Quel entraînement mes amis.
Grand terrain, 12 contre 12 à peu de chose. Temps frais, suffisamment pour que les vents du nord poussent les belles grues vers le sud. Les plus opiniâtres iront jusqu'au sud de l'Espagne, les plus lascives s'arrêteront à Arjuzanx. Assister à cet unique spectacle aérien éco-soutenable d’environ 30.000 oiseaux vous emportera.
Une équipe domina franchement il faut l'avouer. Le jeu fut dynamique, sérieux et obstiné au vu de l'heure tardive à laquelle s'arrêta la partie. Est-ce lié au fait que lors du tour et un demi d'échauffement, le président et le coach conversaient gravement. La future réforme des associations sportives permettant d'écarter un joueur blessé divorçant et sur-endetté, sans justification et en plafonnant les remerciements de départ est en effet dans les têtes de tout le monde. En pleine libération des activités associatives détachées, comment reprocher à un président de club d'accepter de faire jouer un prince Qatari contre une cotisation de plusieurs centaines de millions d’euros et l'éviction de tout l'effectif car le cheikh/chèque aime prendre ses aises dans les vestiaires !
Digression totalement improbable puisque le trou a toujours été et restera, nous le souhaitons, en dehors de ces contingences comptables et cupides.
Tout le monde essaya donc de faire bonne figure ayant l'espoir d'être sur la feuille de match du samedi 18/11 à Musard à 11H contre l'équipe de Max. Un joueur semble cependant avoir perdu tout espoir en la personne de Serge, auteur d'un en- avant grossier à la réception d'un coup d'envoi. Non content d'humilier l'Ariège, son frère présent sur le terrain et ses anciens entraîneurs dont il était allé fleurir les tombes en cette veille de la fête des morts, il ne daigna même pas quitter le terrain !
L'honneur est une question d'époque disait... (Ouh là, difficile à terminer sans le Barde !). L’auteur de cette Maxime est de Niort aussi. Nous pourrions le situer dans l’ère des hominidés entre la découverte monumentale de l’écriture et la non des moindres, naissance du « rugueux bi ». L’absence de gazelles et le trop plein de mammouths poussent parfois l’homo-sapiens sapiens vers le castor et ses belles constructions. « Chausser un joueur au sol est une invention ou une découverte dans le jeu sans ballon ?... » s’interroge Alban en novidé qu’il est. Alban est un artiste dans son domaine, il peint avec les crampons. L’art est une question d’époque disait… Fait chier Barde t’es où? Pas Ronsard en tout cas qui ne compte que fleurette qu’en sonnet les narines. Il y a du rugby dans tout poète ! Le jeu fut en effet dans le camp d’Alban. Les dos zébrés sont plus alertes du coup le jeu trouve toujours muse avec les artistes d’en face. Alban a des mains mais bon ça aussi cela reste une question d’époque. En tout cas sur ce coup Guitou aurait joué avec Alban et Titi aurait retrouvé ses jambes !
Au trou c’est chewynois. Chewy est le diminutif de chewbacca héros poilu de tous les temps.
« Le retour du Mardaille ». Les anciens sur le sujet se retrouvent guère dans les étoiles mais toujours bien dans les délices d’orient. Le castor et sa chevelure a failli lui valoir un surnom digne du capitaine caverne, mais l’honneur fut sauf même Serge, pleure encore sur la question. Son en-avant de réception nous avait laissé sur la décoiffe. La tradition veut que les baguettes accompagnent la Samson aigre douce. Bon tu Nems ou tu nems pas. Les castors s’éprouvent aux joies des délices d’orient. Piou Piou lui il s’en fout sa tête est à Manhattan, son cul au trou et son estomac en rouleau d’Automne. 31 Octobre oblige. La suite fut riz. Cantonais et blanc. Le choix se fait double en Asie. La chine est riche Ming de rien… La troupe fait muraille, les castors sont disciplinés. L’empereur du milieu du trou Chewy gomme toutes les frontières. Bœuf et cochons en appuis. Les sauces sont caramélisées le mélange est sucré salé …
Le lancer d’assiette un mélange de lune noire et de lotus bleu. La technique du lancer sans genou, et à la baguette propulse notre poilu dans les pages obscures du trou. Le castor se promet de revenir sur le pré. L’entrainement il n’y a que ça de vrai ! Wouhouhou… Cri de joie du chewy !
Le fromage fut également asiatique mis à part le Brie qui n'était pas de glace mais de Maux. En effet, "Jean-Oui" nous fit découvrir la Tomme de Morgée. Des recherches cartographiques poussées nous permirent de localiser enfin l'endroit méconnu (Morgée). Il s'agit d'un quartier chaud de Pyongyang. La tomme y est régulièrement placée entre les cuisses humides d'égéries d'état assistant aux discours radioactifs du petit Kim Jong Un. Un délice !
A la belote, la partie fût atypique et arrosé d'un alcool de riz. Le duo Alain-Charles et son comparse débutant tenta régulièrement de tirer le diable par la queue mais celle-ci s'avéra systématiquement trop courte. Perdigue, toujours aussi pénible dans ses annonces, tenta également la diablesse, balançant des neufs en première main croqués immédiatement par des valets gourmands dans des chevauchements de cartes orgiaques ! Atypique, car le gagnant se détachant rapidement d'une baraque splendide et laissant les autres profiter de l'excès d'enthousiasme d'Alain-Charles, il fût un tour où 5 joueurs terminèrent 2nd ex aequo. La troisième et dernière place se détermina donc par un duel entre Perdigue le "pénible" et Alain Charles le "bluffer coach". Avec 4 points d'avance au dé, Perdigue pouvait enfin briller ce qu'il finit par faire…laborieusement.
Le lancer d’assiette un mélange de lune noire et de lotus bleu. La technique du lancer sans genou, et à la baguette propulse notre poilu dans les pages obscures du trou. Le castor se promet de revenir sur le pré. L’entrainement il n’y a que ça de vrai ! Wouhouhou… Cri de joie du chewy !
Le fromage fut également asiatique mis à part le Brie qui n'était pas de glace mais de Maux. En effet, "Jean-Oui" nous fit découvrir la Tomme de Morgée. Des recherches cartographiques poussées nous permirent de localiser enfin l'endroit méconnu (Morgée). Il s'agit d'un quartier chaud de Pyongyang. La tomme y est régulièrement placée entre les cuisses humides d'égéries d'état assistant aux discours radioactifs du petit Kim Jong Un. Un délice !
A la belote, la partie fût atypique et arrosé d'un alcool de riz. Le duo Alain-Charles et son comparse débutant tenta régulièrement de tirer le diable par la queue mais celle-ci s'avéra systématiquement trop courte. Perdigue, toujours aussi pénible dans ses annonces, tenta également la diablesse, balançant des neufs en première main croqués immédiatement par des valets gourmands dans des chevauchements de cartes orgiaques ! Atypique, car le gagnant se détachant rapidement d'une baraque splendide et laissant les autres profiter de l'excès d'enthousiasme d'Alain-Charles, il fût un tour où 5 joueurs terminèrent 2nd ex aequo. La troisième et dernière place se détermina donc par un duel entre Perdigue le "pénible" et Alain Charles le "bluffer coach". Avec 4 points d'avance au dé, Perdigue pouvait enfin briller ce qu'il finit par faire…laborieusement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire