Sujet sensible s’il en est, la perte de virginité reste une étape incontournable pour tous les Castors sachant que l’ami Nicolas, fort de son statut de postulant stagiaire, nous fit une belle démonstration d’abnégation.
Vous me direz qu’au vu de la morphologie du castor, il y a de quoi s’inquiéter mais notre jeune pousse, malgré le stress inhérent à cette étape incontournable, s’en est sorti avec brio.
Bon, au vu du regard dubitatif de certains lecteurs, il est bon de rappeler certains détails de notre emblème :
Classe mammifère, ordre rongeur, famille castoridés, Genre-espèce : castor canadensis ou fiber, longueur de la queue 23 à 40 cm, celle ci sert d’ailleurs de soutien quand il s’assoit. Trapu et grassouillet, il a de petits yeux et il ne semble pas avoir de cou, il choisit les zones larges et dégagées pour construire ses huttes. Le castor est monogame, il s’accouple pour la vie et reste fidèle. Sa période d’accouplement est en janvier et en février. Cet animal vit en famille de plusieurs individus par hutte, il est nocturne et actif, tout l’hiver… Le castor est un bon constructeur, il sait où, quand et comment construire.
On retrouverait presque la description de certains membres…
Revenons à l'ami Nicolas qui, au détour du port altier de deux assiettes débordantes de restes, avoua que ce fut pour lui une épreuve, que la préparation nécessita une longue période de réflexion quant à la composition du menu et une réelle remise en question pour sa préparation.
Qu’en penser au vu et au goût ?
La soupe fut la bienvenue dans ces froidures et notons cette volonté du chef de prendre soin de la santé des castors en assurant leur ration quotidienne de légumes. Le plat principal fut là aussi à la hauteur de l’hiver avec une extrémité de gallinacé macérée à la pleureuse et au coucougnètes vertes baignant au milieu de tubercules molissants.
Le summum fut cependant atteint par le grand final où notre jeune pousse a fait preuve d’un effort colossal en proposant les chaussons aux pommes, maison s’il vous plait.
Nous retiendrons cependant qu’il reste du travail sur le lancer d’assiettes – 4 ratées (sur la demande du président, le nombre d'assiettes cassées sera désormais mentionné). Heureux homme qu’il fut car Prof l’oseille étant absent, il n’eu droit qu’à quelques remarques, notamment de notre miraculé Jean-Louis qui y laissa quelques traces d’ADN rougissant…
Bref, le jury, composé du Président, de Grognard, d’Henri, de l’Amiral et de Gros Zan décerne un 13 pour ce premier essai. Il ne reste finalement qu’à le transformer ! Vivement l’année prochaine !
Ce que le barde en dit :
Le petit Nicolas est bien celui qu’on croit
Nous, nous avons le nôtre et il est de surcroît
Un fieffé maître queux, rien à voir avec l’autre
Et pourtant il pourrait jouer les bons apôtres
Au fond du trou, il puise des vertus innombrables
et boute les pisse-froids hors de leur détestable
Manie de faire des nœuds avec la vie qui va
Et jamais le karcher ne lui sert de canevas
Peut-être aurait-il pu avec sa superbe
Apostropher le ciel et de son plus beau verbe
Clamer du fond du trou vive le castor libre
Comme d’aucune le fit en se trompant de cible
Mais mon barde quelle idée de convier à la fête
Celles ou ceux qui tapissent de pensées imparfaites
La devanture triste d’un pays somnolent
Il te suffit au trou de trouver ton content
A cela Nicolas il faut le reconnaître
S’est employé comme peu et faisant fi des traîtres
Il a su s’imposer à l’assemblée d’un soir
Et faire la nique à ceux qui toujours broient du noir
A-t-il murmuré en rejoignant ses murs
La fable du scooter et du plus p’tit des durs
Ou celle de la voyante et de l’édile local
Que nenni, j’en suis sûr, car c’est à l’amiral
Qu’ivre mort et repu il a songé sans doute
Et chantant des chansons paillardes sur sa route
Fier d’avoir avec grâce accompli sa besogne
Il est rentré chez lui sans la moindre vergogne
Cadeau du blogger :
Amateurs de calendriers, afin de vous éviter la tentation de tchourer celui du club, voici de bonnes adresses là et là. C'est gratos, ça s'arrose !… Hého, y a plus personne ? Attendez ! Vous pourriez au moins dire merci !
31 janvier 2007
24 janvier 2007
Le cuistot de la semaine et l’entente cordiale
L'histoire nous rappelle que c’est le 8 avril 1904 qu’est officiellement née l’Entente cordiale entre la France et le Royaume Uni, entente qui durera malgré quelques petites frictions. De là à faire un rapprochement avec l’ami Henri, il n’y a qu’un pas, certes assez grand, car quoi que l’on dise, la Manche est fraîche en cette saison et quand même relativement large.
Bon, Henri, inspiré par sa tendre épouse, décida de tenter un rapprochement non pas politique mais culinaire entre nos deux grandes nations. Il est vrai qu’on peut le comprendre, car profitant quotidiennement des bienfaits de la culture culinaire anglo-saxonne, il se devait de partager cette expérience.
