Par Bardibulle
L’hiver touche à son terme. Mars en mois de combat vocifère de nouvelles rencontres. Fayou a l’idée de mener ses troupes jusqu’au 50ème des rugissants et leur prépare un programme sportif alternant toucher, plaquer, et festivités. Pour cette sortie, nous retrouvons le stade Suzon. Talence en son antre. L’organisation est sans faille grâce à Faye. Il y a eu des présents tant sur le doodle que sur le pré. Même Poussou était là. Le castor surprend il a enfin compris le clic qui fait clac. Heureux de le retrouver sur le pré. La masse des castors et celles de Bordeaux Métropole a permis de mettre en place 4 équipes. Deux équipes pour le prix d’une. Le rêve. Les règles en revanche sont celles du domicile. Toucher à deux mains (en un seul mot pour Gwen). 5 touchers pour rendre la balle à l’adversaire et sur demi-terrain.
Le jeu est dynamique est implique un jeu en mouvement. Le travail se fait dans le fond. Tous les ballons se jouent. Easy Gwen sur le sujet a marqué ses ambitions dès le départ en s’imposant un magnifique short rouge. Celui que l’on réserve pour notre arrière garde pour le jeu à plaquer. Le castor garantit un repère stable pour ses compagnons d’infortune. Le jeu gravite autour de lui et l’homme imperturbable est hors-jeu tant en défense qu’en attaque. Le rocher de la Vierge ne bouge pas face au va et vient des marées. Gwen c’est pareil. L’idée est dans le physique. Dudu pleura et pria le revenir au simple du plaquer. Il connait les qualités de l’esthète en relief mais ne supporte le statique. Richard et Romain deux nouvelles recrues ne connaissent encore les choix que Guitou aurait fait pour choisir ses compagnons dans le champ. Les aléas ne se suffisent pas au hasard et mérite de l’expérience. Gwen confia entre deux pressions qu’il pensait que le rendez-vous était à plaquer. Son jeu est de tenir le pack et d’empêcher de perdre le ballon. Du coup plus rien à voir avec le rocher de la Vierge. Le reste n’est que mouvement. L’architecte jouit du solide. Le léger c’est pour les ailes.
Thibaut, fils de Lolo promet dans ses courses folles. Il y a du père en lui. Sa course est un vent pour l’autre. Lolo de musclé avait de nombreuses cordes vocales à son arc. Sergio a son habitude appelait et tentait des feintes à la Lourdes. Elles tiennent de la magie quand elles passent et de la râle altitude quand l’annonce n’est pas comprise. La montagne et son culte appelle du caractère. Poussou lui se baladait pendant que Piou Piou se claquait. L’ambiance était dans le jeu. Un mercredi comme un autre mardi… Le score pencha pour Bordeaux Métropole. Même s’il n’y eut pas de marée et beaucoup d’aplatis. Sur la touche Joel prenait des notes, le staff prend forme pour notre tournoi. Il trépigne et griffonne. Ses genoux sont avatars et jouent avec nous. La réception fut annoncée comme chaleureuse et n’a pas déçu. Loin de là ! Deuxième réception de la part des troupes de Bordeaux Métropole et toujours autant de plaisirs. Un restau en table U nous rapproche des simplicités de la vie du rugby universitaires et des rencontres en troisième mi-temps. Nous chantâmes le fromage mais en vin ! Les troupes se mélangent. Et il n’y a que du bon à manger et à boire. En face les derniers pas du PSG en ligue européenne sans photo de gloire. Gwen soulagé, vise une reconversion dans l’équipe de la capitale, les bras il ne s’en sert pas. Pas de bras, pas de pénalty et le PSG poursuit sa route pour se rapprocher d’un peu plus près des champions. Simple et en plus il peut garder son short rouge !
La nuit est pluvieuse, « un sombre humide »me glisse Perdigue en connaisseur des moments qui tardent. Les lumières de la ville font lucioles tandis que la lune compte ses quartiers.
Merci à Bordeaux Métropole. Promis, la prochaine se fera dans le trou !
QLCVP
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