, là où la joie et le bonheur nous habillent d’une seconde peau, et bin LÀ, la stupeur devenait palpable.
Comme disent les Men d’Outre Manche et d’Atlantique, c’était un « strange feeling of déjà vu ».
Oh putain, la tuile. Tu sais un peu comme lorsque ta gonzesse t’a scié les noix pendant des plombes pour acheter LA robe pour être la plus belle pour aller chez l’Ambassadeur bouffer des Ferrero, sans parler des grolles qu’elle a fini de choisir dans la voiture, et que, finalement, dès que tu arrives, la première greluche que tu croises est sapée exactement pareil. Hé bin voilà, t’y es !
Mais Garcimore n’est pas homme à avoir le rectum qui gratte sans réagir à pleines mains.
Devant l’objectif du blogger, il mystifie tout le monde. Il revêt son costume de scène et nos oreilles se mettent à bourdonner, le trou à rats devient une spirale infernale, et d’une voix de stentor Garcimore donne le ton : « C’est pas de la paëlla, bande de cons, c’est du caribou, ça s’voit pas ».
Et là, tout change, tout devient limpide. Ce n’est pas de la charcuterie, c’est du grenier médocain et du jambon de Bayonne.
Faisons fi de la paëlla, que ne reconnaissez-vous pas le ragoût de caribou ? Avec ses moules aux paupières dessinées d’un vert tendre, son chorizo andalou, ses calamars enlaçant les bouquets et les écrevisses. Y’en avait pour tout le monde et même plus.
Jérôme qui voulait des frites a été servi à la seconde. Il suffisait qu’il se rapproche pour se rendre compte que ce n’était point du riz, mais bien des frites. Des féculents quoi.
Bon là en effet, ça commençait à faire beaucoup et on expliquait à Garcimore qu’on nous avait déjà fait ce genre d’enculade y’a un peu plus de 2000 ans.
« Ha ouais », dit-il en remettant son protège couilles et en sortant son chapeau melon d’orange mécanique. On comprit de suite que ça allait faire mal.
Vous me croirez si vous voulez, mais il prit un pack de flotte et hop, il nous servit du La Tour Martillac 2004 qui se mariait à merveille avec un plateau de fromage succulent.
Le dessert arriva sur un lancer d’assiette énorme et nous pûmes nous finir sur une douceur bien farcie au rhum.
Notre Garcimore avait rondement mené les choses et répandait le bonheur autour de lui. La preuve en est, cela faisait bien longtemps que nous n’étions point sorti de notre gîte après minuit et ça, c’est un signe.
Pour son dépucelage culinaire, Dudu, Gwen, Christian D., Kiki, Hamilton et Loulou sanctionnent l’audace d’un 14,5 et reconnaissent la valeur de la bête en nous souhaitant qu’il fasse autant de progrès en cuisine qu’au rugby.
Aller Hop, la bise aux vieux et au Café pouffes.
Amis de l’archiblog, au plaisir de vous lire.
Fureteur du trou, on croyait avoir tout vu !!!
26 septembre 2007
Tac et tactac
On sait déjà que certains ne lisent pas le blog – au moins une fois par semaine –, puisque, sans vouloir voler la primeur à Perdigue, nous avons eu une paëlla. Pour les estomacs dérangés, c'est réglé avec deux bonnes doses de riz. Cette fois-ci par contre, le fromage était du menu. Pas étonnant que Dudu ne l'ait pas trouvé (et tac !), c'est que Garcimore l'avait bien caché (et tactac).
20 septembre 2007
Une sélection tirée par les cheveux
Une fois n'est pas coutume, mais on ne pouvait pas se priver de la lecture d'un article aussi dévastateur que le chevelu concerné ! Avouons-le, si Chabal est le "chouchou" des français, c'est bien parce qu'il a les cheveux longs (chouchou > cheveux, non mais j'explique, je sais qu'elle est facile, mais personne ne l'a faite !). C'est dans le journal Sud Ouest, c'est signé Jean-Pierre Dorian.
Lionel Nallet aurait dû se laisser pousser la barbe et éviter la fréquentation des coiffeuses, ces derniers mois. Peut-être le deuxième ligne et capitaine castrais aurait-il ainsi gagné une place de titulaire dans ce qui pourrait bien être le match le plus important du XV de France depuis que ce sport est professionnel.