A nous de remercier les cieux qu’il ne se soit pas marié à une écossaise qui aurait pu nous faire un Haggis qui, comme Jacques Bodoin l’avait écrit : « quand j’ai vu ce que c’était, j’ai cru que c’était de la merde, quand je l’ai goûté, j’ai regretté que ce n’en soit pas ».
Bref, il préféra s’appuyer sur la traditionnelle PIE, sommet de la culture des Pub (qui n’a jamais goûté le trop fameux steak & kidney pie qui laisse dans le palais un petit arrière goût de « n’y revient jamais »).
Ce fut là la grande surprise. Mais si ! Pour toi pauvre Castor qui brilla par ton absence, tu ratas un moment unique. C’ETAIT BON ! TRES BON MEME ! Et chose encore plus curieuse, c’était beau à voir !
Une couverture de fromage blond à souhait (son épouse est blonde ?) sur un matelas de purée recouvrant un sommier de bonne viande anglaise bien sûr. Le tout accompagné de différents Chutneys qui régalèrent nos papilles de bons franchouillards toujours critiques.
Et que dire de ces Pancakes à la marmelade d’orange qui fondaient sous la langue. Ne demandez pas à Titi de vous en parler, il a mis la sauce sur le camembert, à croire que certaines associations anglaises…
Titi, Toto, Arnaud, Alain, Jean-Bernard S. et Dudu, se sont réunis pour attribuer un 13 à notre So British Beaver. God Save Henry et The Queen !
Pendant ce temps là, Shakespeare se demandait : To be or not to be.
Demandée par Pepe et la Desperate Housewife of Fox, voici la même chose en anglais :
History recalls that it was on the 8th April 1904 that the Entente Cordiale was officially settled between France and United Kingdom. This did actually last even if the French didn’t quite behave properly all along…
It’s fairly easy to compare both our Henry and the English culture as he showed how close both countries were.
Thanks to his glamorous wife who helped him by organising a glorious diner around the difference between the fabulous English “cuisine” and the well known French “cooking”.
Unfortunately, he married an English women, because if he had done so with a pure Scottish women , we would have had the chance to taste the national dish, well known though out the world as one of the finest dish. As use to say Donald McLeod, critic, “How can a man live and not taste a haggis. What a pity if you miss such a paradise”.
Therefore, he decided to offer us a typical, glorious and so traditional PIE!
Ho Man! This reminded me of this delicious steak & kidney pie in a Pub lost somewhere in Devonshire. What about the beer though! Why do Frenchmen keep on drinking wine!
To be honest, they quite enjoyed it by not shouting out the usual lot of critics of so called "gastronomes”. And how beautiful it was! You just had to look at it and you felt like being at home with your beloved wife. And them pancakes; amazing alongside the marmalade coming from Fortnum & Mason showing the sun of an English summer.
At least there was a man of taste, Titi, who finally spread the marmalade sauce over its cheese which definitely showed the right taste.
Jury, made of Frenchmen of course (Titi, Toto, Arnaud, Alain, Jean-Bernard S. et Dudu), awarded a 13, which shows how glorious is our Kingdom. God bless England.
Ce que The Barde en dit :
Salut à toi Henri qui sut faire fi d’un temps
Où le riz mécréant, scélérat et pâteux
Incommodait nos goûts pour le moins vétilleux
Tu as tourné la page et chassé les autans
Nous étions là craintifs, attendant dans le trou
Que tu nous offres le fruit de tes métamorphoses
Et c’est peu dire, mon cher, que tu fis bien les choses
Va, nous te pardonnons, et foin de nos courroux
Désormais le refrain que nous entonnerons
N’effarouchera plus le cuisinier en herbe
Qui rumine ses peurs et perd de sa superbe
A mesure que s’approche sa pâle contribution
Hachis Henri, hachis Henri s’exclamèrent les castors
Lorsque tu leur servis, fumant, appétissant,
Le plat qu’ils dévorèrent comme autant de manants
Hirsutes, affamés, si contents de leur sort
Mais que diable venaient faire ces sordides courgettes
A-t-on jamais songé mariage plus saugrenu
Que diantre venaient faire dans ce fringant menu
La courge surnuméraire et ses vertus simplettes
Quant à la crêpe, mazette, elle n’était pas suzette
Mais qu’importe suzette à la crêpe revêche
Et crois moi mon Henri ce n’est pas vendre la mèche
Que de penser sucette lorsqu’on prend en levrette
Bon, Henri, inspiré par sa tendre épouse, décida de tenter un rapprochement non pas politique mais culinaire entre nos deux grandes nations. Il est vrai qu’on peut le comprendre, car profitant quotidiennement des bienfaits de la culture culinaire anglo-saxonne, il se devait de partager cette expérience.
A nous de remercier les cieux qu’il ne se soit pas marié à une écossaise qui aurait pu nous faire un Haggis qui, comme Jacques Bodoin l’avait écrit : « quand j’ai vu ce que c’était, j’ai cru que c’était de la merde, quand je l’ai goûté, j’ai regretté que ce n’en soit pas ».
Bref, il préféra s’appuyer sur la traditionnelle PIE, sommet de la culture des Pub (qui n’a jamais goûté le trop fameux steak & kidney pie qui laisse dans le palais un petit arrière goût de « n’y revient jamais »).
Ce fut là la grande surprise. Mais si ! Pour toi pauvre Castor qui brilla par ton absence, tu ratas un moment unique. C’ETAIT BON ! TRES BON MEME ! Et chose encore plus curieuse, c’était beau à voir !
Une couverture de fromage blond à souhait (son épouse est blonde ?) sur un matelas de purée recouvrant un sommier de bonne viande anglaise bien sûr. Le tout accompagné de différents Chutneys qui régalèrent nos papilles de bons franchouillards toujours critiques.
Et que dire de ces Pancakes à la marmelade d’orange qui fondaient sous la langue. Ne demandez pas à Titi de vous en parler, il a mis la sauce sur le camembert, à croire que certaines associations anglaises…
Titi, Toto, Arnaud, Alain, Jean-Bernard S. et Dudu, se sont réunis pour attribuer un 13 à notre So British Beaver. God Save Henry et The Queen !
Pendant ce temps là, Shakespeare se demandait : To be or not to be.
Demandée par Pepe et la Desperate Housewife of Fox, voici la même chose en anglais :
History recalls that it was on the 8th April 1904 that the Entente Cordiale was officially settled between France and United Kingdom. This did actually last even if the French didn’t quite behave properly all along…
It’s fairly easy to compare both our Henry and the English culture as he showed how close both countries were.
Thanks to his glamorous wife who helped him by organising a glorious diner around the difference between the fabulous English “cuisine” and the well known French “cooking”.
Unfortunately, he married an English women, because if he had done so with a pure Scottish women , we would have had the chance to taste the national dish, well known though out the world as one of the finest dish. As use to say Donald McLeod, critic, “How can a man live and not taste a haggis. What a pity if you miss such a paradise”.
Therefore, he decided to offer us a typical, glorious and so traditional PIE!
Ho Man! This reminded me of this delicious steak & kidney pie in a Pub lost somewhere in Devonshire. What about the beer though! Why do Frenchmen keep on drinking wine!
To be honest, they quite enjoyed it by not shouting out the usual lot of critics of so called "gastronomes”. And how beautiful it was! You just had to look at it and you felt like being at home with your beloved wife. And them pancakes; amazing alongside the marmalade coming from Fortnum & Mason showing the sun of an English summer.
At least there was a man of taste, Titi, who finally spread the marmalade sauce over its cheese which definitely showed the right taste.
Jury, made of Frenchmen of course (Titi, Toto, Arnaud, Alain, Jean-Bernard S. et Dudu), awarded a 13, which shows how glorious is our Kingdom. God bless England.
Ce que The Barde en dit :
Salut à toi Henri qui sut faire fi d’un temps
Où le riz mécréant, scélérat et pâteux
Incommodait nos goûts pour le moins vétilleux
Tu as tourné la page et chassé les autans
Nous étions là craintifs, attendant dans le trou
Que tu nous offres le fruit de tes métamorphoses
Et c’est peu dire, mon cher, que tu fis bien les choses
Va, nous te pardonnons, et foin de nos courroux
Désormais le refrain que nous entonnerons
N’effarouchera plus le cuisinier en herbe
Qui rumine ses peurs et perd de sa superbe
A mesure que s’approche sa pâle contribution
Hachis Henri, hachis Henri s’exclamèrent les castors
Lorsque tu leur servis, fumant, appétissant,
Le plat qu’ils dévorèrent comme autant de manants
Hirsutes, affamés, si contents de leur sort
Mais que diable venaient faire ces sordides courgettes
A-t-on jamais songé mariage plus saugrenu
Que diantre venaient faire dans ce fringant menu
La courge surnuméraire et ses vertus simplettes
Quant à la crêpe, mazette, elle n’était pas suzette
Mais qu’importe suzette à la crêpe revêche
Et crois moi mon Henri ce n’est pas vendre la mèche
Que de penser sucette lorsqu’on prend en levrette
20 janvier 2007
19 janvier 2007 : Radis Noirs vs Archiball
Les castors débutent bien l’année
Nous étions nombreux à Musard, en ce vendredi 19 janvier au soir pour tâter du Radis Noir. Nombreux aussi les supporters. Tout avait bien mal commencé : point de nouveaux maillots. La faute à qui ? La faute à personne et, pourtant, à tout le monde. Désormais, géographie oblige, Bruno L. et le Barde s’y colleront. Les castors revêtirent, pour l’occasion, leur ancienne tenue. Ils surent honorer leurs valeureux ancêtres puisqu’ils eurent raison des Radis, noirs en la circonstance.
Deux équipes, deux jeux. Devant pour les Radis Noirs, devant et derrière pour les castors. Moralité, on n’est bon devant que si on l’est aussi derrière. C’est donc fort justement que l’équipe la plus complète l’emporta. Le combat fut âpre, farouche, grandiose. Dès les premières minutes, malgré une domination stérile de leurs adversaires, on savait que le trophée avait toutes les chances de regagner le trou à rats après quelques années d’abstinence. Jérôme B. confirmait ce pressentiment en inscrivant un essai d’ailier après un service au cordeau de l’incomparable, du divin Titi. Vainement, les radis remettaient leur ouvrage. Et sur une inspiration de trois-quart, Yann L., auteur d’un match énorme, considérable, gigantesque, servait Titi (encore lui) qui filait entre les barres. Sur la touche, notre coach vénéré frétillait. Mais le Radis refaisait surface et revenait au score par l’inévitable Dédé B. La première des trois mi-temps était sifflée sur un score de parité.
Début de deuxième mi-temps : le scénario ne bougea pas d’un pouce. Encore que la vigueur des avants des Radis s’émoussait quelque peu. Et c’est Titi qui s’arrachait des griffes de ses rivaux, rutilant et superbe, pour donner un avantage mérité à ses fiers partenaires. Passeur décisif et inlassable franchisseur des lignes ennemies, notre Titi titillait les sommets. Devant, les plaquages pleuvaient. Il était dit que le Radis ne passerait pas ou peu. Car Dédé B. parvint une fois de plus à inscrire un essai. N’importe, telle une antilope, Toto pris la poudre d’escampette, et au nez et à la barbe des hommes en noir, il pointa derrière la ligne d’en-but. 4 à 3 à la fin d’une seconde mi-temps où l’équipe des Archiballs avait été pourtant sérieusement remaniée.
La troisième mi-temps, avec une ligne de trois-quarts inédite, Jean-Pierre C. et Garcimore au centre, ne changea rien. D’emblée, Toto signait un essai de filou qui brisait les rêves de victoire des Radis. Certes, ils marquèrent un essai d’avant. Mais l’issue ne faisait plus de doute. Une ultime envolée des Radis se brisait sur la défense des Castors et l’incontournable Fonfon sifflait la fin du match. Le général, éprouvé, ému, brisé, fondait en larmes.
Tous les Castors sont à féliciter pour cette belle entrée en matière. Deux castors d’or : un devant pour Yann L. et un derrière pour Titi P. La suite au prochain numéro. A noter : le retour de l’avocat, Patrick T (c'est lui, juste au-dessus, au cas où certains ne se souviennent plus de sa trombine). A mardi au trou pour fêter le trophée. Et que le cul vous pèle.
Les deux cators d'or, l'un fait le beau, l'autre fait le vide !
Les discours d'après match…
Nous étions nombreux à Musard, en ce vendredi 19 janvier au soir pour tâter du Radis Noir. Nombreux aussi les supporters. Tout avait bien mal commencé : point de nouveaux maillots. La faute à qui ? La faute à personne et, pourtant, à tout le monde. Désormais, géographie oblige, Bruno L. et le Barde s’y colleront. Les castors revêtirent, pour l’occasion, leur ancienne tenue. Ils surent honorer leurs valeureux ancêtres puisqu’ils eurent raison des Radis, noirs en la circonstance.
Deux équipes, deux jeux. Devant pour les Radis Noirs, devant et derrière pour les castors. Moralité, on n’est bon devant que si on l’est aussi derrière. C’est donc fort justement que l’équipe la plus complète l’emporta. Le combat fut âpre, farouche, grandiose. Dès les premières minutes, malgré une domination stérile de leurs adversaires, on savait que le trophée avait toutes les chances de regagner le trou à rats après quelques années d’abstinence. Jérôme B. confirmait ce pressentiment en inscrivant un essai d’ailier après un service au cordeau de l’incomparable, du divin Titi. Vainement, les radis remettaient leur ouvrage. Et sur une inspiration de trois-quart, Yann L., auteur d’un match énorme, considérable, gigantesque, servait Titi (encore lui) qui filait entre les barres. Sur la touche, notre coach vénéré frétillait. Mais le Radis refaisait surface et revenait au score par l’inévitable Dédé B. La première des trois mi-temps était sifflée sur un score de parité.
Début de deuxième mi-temps : le scénario ne bougea pas d’un pouce. Encore que la vigueur des avants des Radis s’émoussait quelque peu. Et c’est Titi qui s’arrachait des griffes de ses rivaux, rutilant et superbe, pour donner un avantage mérité à ses fiers partenaires. Passeur décisif et inlassable franchisseur des lignes ennemies, notre Titi titillait les sommets. Devant, les plaquages pleuvaient. Il était dit que le Radis ne passerait pas ou peu. Car Dédé B. parvint une fois de plus à inscrire un essai. N’importe, telle une antilope, Toto pris la poudre d’escampette, et au nez et à la barbe des hommes en noir, il pointa derrière la ligne d’en-but. 4 à 3 à la fin d’une seconde mi-temps où l’équipe des Archiballs avait été pourtant sérieusement remaniée.
