20 janvier 2007

19 janvier 2007 : Radis Noirs vs Archiball

Les castors débutent bien l’année
Nous étions nombreux à Musard, en ce vendredi 19 janvier au soir pour tâter du Radis Noir. Nombreux aussi les supporters. Tout avait bien mal commencé : point de nouveaux maillots. La faute à qui ? La faute à personne et, pourtant, à tout le monde. Désormais, géographie oblige, Bruno L. et le Barde s’y colleront. Les castors revêtirent, pour l’occasion, leur ancienne tenue. Ils surent honorer leurs valeureux ancêtres puisqu’ils eurent raison des Radis, noirs en la circonstance.

Deux équipes, deux jeux. Devant pour les Radis Noirs, devant et derrière pour les castors. Moralité, on n’est bon devant que si on l’est aussi derrière. C’est donc fort justement que l’équipe la plus complète l’emporta. Le combat fut âpre, farouche, grandiose. Dès les premières minutes, malgré une domination stérile de leurs adversaires, on savait que le trophée avait toutes les chances de regagner le trou à rats après quelques années d’abstinence. Jérôme B. confirmait ce pressentiment en inscrivant un essai d’ailier après un service au cordeau de l’incomparable, du divin Titi. Vainement, les radis remettaient leur ouvrage. Et sur une inspiration de trois-quart, Yann L., auteur d’un match énorme, considérable, gigantesque, servait Titi (encore lui) qui filait entre les barres. Sur la touche, notre coach vénéré frétillait. Mais le Radis refaisait surface et revenait au score par l’inévitable Dédé B. La première des trois mi-temps était sifflée sur un score de parité.

Début de deuxième mi-temps : le scénario ne bougea pas d’un pouce. Encore que la vigueur des avants des Radis s’émoussait quelque peu. Et c’est Titi qui s’arrachait des griffes de ses rivaux, rutilant et superbe, pour donner un avantage mérité à ses fiers partenaires. Passeur décisif et inlassable franchisseur des lignes ennemies, notre Titi titillait les sommets. Devant, les plaquages pleuvaient. Il était dit que le Radis ne passerait pas ou peu. Car Dédé B. parvint une fois de plus à inscrire un essai. N’importe, telle une antilope, Toto pris la poudre d’escampette, et au nez et à la barbe des hommes en noir, il pointa derrière la ligne d’en-but. 4 à 3 à la fin d’une seconde mi-temps où l’équipe des Archiballs avait été pourtant sérieusement remaniée.

La troisième mi-temps, avec une ligne de trois-quarts inédite, Jean-Pierre C. et Garcimore au centre, ne changea rien. D’emblée, Toto signait un essai de filou qui brisait les rêves de victoire des Radis. Certes, ils marquèrent un essai d’avant. Mais l’issue ne faisait plus de doute. Une ultime envolée des Radis se brisait sur la défense des Castors et l’incontournable Fonfon sifflait la fin du match. Le général, éprouvé, ému, brisé, fondait en larmes.
Tous les Castors sont à féliciter pour cette belle entrée en matière. Deux castors d’or : un devant  pour Yann L. et un derrière pour Titi P. La suite au prochain numéro. A noter : le retour de l’avocat, Patrick T (c'est lui, juste au-dessus, au cas où certains ne se souviennent plus de sa trombine). A mardi au trou pour fêter le trophée. Et que le cul vous pèle.

Les deux cators d'or, l'un fait le beau, l'autre fait le vide !

Les discours d'après match…

5 commentaires:

Anonyme a dit…

comme dab ça marche pas

Anonyme a dit…

t'es quoi toi?

Anonyme a dit…

moi

Anonyme a dit…

C'est l'amiral qui râle !?

Anonyme a dit…

Non, c'est pas moi; car moi je m'annonce, moi, môssieur. Et de plus je ne risque pas de critiquer, vu que je trouve sensass, ce que vous faites ... DONT ACTE !!!!!