Est-ce justement parce qu'il l'est, pro, que quelque chose d'autre qu'un choix purement sportif a poussé le staff du XV de France à créer la sensation, hier, à l'annonce du XV de départ appelé à défier l'Irlande, demain à 21 heures ? Toujours est-il que Sébastien Chabal, qui, il y a de cela deux mois, ne savait rien des fondamentaux du poste qu'il occupe désormais, se retrouve titulaire en deuxième ligne ! Et tant pis pour Nallet, ce vrai et pur soutier, qui aurait soi-disant fini « fatigué » son (impeccable) match à Toulouse face à la Namibie.
à demi-mots, Bernard Laporte et Jo Maso ont fini par convenir hier que « l'environnement » avait pesé. Roselyne Bachelot, dont on sait qu'elle a comme tant d'autres choisi de faire de Chabal son « chouchou », aurait-elle commencé à en imposer à son futur secrétaire d'état aux sports qui, commençant à craindre pour son « boulot de dans deux mois », n'oserait rien lui refuser ?
On rit, on rit, mais si le staff piétine ses convictions sur le statut « d'impact-player » qui lui était légitimement conféré, il y a bien une raison. L'argument psychologique, au nom du poids que pèserait l'homme des cavernes au sein de la troupe, a bon dos. On ne peut s'empêcher de déceler une touche « marketing » : pour que le Stade de France rugisse comme un seul homme à chacune des charges de la bête de foire, il faut bien aligner l'icône en forme de marionnette.
Contradiction. Une chose est sûre, à ceux qui les pensaient frileux, les décideurs tricolores ont mis une drôle de claque. En reconduisant 11 des (larges) vainqueurs de la (petite) Namibie, ils ont en effet plutôt choisi l'audace. Celle qui avait tant manqué, en même temps que l'intelligence, lors du revers inaugural que l'on sait. Parce que non contents d'introniser Chabal deuxième ligne de standing international (c'est bien ce qu'il faut face au spécialiste irlandais O'Connell, non ?), ils ont aussi osé écarter Jauzion et Rougerie, rien que ça. Oser, oui, balayer leurs certitudes mal placées d'avant-Pumas pour ne récupérer que quatre survivants. Quatre à prendre dans le « six de devant », puisque Milloud, Thion et Betsen n'auront pas été au repos pour rien face aux Namibiens. Le quatrième ? Ibanez, pardi, dont on ne sait pas encore s'il sera capable d'entonner une Marseillaise à tue-tête demain, mais que son hématome au pharynx n'empêchera pas d'amener cette équipe hétéroclite à l'assaut d'Irlandais faussement décatis.
Ibanez va mieux, de Villiers est toujours là, Traille et Heymans vont avec lui porter à 7 le nombre de joueurs « doublant » Argentine et Irlande, mais ce n'est pas le cas de Pelous, blessé comme Skrela, quand Dominici n'aurait de toutes façons pas postulé sans son bobo à la cuisse qui le tient « diplomatiquement » éloigné de ce nouveau sommet de la poule D.
Jurisprudence Croke Park ? C'est qu'il faut impérativement le gagner. Et si possible en marquant quatre essais. Pour cela, la ligne d'attaque qui en a marqué 13 dimanche dernier revient donc en force : avec sa charnière emballante et chargée d'emballer. Celle que Jo Maso ne jugeait « pas fatalement indissociable » en août, mais qui vaut à Mignoni de rester une nouvelle fois en tribune, lui dont le sort a de nouveau été lié hier à la présence de Skrela... Contradiction. Comme quand vient sur le tapis l'éviction de Jauzion, donc la titularisation de Marty. « Très convaincant face à la Namibie malgré ses fautes de mains », dit le manageur. à quatre en-avants consécutifs, il faut juste espérer que la greffe ait prise sur les mains du puncheur catalan. Et souhaiter que la méforme passagère du « tronc » que reste Jauzion ne dure pas : « il n'est pas physiquement à son maximum. » OK, OK.
Parce qu'au-delà de cela, il y a de la cohérence : à enfin titulariser Dusautoir en troisième ligne « qui a frappé à la porte des titulaires » (Maso) et dont le profil plus complet rejette Martin dans son strict domaine de joueur « de près ». Harinordoquy et son doigt luxé laisse ensuite la place à Bonnaire sans qu'il y ait scandale.
