Par Le Blogger
Sacré Yannick, si on l'avait pas, on aurait eu du mal à l'inventer !
Quoi dire (avec tant de retard !), il aurait fallu un roman photo pour vous illustrer sa performance de mardi. On se contentera de ce montage de trois photos qui résume tout.
A gauche, début du strip tease dans la cuisine, au milieu, le final au bar sans la barre, à gauche, agrandissement du string pris dans sa raie !!!
Pourtant, il avait de quoi être tendu comme un string notre cuistot. Le trou n'était accessible qu'à 19 h. Le ménage de la soirée de vendredi avec les Gravelous n'était pas encore plié. Grosse panique dans les rangs dès la matinée, tout le monde cherchait une femme de ménage désespérément. A un point que, dans l'après midi, une queue de femmes de ménage patientait devant la porte du trou pour décrocher le poste. Armée de pelles et de sauts, l'armada était prête à nettoyer l'équivalent de l'Amoco Cadiz, et c'est notre irremplaçable Maria qui a coiffé toutes les prétendantes.
Mais qui aurait cru que notre cuistot allait puiser là toutes ces idées. Car, en dehors de son spectacle "Péniche dans l'écluche", il avait déjà en tête, avant de la recoudre de trois points, le menu aux couleurs des azulejos. On y reviendra.
Sur le pré, d'abord, on sentait la fatigue du match de vendredi. Alors, nous étions peu, la plupart étaient ceux qui n'étaient pas là au match. S'il faut retenir une première chose de ce mardi, c'est le retour du Général sur le gazon, non pour le brouter, mais pour le fouler avec de nouveaux crampons tout neufs ! C'est pour dire les intentions du Général pour une nouvelle carrière. A suivre attentivement, il finira bien aux côtés de Nallet dans une énième version expérimentale de l'équipe de France.
Au trou, séance de décrassage. Ceux qui avaient le match dans les jambes et qui ont boudé le toucher étaient là, ceux qui n'avaient pas le match dans les jambes aussi et arrivent enfin ceux qui venaient de courir, match dans les jambes ou pas. Nombreux étaient donc les castors qui ne voulaient pour rien au monde rater le repas de notre Porthos. Et ils ont bien fait... pour deux raisons.
La première est le menu, la deuxième est l'après menu.
C'est pas la taille de la cuisine qui fait peur a Yannick, pour se faire plus à l'aise, il a choisit le short. En plein chevauchée fantastique, il envoyait une omelette par çi pour la récupérer par là, sans répit. Bien lui en a prit de ne pas se gratter l'entre-jambes, car juste en bas, à un poil de là, les filets cabillauds attendaient patiemment dans leurs caisses, entre ses jambes oh combien galbées.
A table, les tomates à l'échalote faisaient l'entrée de l'entrée. Les omelettes ont vite fait de faire le tour de l'assemblée. Oui, ça sent le cramé et alors ! On ne peut pas être bon en tout...
Mais dans la foulée de son karma portuguese, le summum était dans l'inattendu. Je ne parle pas de ces boudins de purées de patates roulés dans la chapelure que les fils de Colomb ont inventé sous l'inspiration des roulades sous aisselles, non ! Je parle du cabillaud, enfin servi avec chorizo et poivrons ! Au poil ! Le Porthos a remis les idées de tout le monde en place, ceux qui râlaient pour l'omelette cramouillé ont fait la poule mouillée et ravalent leur réflexions. Le cuistot a frappé fort comme si le mec en face était entré sur le côté du regroupement.
Soit, le fromage s'efface devant les Pastéis de Nata. Le trou ressemble de plus en plus à une ruelle de Lisbonne que les tramways-dinosaures ont du mal à grimper. Et si la touche portugaise n'est pas reçue, le Porthos nous fait un chtripteache velu. Un air de Demi Moore dans le film du nom de striptease avec un pète au casque et trois points de suture !
Sous le charme, un jury fait de Yann, Lolo, Hervé D., Pepe, Kloz et Lapiballe accorde le 14,5 et le cuistot repart comme un porc tout gai.
2 commentaires:
Pas là mardi prochain-Stop-
On vat pas Gnou le faire-Stop-
Vive la cambuse animalière-Stop-
Merci, pas à Demi, but More-Stop-
La Balbuze.
benh moi, j'y vais et aprés pas d'archi pendant 2 semaines....
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