La troisième mi-temps, avec une ligne de trois-quarts inédite, Jean-Pierre C. et Garcimore au centre, ne changea rien. D’emblée, Toto signait un essai de filou qui brisait les rêves de victoire des Radis. Certes, ils marquèrent un essai d’avant. Mais l’issue ne faisait plus de doute. Une ultime envolée des Radis se brisait sur la défense des Castors et l’incontournable Fonfon sifflait la fin du match. Le général, éprouvé, ému, brisé, fondait en larmes.
Tous les Castors sont à féliciter pour cette belle entrée en matière. Deux castors d’or : un devant pour Yann L. et un derrière pour Titi P. La suite au prochain numéro. A noter : le retour de l’avocat, Patrick T (c'est lui, juste au-dessus, au cas où certains ne se souviennent plus de sa trombine). A mardi au trou pour fêter le trophée. Et que le cul vous pèle.
Les deux cators d'or, l'un fait le beau, l'autre fait le vide !
Les discours d'après match…
19 janvier 2007
La fable du libanais et du lombric
Un jour, le barde, agacé de voir les castors finir toujours au whisky, attrape l'un d'eux, Walid, et le met devant un verre de whisky et un verre d'eau. Puis il prend un ver qui passait par là et le laisse tomber dans l'alcool. Puis il prend un autre ver, qui lui aussi passait par là, et le laisse tomber dans l'eau. Le ver dans l'eau reste vivant alors que celui dans le whisky se tord sur lui-même quelques instants et meurt.
Le barde regarde Walid et lui demande en se tournant vers l'assemblée :
- Alors Walid, quelle leçon tires-tu de ce que je viens de te montrer ?
Ce dernier répond fort justement :
- Heu, ça montre que quand on boit de l'alcool, on ne risque pas d'avoir des vers...
Ce que le barde fit dès la bouffe de mardi : Versets pour un Libanais
« Elle nous manquait sur le pré, ta foulée longue et déliée. Tu étais au four ; nous étions au moulin, bravant les moulins à vent de nos gloires passées.
Est-ce ton absence qui nous fit tomber tant de ballons ? Dieu que nos bras étaient hésitants. Pas les tiens qui nous concoctèrent des crevettes avec queues mais sans têtes. Faut-il y voir un signe, un présage ?
O toi, mon merveilleux graphiste, qui dispose les mets comme tu disposes les mots sur la page, ton saumon était l’égal d’une nature morte ; et tes brocolis, tes carottes auraient fait le bonheur d’Archimboldo. (Mais où la carotte et où le brocoli ?)
Et que dire de la foule qui se pressait au trou. Le libanais attire, le libanais rassemble. Qui sont ces peignes-culs qui craignent l’autre ; cet autre qui est nous-même ? Pas les castors qui se gaussent des frontières et des peurs mécréantes.
Nous amèneras-tu, un jour au pays du cèdre ? Longerons nous la corniche aux passantes sublimes ? Verrons-nous le rocher de Raouché ? Et loin des imbéciles qui blessent ton pays, nous promènerons-nous dans Baalbeck la divine ?
Toi le père de Mohé et des cartes inouïes, toi le père d’un blog à nul autre pareil, je chante tes louanges sans retenues aucunes. Au diable les culs pincés qui retiennent leur langue. « Le rugby est un monde » comme disait un certain, le rugby est un monde où il fait si bon vivre.
A Musard, vendredi pour taquiner la balle, à Musard vendredi pour mater le radis. »
Le barde regarde Walid et lui demande en se tournant vers l'assemblée :
- Alors Walid, quelle leçon tires-tu de ce que je viens de te montrer ?
Ce dernier répond fort justement :
- Heu, ça montre que quand on boit de l'alcool, on ne risque pas d'avoir des vers...
Ce que le barde fit dès la bouffe de mardi : Versets pour un Libanais
« Elle nous manquait sur le pré, ta foulée longue et déliée. Tu étais au four ; nous étions au moulin, bravant les moulins à vent de nos gloires passées.
Est-ce ton absence qui nous fit tomber tant de ballons ? Dieu que nos bras étaient hésitants. Pas les tiens qui nous concoctèrent des crevettes avec queues mais sans têtes. Faut-il y voir un signe, un présage ?
O toi, mon merveilleux graphiste, qui dispose les mets comme tu disposes les mots sur la page, ton saumon était l’égal d’une nature morte ; et tes brocolis, tes carottes auraient fait le bonheur d’Archimboldo. (Mais où la carotte et où le brocoli ?)
Et que dire de la foule qui se pressait au trou. Le libanais attire, le libanais rassemble. Qui sont ces peignes-culs qui craignent l’autre ; cet autre qui est nous-même ? Pas les castors qui se gaussent des frontières et des peurs mécréantes.
Nous amèneras-tu, un jour au pays du cèdre ? Longerons nous la corniche aux passantes sublimes ? Verrons-nous le rocher de Raouché ? Et loin des imbéciles qui blessent ton pays, nous promènerons-nous dans Baalbeck la divine ?
Toi le père de Mohé et des cartes inouïes, toi le père d’un blog à nul autre pareil, je chante tes louanges sans retenues aucunes. Au diable les culs pincés qui retiennent leur langue. « Le rugby est un monde » comme disait un certain, le rugby est un monde où il fait si bon vivre.
A Musard, vendredi pour taquiner la balle, à Musard vendredi pour mater le radis. »
17 janvier 2007
Le cuistot de la semaine : le blogeur blogué ou le retour du cèdre boutonneux
Il faut croire que certains arrivent à drainer le monde par leur seul nom.
Comment rater la bouffe de Walid, record absolu avec 42 participants. Mais en quoi était ce si particulier ?
C’est simple, Walid nous a démontré que le Liban était un grand producteur de crevettes sauce aigre douce et que ses rivières charriaient des saumons de tailles gargantuesques.
Cela nous amène bien sur à étudier le cas du saumon libanais, qui, contrairement à ses cousins canadiens (là bas aussi, il leur arrive de parler Français), éclos dans des eaux non polluées, descend langoureusement sa rivière natale, profite d’un long et profitable séjour en mer à se nourrir de crevettes (tiens tiens), ce qui lui donne cette merveilleuse chair rosée et revient frayer dans sa rivière natale en passant tous les obstacles se présentant devant lui.
C’est à ce stade, oh combien impressionnant, que le saumon libanais, nous offrant le spectacle magique du franchissement d’un bond d’une cascade (un peu comme Walid lorsqu’il cadre et déborde son adversaire) attrape cette bactérie unique qui lui fabrique un bouton sur le nez et une crète sur le front, ce qui permettra de le différencier plus tard de ses lointains cousins, notamment canadiens.
Arrivé sur sa zone de ponte, épuisé, il égrène dans la rivière sa descendance qui a une curieuse ressemblance avec les brocolis et la couleur de la carotte.
Son devoir accompli, il redescend de la montagne à cheval sur les flots pour refaire son voyage initiatique pour finir dans un trou où il peut enfin se détendre et se nourrir après l’effort.
Donc, revenons à nos moutons, pardon, saumons et saluons ce louable effort qui fut de cuire ces six belles bêtes dans un four qui ne peut en contenir que deux, de réussir à les servir chauds et cuits à point et de nous régaler d’un vrai plateau de fromages choisis avec soin pour nous permettre de savourer une pomme cuite au bois de cèdre.
Le grand jury, composé des deux Bruno, de l’Amiral, du gros Lolo et de Guigui accorde un 16 bien mérité.
11 janvier 2007
Parle à mon cul, ma tête est malade !
Ami Archiball, retiens-toi… laisse moi d'abord t'expliquer de quoi il s'agit !
Pour les esprits chagrins (d'hier) qui n'avaient pas d'œuf à faire cuire, ou qui ont raté sa cuisson et par là même l'entraînement du Lotus Rouge, ou encore qui n'ont pas réussi à coucher les enfants, ou (ce qui se passe le plus souvent) n'ont tout simplement pas pu convaincre leur femme de cacher la fève dans sa frangipane (je la vois d'ici t'envoyer chier avec son "et mon cul, c'est du poulet ?")… ne vous tourmentez pas, nous avons prévu un plan B !
Voici de quoi te détendre en appliquant à la lettre les conseils qui suivent.
1- Prends ta souris, pose la où tu veux sur l'image.
2- Clique et, SANS LÂCHER LE BOUTON, glisse la souris, ou bien sur la droite, ou bien sur la gauche, ou bien vers le haut, ou bien vers le bas… carrément où tu veux.
3- Arrivé au bout de ton glissement, lâche tout et mate.
4- Cache ta joie et méfie-toi de l'effet essuie-glace sur ta tête ou sur tes yeux, ta femme ou tes collègues peuvent s'en apercevoir.
A toi de jouer, roi du mulot.
Pour les esprits chagrins (d'hier) qui n'avaient pas d'œuf à faire cuire, ou qui ont raté sa cuisson et par là même l'entraînement du Lotus Rouge, ou encore qui n'ont pas réussi à coucher les enfants, ou (ce qui se passe le plus souvent) n'ont tout simplement pas pu convaincre leur femme de cacher la fève dans sa frangipane (je la vois d'ici t'envoyer chier avec son "et mon cul, c'est du poulet ?")… ne vous tourmentez pas, nous avons prévu un plan B !
Voici de quoi te détendre en appliquant à la lettre les conseils qui suivent.
1- Prends ta souris, pose la où tu veux sur l'image.
2- Clique et, SANS LÂCHER LE BOUTON, glisse la souris, ou bien sur la droite, ou bien sur la gauche, ou bien vers le haut, ou bien vers le bas… carrément où tu veux.
3- Arrivé au bout de ton glissement, lâche tout et mate.
4- Cache ta joie et méfie-toi de l'effet essuie-glace sur ta tête ou sur tes yeux, ta femme ou tes collègues peuvent s'en apercevoir.
A toi de jouer, roi du mulot.
10 janvier 2007
Le cuistot de la semaine, Henri IV et les rois Mages
Faute de temps pour aller à la chasse ou faute de chevreuils, Guigui est descendu au poulailler avec sa Winchester .243 équipée de lunette à visée nocturne et il a décanillé quelques poules pour le premier repas de l'année 2007.