Comme il n'y en a pas à retrouver le trident offensif toulousain : Heymans, son pied gauche et son inspiration sans faille, ça ne faisait guère de doute. Mais « virer » Rougerie, favori du roi Bernie et seule gazelle à avoir surnagé face aux Pumas, si, si, c'est gonflé. Poitrenaud et surtout Clerc auraient-ils bénéficié de la « jurisprudence » Croke Park, eux qui étaient du dernier succès bleu face aux Irlandais (20-17 le 11 février) ?
Pour Clerc, « le plus en forme du moment derrière » dit Laporte, c'est évident. Du moment qu'à l'arrivée il marque le même essai décisif que ce jour-là. Sur une passe de Marty, après un déboulé de Chabal : c'est même tout ce que demande le peuple.
Le cuistot de la semaine ou la mésentente cordiale
Signé Perdigue
Tout avait pourtant bien commencé.
Musard avait retrouvé son éclairage, Zeille et le Blogger ont mystifié tout le monde côté tribune, Yann Balboa, La Pibale et La Fourche s’essayaient à des combinaisons incertaines, laissant J.P. dubitatif et l’Avocat hagard cherchant toujours qui était le 9.
Bref, 30 gonzes en train de chercher des champignons tant la gonfle allait à terre.
Rasés, branlés de frais, la horde sauvage s’engouffrait dans le trou pour assouvir son appétit vorace.
La charcuterie et les petits légumes croquants furent ingurgités dans un concert d’anecdotes rugbystiques qui laissait poindre la lumière de nos gloires passées.
Il fallait retrouver la force d’antan.
Que l’on amène les poulardes, les oies et les sangliers, laissez les gueux à la porte et laissez rentrer toutes ces femmes qui nous adulent.
Pour répondre à cette soif de pitance insoutenable, Dudu apporta une paëlla d’un autre monde, aussi généreuse que lui. Les langoustines fraîchement péchées, des moules, du chorizo, du riz délicatement parfumé au safran.
Mangeant, dévorant, buvant, assouvissant ce besoin viscéral d’engloutissement alimentaire nécessaire à la beauté de notre poil.
Puis, le néant. Un vide abyssal.
Quelques uns, plus vaillant que les autres entonnèrent (de Brest) le bon fromage pour dissiper les ténèbres, mais rien n’y fit.
Même pas un lancer d’assiette pour du beurre, y’avait même pas de beurre.
Une douceur arriva sur le tard sauvant ceux qui pouvaient encore l’être.
Une vague explication comme quoi des hommes en vert seraient venus nous amener du fromage et du Pudding durant le week-end, tout ceci entériné par la plus haute instance Archibalesque, me fait penser que Dudu commence à avoir le crâne venteux.
Jacky étant absent, Titi dans un élan de grâce nous fit du café pour essayer de nous remettre les yeux en face des trous.
Comme David Vincent cherchant un raccourci que jamais il ne trouva, je parti en quête de notation pour s’avoir ce qu’il s’était passé. Le conseil des Sages du bout de la table, le Chapon, La Pibale et le Tcho firent trembler les murs du trou, ôtant X points pour le fromage et X points pour le dessert, le non lancer d’assiette étant disqualificatif et en plus les gonzesses n’étaient plus à la porte.
Je fais donc un appel à témoin.
Que ceux qui étaient là, ceux qui ont entendu dire que, ceux qui parlent couramment le langage des petits hommes verts avec qui Dudu aurait parlé durant ce week-end. Des photos, peut être. Soyez généreux.
Je me chie dessus, ne voulant pas être celui qui portera l’estocade. DUDU je t’aime, j’ai foie en toi, à la tienne, SAUVEZ DUDU.
Amis de l’Archiblog, je compte sur vous, cliquez sur « comment » au bas du poème et écrivez. Anonymes acceptés.
Fureteurs du trou, mais c’est quoi ce bordel. !!!!!
Ce que le barde en dit :
Un demi, fut-il d’ouverture,
Par la force des choses,
Ne la joue qu’à moitié.
Les comparses de Dudu
Se retrouvèrent ainsi
Gros Jean comme devant.
Négligeant ses arrières,
Ce qui est un comble
Pour cet amoureux du beau jeu
Notre ouvreur de toujours
Fit fi du fromage,
Et contourna, avec une grâce coupable,
Les douceurs suaves qui concluent un repas.
Le bougre s’en remit à un irish pudding
Que le premier des nôtres lui avait promis.
