Par Donatien
Que se passe-t-il ? Florian, ce matin, n’a toujours de billet sur le blog ! C’est pourtant quelqu’un d’important, Florian ! Le fils à Gwen ! Le petit-fils à Lolo ! Le taulier du bar…
Que se passe-t-il ? Florian, ce matin, n’a toujours de billet sur le blog ! C’est pourtant quelqu’un d’important, Florian ! Le fils à Gwen ! Le petit-fils à Lolo ! Le taulier du bar…
Ah ! le bar ! Voilà une piste sérieuse ! S’agirait-il d’une protestation collective des bloggeurs au sujet de la tireuse ? Mais les grèves sont interdites au trou, voyons ! (Le castor en effet n’est pas du genre à rester dans le bus) ! Et puis, la faute est à Le Bihan, pas à Florian ! Charger notre cuistot du jour serait injuste, or l’Archiball est épris de justice !
Non ! L’explication est à chercher ailleurs ! Pourquoi le pote à Peyo n’a pas eu son billet ? Ceci alors même que le pote à Florian a eu le sien – sans photo il est vrai ! Il y a là un mystère digne de celui des Bermudes ! Les scribes, les bardes et autres plumitifs auraient-ils préféré le triangle au trou ? Nous y sommes presque ! Si Florian n’a pas eu son bloblog pourtant si mérité c’est
1- Parce que les jours qui suivirent le banquet (Hum ! cette entrée sublime ! Ah ! ce gargantuesque et savoureux poulet aux olives ! Eh ! ce fromageolet ! Oh ! ce divin millas !) le temps fut essentiellement consacré à la préparation physique en vue du déplacement à Heildelberg !
2- Parce que les tireurs à la ligne embarqués dans cette grande vadrouille eurent les idées brouillées dès les premières minutes du voyage ! La faute aux escassuceries et aux perdigonneries (sans parler des cornichonneries de notre Amiral chef préféré) servies dès le premier ébranlement du convoi, vers 6 h 30 du matin ! La faute à la bière servie à la mi-temps ! La faute à la tireuse du club house d’Heildelberg ! La faute surtout à Jagermaister ! La faute aux teutons et aux teutonnes qui ne nous laissèrent aucunement l’occasion de nous retirer dans nos appartements pour lire Hölderlin et écrire quelque ode à Florian !
Je laisse à d’autres le soin de narrer par le menu notre odyssée germanique (un grand merci, en passant, à Roro et Gwen pour cette tournée plus que réussie) et on ne m’en voudra pas, je l’espère, si ma mémoire, pour conserver les images de la victoire anthologique que nous remportâmes sur les berges de la Neckar, effaça toute trace des crochets et des feintes sur le pré de Musard le soir désormais fameux de la bouffe à Florian…
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