Excellente idée ! Amis Archiball, attention les méninges ! La poule au pot concoctée par Guigui est l'occasion pour nous de répondre définitivement à une des plus anciennes questions qui taraudent l'humanité : qui de la poule et de l'œuf est arrivé en premier ?
Si l'on considère le problème au sens cartésien, on arrive rapidement aux deux conclusions suivantes : premièrement on va laisser ces pauvres poules pondre en paix et deuxièmement on va continuer de manger des œufs sans se poser de question…
Allons donc plus loin dans l'analyse de la question. On trouve alors deux protagonistes ; un œuf pondu et une poule pondeuse ; et une relation un peu compliquée qui dit qu'une poule pondeuse pond des œufs qui une fois pondus donneront à leur tour des poules pondeuses. Et vice versa et inversement et réciproquement. Bref là aussi c'est compliqué.
Faisons plus simple et prenons seulement la poule. On oublie l'œuf, on oublie qu'il y a un pondant et un pondu qui devient pondant. Donc cette poule, tout comme la plupart des animaux, a évolué au fil des âges. On sait aujourd'hui que les gallinacés descendent des dinosaures, on sait aussi que les dinosaures pondaient des œufs. Nous avons donc enfin la réponse : l'œuf est, par rapport à la poule, arrivé en premier…
Certains esprits chagrins vont maintenant demander qui du dinosaure ou de l'œuf est arrivé donc en premier ? Nous les invitons sans attendre à étudier la façon Tao de considérer l'œuf (et la poule). Ils découvriront non sans intérêt que derrière cette association se cache un rituel que l'on nomme l'entraînement du Lotus Rouge. (Esprit chagrin, clique ici après avoir fait cuire un œuf dur, couché les enfants et proposé à ta femme de cacher ta fève dans la caverne de Jade ! Et de la poule, jaillira le bon bouillon…)
On récapitule : Guillaume a attrapé une dizaine de poules, les a mises au pot rempli d'eau, y a fourré quelques carottes et a laissé cuire un moment, un bon moment : pour une poule, il faut ce qu'il faut. Le soir venu, Guigui nous sert le bouillon suivi de sa poule carottée et accompagnée de riz qui ne colle pas. Le fromage fait son apparition à l'heure du fromage, ça tombe bien et enfin, nous eûmes le plaisir de partager la galette des rois, tous excités à l'idée de suçotter la fève. Heureux furent les rois au juste nombre de trois : Jacques le boucher, le Général et Pardigon Jr.
Le jury fait de Pardigon Sr., Jean-Phi S., Lafée, Yann L., Yves M. et Lolo accordent le 12 pour ce passage en revue royal allant de Henri IV en passant par les Mages. A ce sujet, la poule-au-pot c'est Henri IV, mais le riz, c'est vrai que c'est Henri du Riz ?
Pardigon Jr. tenant sa fève qu'il ne faut pas confondre avec Dudu derrière…
Le Général, qui a hésité un moment à avaler sa fève pour ne pas avoir à porter cette couronne ridicule.
Les nouveaux taverniers à qui nous souhaitons que l'affaire soit plate, car la plate bande et à leur âge, ils en ont besoin (merci Pepe, je t'avais promis de la placer).
Ce que le barde (à 49 ans pile poil et plume) en dit :
Les arômes
de ta poule
ô Guillaume
nous saoulent
Tu la fis
hier tantôt
à l’envie
et au pot.
Au trou
la poule
s’ébroue
et roucoule,
mais au pot,
sans plumes,
son écot
est posthume
Le sot-l’y-
Laisse, suave,
justifie
cet outrage,
et le riz,
le navet
par guigui
mitonnés
à la poule
fort marie
ourle leurs
broderies.
Ồ gendarme,
le poulet
va à dame
et refait
par la grâce
d’icelle
qu’enlace
la ficelle
il pleure
son croupion
son p’tit bonheur
de fion.
Faire la nique
au poulet
quelle éthique
brigadier !
Le pot au
trou, voilà,
le plus beau
des holà.
06 janvier 2007
Le 9 janvier : soyez fin prêts
Le 9 janvier, c'est la reprise ! Vous avez tous eu le magnifique ballon Archiball, c'est le moment de le gonfler…
04 janvier 2007
Nouvelle équipe
L'occasion pour nous de rendre hommage, sous l'implusion de Guigui, à l'ancienne équipe. Et pour cause, nous nous joignons à l'Union démocratique bretonne qui mène un combat pour soutenir l'appellation vin breton : "Breizh Gwin Gwen" (Vin Blanc Breton). L'initiative de deux vignerons de Loire-Atlantique d'appeler leur muscadet « vin breton » et d'apposer sur leurs bouteilles une étiquette bilingue (français- breton) mérite d'être saluée. De là à penser qu'il y a un rapport entre notre "Gwen" et le "Gwen", mot breton signifiant vin, le raccourci est facile. Ceci pourra aussi faire taire une vieille rumeur qui prétendait que Gouine (ou Gwin) était le féminin de Gwen, alors que le feminin de Yannick – également d'origine bretonne – est bien Yannick.