Que n’avait-il saisi l’irrémédiable écart
Qui sépare l’anglais du rugueux irlandais.
Rien n’est plus étranger, en effet,
au christmas cake d’une majesté que l’on dit gracieuse
Que le boudin membré et noirâtre,
Dont le peuple de Yeats se régale au breakfeast.
Cette faute d’inattention était-elle préméditée ?
Le béarnais est têtu et n’a que faire
De telles subtilités.
Pour lui, un pudding est un pudding.
On ne lui en tiendrait pas rigueur
S’il ne pratiquait l’art du rugby.
Une passe est une passe certes,
Mais elle se garde bien d’être unique,
Sans quoi le jeu ne serait qu’ennui.
En sorte qu’un pudding n’est pas un pudding.
La charnière, en somme, a coincé,
Et jamais nous n’associerons sur le pré
Dugert et notre président tant aimé,
Notre guide, notre lumière, notre tigre souverain.
Tout avait pourtant bien commencé.
Musard avait retrouvé son éclairage, Zeille et le Blogger ont mystifié tout le monde côté tribune, Yann Balboa, La Pibale et La Fourche s’essayaient à des combinaisons incertaines, laissant J.P. dubitatif et l’Avocat hagard cherchant toujours qui était le 9.
Bref, 30 gonzes en train de chercher des champignons tant la gonfle allait à terre.
Rasés, branlés de frais, la horde sauvage s’engouffrait dans le trou pour assouvir son appétit vorace.
La charcuterie et les petits légumes croquants furent ingurgités dans un concert d’anecdotes rugbystiques qui laissait poindre la lumière de nos gloires passées.
Il fallait retrouver la force d’antan.
Que l’on amène les poulardes, les oies et les sangliers, laissez les gueux à la porte et laissez rentrer toutes ces femmes qui nous adulent.
Pour répondre à cette soif de pitance insoutenable, Dudu apporta une paëlla d’un autre monde, aussi généreuse que lui. Les langoustines fraîchement péchées, des moules, du chorizo, du riz délicatement parfumé au safran.
Mangeant, dévorant, buvant, assouvissant ce besoin viscéral d’engloutissement alimentaire nécessaire à la beauté de notre poil.
Puis, le néant. Un vide abyssal.
Quelques uns, plus vaillant que les autres entonnèrent (de Brest) le bon fromage pour dissiper les ténèbres, mais rien n’y fit.
Même pas un lancer d’assiette pour du beurre, y’avait même pas de beurre.
Une douceur arriva sur le tard sauvant ceux qui pouvaient encore l’être.
Une vague explication comme quoi des hommes en vert seraient venus nous amener du fromage et du Pudding durant le week-end, tout ceci entériné par la plus haute instance Archibalesque, me fait penser que Dudu commence à avoir le crâne venteux.
Jacky étant absent, Titi dans un élan de grâce nous fit du café pour essayer de nous remettre les yeux en face des trous.
Comme David Vincent cherchant un raccourci que jamais il ne trouva, je parti en quête de notation pour s’avoir ce qu’il s’était passé. Le conseil des Sages du bout de la table, le Chapon, La Pibale et le Tcho firent trembler les murs du trou, ôtant X points pour le fromage et X points pour le dessert, le non lancer d’assiette étant disqualificatif et en plus les gonzesses n’étaient plus à la porte.
Je fais donc un appel à témoin.
Que ceux qui étaient là, ceux qui ont entendu dire que, ceux qui parlent couramment le langage des petits hommes verts avec qui Dudu aurait parlé durant ce week-end. Des photos, peut être. Soyez généreux.
Je me chie dessus, ne voulant pas être celui qui portera l’estocade. DUDU je t’aime, j’ai foie en toi, à la tienne, SAUVEZ DUDU.
Amis de l’Archiblog, je compte sur vous, cliquez sur « comment » au bas du poème et écrivez. Anonymes acceptés.
Fureteurs du trou, mais c’est quoi ce bordel. !!!!!
Ce que le barde en dit :
Un demi, fut-il d’ouverture,
Par la force des choses,
Ne la joue qu’à moitié.
Les comparses de Dudu
Se retrouvèrent ainsi
Gros Jean comme devant.
Négligeant ses arrières,
Ce qui est un comble
Pour cet amoureux du beau jeu
Notre ouvreur de toujours
Fit fi du fromage,
Et contourna, avec une grâce coupable,
Les douceurs suaves qui concluent un repas.
Le bougre s’en remit à un irish pudding
Que le premier des nôtres lui avait promis.
Que n’avait-il saisi l’irrémédiable écart
Qui sépare l’anglais du rugueux irlandais.
Rien n’est plus étranger, en effet,
au christmas cake d’une majesté que l’on dit gracieuse
Que le boudin membré et noirâtre,
Dont le peuple de Yeats se régale au breakfeast.
Cette faute d’inattention était-elle préméditée ?
Le béarnais est têtu et n’a que faire
De telles subtilités.
Pour lui, un pudding est un pudding.
On ne lui en tiendrait pas rigueur
S’il ne pratiquait l’art du rugby.
Une passe est une passe certes,
Mais elle se garde bien d’être unique,
Sans quoi le jeu ne serait qu’ennui.
En sorte qu’un pudding n’est pas un pudding.
La charnière, en somme, a coincé,
Et jamais nous n’associerons sur le pré
Dugert et notre président tant aimé,
Notre guide, notre lumière, notre tigre souverain.
12 septembre 2007
Le cuistot de la semaine, elle est pas fraîche ma frisée !!!
Signé Perdigue
En ce mardi 11 septembre de l’an de grâce 2007, la reprise fut des plus rude.
Une trentaine de gaillards s’étaient donnés rendez vous à Musard pour en découdre avec la nuit et accessoirement une gonfle.
En effet faute d’éclairage, le gratte poule se fit donc sur une patte et le dernier quart d’heure en braille.
Mais la rudesse de cette soirée de lune noire ne faisait que commencer.
Nous partions donc de Musard l’âme légère, le devoir accompli, retrouver le trou moelleux de nos agapes, nos vieux à nous et ceux qui n’ont pas trouvé le stade faute de fléchage luminescent.
ATTENTION : le gardien du dit trou, le Cerbère des Capucins, le Colosse de la boustifaille, le seul homme à pouvoir ouvrir des huîtres avec une frisée sur la tête : j’ai nommé Le Cuñado (prononcez Cougnao).
Il en a du mérite. Rouvrir la cambuse après 2 mois d’abandon de poste, une nuit de lune noire, affrontant seul la vindicte des ustensiles de cuisine se jetant à sa face pour l’empêcher de faire son office. Mais même blessé, un genou à terre et le cul plein de fourmis, le Cuñado fait front (Si, si, regardez bien sur la photo) et là c’est pour nous que ça se gâte.
A voir la quantité d’huîtres qu’il y avait au trou à rat ce mardi soir, on aurait pu croire que la montée des eaux avait déjà eut lieu et qu’on avait offert le droit d’asile à tous les mollusques du bassin d’Arcachon.
Pour accompagner ce met de choix une farandole de saucisses fut généreusement distribuée, alors qu’en cuisine les éléments font toujours de la résistance et l’eau ne veut pas bouillir. Mais le bougre à plus d’un tour dans son sac et il nous offrira des pâtes fraîches somptueuses avec une sauce à la viande dont il a le secret.
Viendront ensuite les membres de poules confites. Du gallinacé en culotte de velours.
Si Palenques n’avait pas retrouvé ses clés de voiture dans le fromage, le brie serait presque passé inaperçu.
Et enfin, retrouvant le sens de la vie, au bord de l’éclatement, la croustade juste tiède vint nous achever d’une caresse suave.
Sortir du trou ne fut pas une mince affaire et sans l’intervention du Blogger j’en aurais oublié la fameuse note.
Croisant les âmes repus et vagabondes du Douanier, de Garcimore, du Blogger, du Barde et de Loulou, ce sextet improbable éructe un 14,5 en harmoniques gutturales.
Amis de l’archiblog, à vous les commentaires…
Fureteurs du trou, ça commence fort !!!
Ce que Le Barde en dit :
O kamate kamate ka
Mathé est un cas
O kamate kamate ka
Rebelle aux en-cas
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Il nous la joue Ubu
Ce castor dématé
Il nous la joue Ubu
Turlututu
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
O les vertus guerrières
Devenues culinaires
Et le chant du confit
A nos âmes meurtries
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
O castors ventrus
De trop aimer l'intrus
Sus à Mathé
Sus à Mathé
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Ne lui en voulez pas
Ne lui en voulez pas
Pour ce ventre outragé
et ces corps étrangers
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Que résonne le haka
Du petit père mathé
Le haka le haka
Du petit père Mathé
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
En ce mardi 11 septembre de l’an de grâce 2007, la reprise fut des plus rude.
