14 décembre 2007

La coccinelle et la Facel Vega

La pignole du Barde

Campech, c’est un gentleman. On s’étonnera, à cet égard, qu’il ait pu taquiner du radis. Nul n’est parfait et Dieu accorde sa miséricorde à tous. Désormais Jean-Pierre est sur le droit chemin. Question châssis, Jean-Pierre, c’est l’anti Delage. Il faut de tout pour faire un monde. N’en déplaise aux esprits chagrins, cette diversité est la cime et l’unique n’est qu’ennui.

Imaginez une paire de centres Campech/Delage, soit l’alliance d’une coccinelle (voir blog de la semaine dernière pour les gros ...[bip]... qui ne lisent pas la prose de ceux qui se cassent les ...[bip]... à alimenter le blog de leur prose) et d’une Facel Vega. Puis, songez à leurs courses disparates tendues vers le même objet. Vous comprendrez alors la grâce du ballon qui nous réunit (Que Dieu Bénisse la famille Gilbert !). Certes, certes, ni la coccinelle, ni la Facel Vega ne goûtent les joies de la défense. Qu’un contact inopportun, et somme toute accessoire, puisse laisser des traces sur de tels châssis serait, tout bien considéré, un outrage. L’une préfère s’attaquer aux pucerons et l’autre aspire aux grands espaces vierges. On est ce que l’on naît. On peut améliorer l’ordinaire, il est vrai, mais lorsque l’ordinaire se suffit à lui-même, à quoi bon contrarier la nature qui fait si bien les choses. Ni la « bête à bon Dieu », ni l’étoile la plus brillante de la constellation de la lyre (Vega) ne me contrediront. Dussé-je prendre leur humilité en défaut.

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