Par Le Barde et Bardibulle
Le pré comme de loin se désespère. Les allers retours se font dans le sens d’un tactile qui se voudrait en herbe. Les limites s’orientent de mardi en mardi entre un quatre quatre débordement, un cinq contre cing qui ouvrent d’autres probabilités. Jean Phi est toujours en mode actif. Les vignerons comme les routiers sont sympas. C’est vite dit lorsqu’il se met en tête de chasser le preneur du trou. Le concept vaut son détour. Dans la prise du trou pensez à lever les chevilles pour éviter la trébuche. Son art est dans la cuillère. L’herbe est synthétique mais l’art se veut dans l’intercept’. Le sacrifice est dans l’ultime. La ligne se mérite. Le toucher a une main élimine les passes en douce. Le décalage doit se créer. Elles sont loin les montagnes Pyrénées, Lourdes et Tarbes récoltent apparemment des haricots à défaut de pointer leur nez. Leur art est bien dans la feinte. Je pourrai être là mais je ne suis pas là. Le jeu d’ouverture qui fait briller. Leur labeur est dans la création de l’intervalle. Perdigue pour ne pas le citer est dans l’extinction de celle-ci. Gare au troisième ligne en chasse. Le Barde soigne son dos. Christophe sa relève. Un petit geste de tendresse en désespère. Le toucher se fera dans le sacrifice con se le dise. Dudu prend son pied. La douche est libre. Direction le trou
Le trou se veut de même dans la relève. Elle se fera double. Deux pour le prix d’un. Les chiffres ne mentent pas. La logique est là parfois en nombre, parfois en sous nombre. Prof où es-tu pour réfléchir sur de nouvelles remarquables. L’actuel perd sa tête. Le carré de la somme dénonce son inconnu. Les stagiaires répondront bien présents à notre rendez-vous. Un Polo et un Alex en drain. Le Barde sans son dos pleure l’hémistiche. Les deux se complètent. Un grand et un moins grand… Un rapide et un moins rapide. Un trois quart et un moins trois-quart qui fait un gros !
L’accueil est bon. Les coureurs après la pression levée s’installeront sur Cène. Tcho est là. IL vaccinera le Bardibule d’un éternuement à décoiffer le béret de Pépé. « Comme un Ouragan qui toussait en moi… le covid a tout emporté… » Fini la rigole pour arroser. La tousse se veut dans le jeu moderne. Du coup l’empreinte est faite. L’entrée se fera printanière est en douceur. Charcutaille dans un coin et verdure de l’autre. Nos stagiaires monteront en puissance et annoncent leur principal : poulets basquaises. Le silence se fit. Le bon mérite un tercio d’honneur. La resserve se fera plus que de raison. Le bouquet de laurier et des saveurs du Pays Basque sont bien réunis pour combler nos exigences épicuriennes. Le Sabite en arrose, nous sommes bien. La mijote garde son sublime dans son plaisir d’offrir. Les poulets assurent.
Le lancer se fera sans encombre. Bardibule n’ayant pu compter les assiettes voltigées. Ses yeux encore collés par la rafale de son Tcho. Le bruit annoncera une bombarde d'exception. Le lacté et les rites du bon vivre en son trou sont réunis ! Une chanson d’amour du trou pousse les castors à être bienheureux. Le dessert ne portera pas de nom mais se fera en cerise sur le gâteau. Le délice est fait maison. Il surprend dans son originalité comme son origine. Le secret restera trou ! Du léger en sucré
Le belote se fera au comptoir. Get et patxaran pour digestif. La porte en remontée toujours verte.
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