Une trentaine de gaillards s’étaient donnés rendez vous à Musard pour en découdre avec la nuit et accessoirement une gonfle.
En effet faute d’éclairage, le gratte poule se fit donc sur une patte et le dernier quart d’heure en braille.
Mais la rudesse de cette soirée de lune noire ne faisait que commencer.
Nous partions donc de Musard l’âme légère, le devoir accompli, retrouver le trou moelleux de nos agapes, nos vieux à nous et ceux qui n’ont pas trouvé le stade faute de fléchage luminescent.
ATTENTION : le gardien du dit trou, le Cerbère des Capucins, le Colosse de la boustifaille, le seul homme à pouvoir ouvrir des huîtres avec une frisée sur la tête : j’ai nommé Le Cuñado (prononcez Cougnao).
Il en a du mérite. Rouvrir la cambuse après 2 mois d’abandon de poste, une nuit de lune noire, affrontant seul la vindicte des ustensiles de cuisine se jetant à sa face pour l’empêcher de faire son office. Mais même blessé, un genou à terre et le cul plein de fourmis, le Cuñado fait front (Si, si, regardez bien sur la photo) et là c’est pour nous que ça se gâte.
A voir la quantité d’huîtres qu’il y avait au trou à rat ce mardi soir, on aurait pu croire que la montée des eaux avait déjà eut lieu et qu’on avait offert le droit d’asile à tous les mollusques du bassin d’Arcachon.
Pour accompagner ce met de choix une farandole de saucisses fut généreusement distribuée, alors qu’en cuisine les éléments font toujours de la résistance et l’eau ne veut pas bouillir. Mais le bougre à plus d’un tour dans son sac et il nous offrira des pâtes fraîches somptueuses avec une sauce à la viande dont il a le secret.
Viendront ensuite les membres de poules confites. Du gallinacé en culotte de velours.
Si Palenques n’avait pas retrouvé ses clés de voiture dans le fromage, le brie serait presque passé inaperçu.
Et enfin, retrouvant le sens de la vie, au bord de l’éclatement, la croustade juste tiède vint nous achever d’une caresse suave.
Sortir du trou ne fut pas une mince affaire et sans l’intervention du Blogger j’en aurais oublié la fameuse note.
Croisant les âmes repus et vagabondes du Douanier, de Garcimore, du Blogger, du Barde et de Loulou, ce sextet improbable éructe un 14,5 en harmoniques gutturales.
Amis de l’archiblog, à vous les commentaires…
Fureteurs du trou, ça commence fort !!!
Ce que Le Barde en dit :
O kamate kamate ka
Mathé est un cas
O kamate kamate ka
Rebelle aux en-cas
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Il nous la joue Ubu
Ce castor dématé
Il nous la joue Ubu
Turlututu
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
O les vertus guerrières
Devenues culinaires
Et le chant du confit
A nos âmes meurtries
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
O castors ventrus
De trop aimer l'intrus
Sus à Mathé
Sus à Mathé
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Ne lui en voulez pas
Ne lui en voulez pas
Pour ce ventre outragé
et ces corps étrangers
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
Que résonne le haka
Du petit père mathé
Le haka le haka
Du petit père Mathé
O kamate kamate ka
Loué soit Mathé
11 septembre 2007
Good vibrations
Regardez l'affiche en haut pour 2007, le film fait pour 2003 l'avait déjà évoqué.
Jusqu'à maintenant, l'explication semblait être la suivante : comme quoi pendant la coupe du monde, nous les hommes, tellement pris par les matches qu'on a même pas le temps de faire ça !!! Mais en fait non, pas du tout. C'est vendredi dernier qu'on a enfin eu l'explication...
Passons.
Faute de mater l'Argentine, on a eu Matet au repas d'hier. Et de Yves, il n'y a que les hommes qui en parle le mieux. C'est Perdigue qui s'en charge et ça vient (s'il ne change pas de main).
En attendant, notez la soirée golf à ne pas manquer le 3 novembre 2007 au relais Margaux. La version de cette année s'annonce ultra-chic : golf, thalasso et cours de cuisine !
Sinon à samedi… petite révision.