03 janvier 2007
Ode aux castors pour la nouvelle année 2007
Petit, le barde qui n'avait pas encore sa barbe, avait une trouille bleue du Père Noël, comme en témoigne cette photo dénichée dans ses archives.
Devenu grand, avec une barbe et une haute fonction publique, il exigea son arrestation et ce fut chose faite.
En attendant, il reprend sa plume et sa lyre pour grosso modo nous souhaiter la bonne année :
Mes castors ruisselants, mes muses, ô mes semblables,
Avez-vous, primesautiers, bien commencer l’année ?
Et repus, fiers et forts, loin des bouges surannés
Invectivé les dieux, ces gueux si raisonnables ?
Car païens nous serons face à l’aube nouvelle
Dédaignant la morale et toutes ces foutaises
Nous chasserons l’ennui et son lot de fadaises
Qui empoisonnent la vie et les ardeurs rebelles
Nous lèverons des verres, nous laminerons les troupes
Que de piètres stratèges auront mis sur nos routes
Nous irons bouter hors l’écossais sur ses terres
Et démantibulerons le radis par l’arrière
Que Loulou nous conduise, hirsutes et magnifiques,
Sur des chemins coupables, vierges et oniriques
Où nous ferons la nique à tous ces pisse-vinaigre
A l’horizon si fade et l’espoir si maigre
Mes castors ruisselants, mes rongeurs, mes frères,
Mes vœux vous accompagnent et se veulent pêcheurs
Il faut au temps qui passe accorder nos faveurs
Et déjouer le train-train des vies trop ordinaires
Alors que c'est tellement plus simple de réunir les copines pour dire la même chose ! (Promis, l'année prochanie, ce sera écrit en braille…)
Devenu grand, avec une barbe et une haute fonction publique, il exigea son arrestation et ce fut chose faite.
En attendant, il reprend sa plume et sa lyre pour grosso modo nous souhaiter la bonne année :
Mes castors ruisselants, mes muses, ô mes semblables,
Avez-vous, primesautiers, bien commencer l’année ?
Et repus, fiers et forts, loin des bouges surannés
Invectivé les dieux, ces gueux si raisonnables ?
Car païens nous serons face à l’aube nouvelle
Dédaignant la morale et toutes ces foutaises
Nous chasserons l’ennui et son lot de fadaises
Qui empoisonnent la vie et les ardeurs rebelles
Nous lèverons des verres, nous laminerons les troupes
Que de piètres stratèges auront mis sur nos routes
Nous irons bouter hors l’écossais sur ses terres
Et démantibulerons le radis par l’arrière
Que Loulou nous conduise, hirsutes et magnifiques,
Sur des chemins coupables, vierges et oniriques
Où nous ferons la nique à tous ces pisse-vinaigre
A l’horizon si fade et l’espoir si maigre
Mes castors ruisselants, mes rongeurs, mes frères,
Mes vœux vous accompagnent et se veulent pêcheurs
Il faut au temps qui passe accorder nos faveurs
Et déjouer le train-train des vies trop ordinaires
Alors que c'est tellement plus simple de réunir les copines pour dire la même chose ! (Promis, l'année prochanie, ce sera écrit en braille…)
02 janvier 2007
Menez la vache au taureau
Commencons l'année 2007 par une étude très sérieuse publiée ici en anglais. Ci-dessous, la traduction française des bonnes questions, puisque qui dit bonnes questions, dit bonnes réponses.
2007 est l'année du cochon, profitez-en Mesdames et ne soyez pas mesquines, prenez la "totale" ! et bises aux deux premières "rangées"…
PS (ou UMP ? J -110) : la vidéo en haut n'a rien d'Archiball, c'est juste pour remonter le moral à notre chorale !
Que peut-on déduire de la nature sexuelle d’un joueur selon sa position sur le terrain ?
Les alliers et les arrières sont habituellement moins costauds mais en meilleure forme. Ils sont bons pour de longs rapports sexuels. Les joueurs des deux premières rangées sont plus forts mais en moins bonne forme. Ils sont juste bons à une bonne baise. Si vous voulez la totale, choisissez-vous un joueur de troisième ligne, un ouvreur ou des trois-quarts centre.
Je suis toujours sale et en sueur après avoir joué au rugby mais je n’ose pas rentrer chez moi avant de prendre une douche. Que puis-je faire ?
Inscrivez-vous dans un club de rugby (sic !). Tout le monde sera en sueur, sale et la plupart du temps ivre. Votre énergie sexuelle sera décuplée après avoir joué pendant 80 minutes sur le terrain. Le sexe et le rugby sont pareils. Ca ne peut pas être amusant si ce n’est pas un peu sale.
Comment draguer un joueur de rugby ?
Offrez-lui une bière, soyez gentil et dites-lui à quel point vous aimez qu’il soit sale. Et ne soyez pas prétentieux, les rugbymen détestent ça.
01 janvier 2007
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