05 septembre 2007
Les Irlandais chez nous
Voici donc le programme du week end avec nos invités irlandais de Clonakilty à Bordeaux :
- Vendredi 14/09 arrivée des irlandais à Bordeaux Saint-Jean à 13h.
- Départ de l'hôtel Étape à Meriadeck à 14h30. Il faut des volontaires pour les véhiculer jusqu'à Saint-André-de-Cubzac pour une visite de château.
- Retour au trou à rats à 19h pour un pot d'accueil. Une présence archiballesque fournie serait bienvenue, en tenue réglementaire 33bis.
- 20h30 repas à l'Alcazar, place Stalingrad pour nos amis et une délégation archiballesque, présence non limitée (réservation impérative auprès de Gwen). Ils espèrent ensuite visiter les quartiers chauds de Bordeaux.
- Samedi matin, visite guidée du vieux bordeaux par un guide officiel de l'office du tourisme de 10h à 12h.
- Le samedi, match à 15h sur le terrain du Bouscat, stade Jean-Jaures (attention, à ne pas confondre avec Sainte-Germaine). Le rendez-vous est à 14h au stade. Il faut des véhicules pour les amener de l'hôtel au stade vers 13h30.
- Après le match apéro-tapas offert par la mairie du Bouscat. Pour ceux qui le souhaitent match Irlande-Géorgie à 21h. Ensuite soirée au Connemara.
Inutile de vous préciser que, plus on est nombreux, plus on fait preuve d'amour envers nos hôtes anglo-saxons. Et Dieu sait combien l'amour compte dans le rugby de ces pays comme le témoigne cette affiche à Londres pour la Coupe du Monde à Paris. Merci Guillaume.
Et puisqu'on invoque Dieu, JBS nous fait part de la question "bonus" de chimie posée à l'université de Nanterre : « l'enfer est-il exothermique (évacue la chaleur) ou endothermique (absorbe la chaleur) ? » La plupart des étudiants ont exprimé leur croyance en utilisant la loi de Boyle (si un gaz se dilate il se refroidit et inversement) ou ses variantes.
Cependant, un étudiant eut la réponse suivante (ne craquez pas, lisez jusqu'au bout) :
Premièrement, nous avons besoin de connaître comment varie la masse de l'enfer avec le temps. Nous avons besoin de connaître à quel taux les âmes entrent et sortent de l'enfer. Je pense que nous pouvons assumer sans risque qu'une fois entrées en enfer, les âmes n'en ressortiront plus. Du coup aucune âme ne sort.
De même pour le calcul du nombre d'entrées des âmes en enfer, nous devons regarder le fonctionnement des différentes religions qui existent de par le monde aujourd'hui.
La plupart de ces religions affirment que si vous n'êtes pas membre de leur religion, vous irez en enfer. Comme il existe plus d'une religion exprimant cette règle, et comme les gens n'appartiennent pas à plus d'une religion, nous pouvons projeter que toutes les âmes vont en enfer...
Maintenant, regardons la vitesse de changement de volume de l'enfer parce que la Loi de Boyle spécifie que « pour que la pression et la température restent identiques en enfer, le volume de l'enfer doit se dilater proportionnellement à l'entrée des âmes ».
Par conséquent cela donne deux possibilités :
1) si l'enfer se dilate à une moindre vitesse que l'entrée des âmes en enfer, alors la température et la pression en enfer augmenteront indéfiniment jusqu'à ce que l'enfer éclate.
2) si l'enfer se dilate à une vitesse supérieure à la vitesse d'entrée des âmes en enfer, alors la température diminuera jusqu'à ce que l'enfer gèle.
Laquelle choisir ?
Si nous acceptons le postulat de ma camarade de classe Jessica m'ayant affirmé durant ma première année d'étudiant « Il fera froid en enfer avant que je couche avec toi », et en tenant compte du fait que j'ai couché avec elle la nuit dernière, alors l'hypothèse doit être vraie. Ainsi, je suis sûr que l'enfer est exothermique et a déjà gelé…
Le corollaire de cette théorie c'est que comme l'enfer a déjà gelé, il s'ensuit qu'il n'accepte plus aucune âme et du coup qu'il n'existe plus...
Laissant ainsi seul le Paradis, et prouvant l'existence d'un Etre divin ce qui explique pourquoi, la nuit dernière, Jessica n'arrêtait pas de crier « Oh… mon Dieu !… »
Cet étudiant est le seul ayant reçu la note 20/20. Eh oui, y a pas que la pétanque dans la vie.
- Vendredi 14/09 arrivée des irlandais à Bordeaux Saint-Jean à 13h.
- Départ de l'hôtel Étape à Meriadeck à 14h30. Il faut des volontaires pour les véhiculer jusqu'à Saint-André-de-Cubzac pour une visite de château.
- Retour au trou à rats à 19h pour un pot d'accueil. Une présence archiballesque fournie serait bienvenue, en tenue réglementaire 33bis.
- 20h30 repas à l'Alcazar, place Stalingrad pour nos amis et une délégation archiballesque, présence non limitée (réservation impérative auprès de Gwen). Ils espèrent ensuite visiter les quartiers chauds de Bordeaux.
- Samedi matin, visite guidée du vieux bordeaux par un guide officiel de l'office du tourisme de 10h à 12h.
- Le samedi, match à 15h sur le terrain du Bouscat, stade Jean-Jaures (attention, à ne pas confondre avec Sainte-Germaine). Le rendez-vous est à 14h au stade. Il faut des véhicules pour les amener de l'hôtel au stade vers 13h30.
- Après le match apéro-tapas offert par la mairie du Bouscat. Pour ceux qui le souhaitent match Irlande-Géorgie à 21h. Ensuite soirée au Connemara.
Inutile de vous préciser que, plus on est nombreux, plus on fait preuve d'amour envers nos hôtes anglo-saxons. Et Dieu sait combien l'amour compte dans le rugby de ces pays comme le témoigne cette affiche à Londres pour la Coupe du Monde à Paris. Merci Guillaume.
Et puisqu'on invoque Dieu, JBS nous fait part de la question "bonus" de chimie posée à l'université de Nanterre : « l'enfer est-il exothermique (évacue la chaleur) ou endothermique (absorbe la chaleur) ? » La plupart des étudiants ont exprimé leur croyance en utilisant la loi de Boyle (si un gaz se dilate il se refroidit et inversement) ou ses variantes.
Cependant, un étudiant eut la réponse suivante (ne craquez pas, lisez jusqu'au bout) :
Premièrement, nous avons besoin de connaître comment varie la masse de l'enfer avec le temps. Nous avons besoin de connaître à quel taux les âmes entrent et sortent de l'enfer. Je pense que nous pouvons assumer sans risque qu'une fois entrées en enfer, les âmes n'en ressortiront plus. Du coup aucune âme ne sort.
De même pour le calcul du nombre d'entrées des âmes en enfer, nous devons regarder le fonctionnement des différentes religions qui existent de par le monde aujourd'hui.
La plupart de ces religions affirment que si vous n'êtes pas membre de leur religion, vous irez en enfer. Comme il existe plus d'une religion exprimant cette règle, et comme les gens n'appartiennent pas à plus d'une religion, nous pouvons projeter que toutes les âmes vont en enfer...
Maintenant, regardons la vitesse de changement de volume de l'enfer parce que la Loi de Boyle spécifie que « pour que la pression et la température restent identiques en enfer, le volume de l'enfer doit se dilater proportionnellement à l'entrée des âmes ».
Par conséquent cela donne deux possibilités :
1) si l'enfer se dilate à une moindre vitesse que l'entrée des âmes en enfer, alors la température et la pression en enfer augmenteront indéfiniment jusqu'à ce que l'enfer éclate.
2) si l'enfer se dilate à une vitesse supérieure à la vitesse d'entrée des âmes en enfer, alors la température diminuera jusqu'à ce que l'enfer gèle.
Laquelle choisir ?
Si nous acceptons le postulat de ma camarade de classe Jessica m'ayant affirmé durant ma première année d'étudiant « Il fera froid en enfer avant que je couche avec toi », et en tenant compte du fait que j'ai couché avec elle la nuit dernière, alors l'hypothèse doit être vraie. Ainsi, je suis sûr que l'enfer est exothermique et a déjà gelé…
Le corollaire de cette théorie c'est que comme l'enfer a déjà gelé, il s'ensuit qu'il n'accepte plus aucune âme et du coup qu'il n'existe plus...
Laissant ainsi seul le Paradis, et prouvant l'existence d'un Etre divin ce qui explique pourquoi, la nuit dernière, Jessica n'arrêtait pas de crier « Oh… mon Dieu !… »
Cet étudiant est le seul ayant reçu la note 20/20. Eh oui, y a pas que la pétanque dans la vie.
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