La pignole du Barde
Tome 1 : Thomières le tommy
Les tomettes d’un tommy sont-elles les tomes d’un livre inconnu ? Thomières, dont la nonchalance feinte dissimule l’âme d’un guerrier est un tommy, un soutier. Mais pourquoi évoquer les tomettes. Parce qu’il ne saurait y avoir de bon tommy sans tommettes. La raison : on ne fait pas de bonnes omelettes sans casser des œufs. Comprenne qui voudra mais s’il est une chose certaine, c’est qu’il n’est pas besoin d’être thomiste pour percer un mystère qui n’est qu’apparent.
Tome 2 : Thomisme à la thomières
Thom n’est pas un petit homme. Ni par la taille ni par l’âme. La taille, cela se voit. Pas l’âme. Au grand dam des ânes de toute sorte, j’affirme haut et fort qu’il a une grande âme Thom. Pour preuve : cette manière de ne pas y toucher qui touche beaucoup. Cela ne s’invente pas ; seuls les prédestinés y prétendent ; Thom en est bien sûr et ce n’est pas Blaise (Pascal) qui me démentira. En somme, il vaut mieux être janséniste que thomiste. D’ailleurs, le Blaise écrit : « La vertu d’un homme ne doit pas se mesurer à ses efforts mais à son ordinaire. » Au passage, crucifions ce con de La Bruyère qui osa prétendre que « les grands n’ont pas d’âme ».
Tome 3 : L’atome Thom
« Mieux vaut un Thom at home que pas de Thom du tout. » Quel est le bouffon qui a écrit une chose pareille ? Lolo, Loulou, ce gnou de Yannick ce balbuzard de Perdigue ou cette pibale de Lapébie ? Je l’ignore mais il faut être vraiment sot pour ne pas voir que l’at home de Thom est partout, ou si l’on préfère, l’atome Thom est universel. En somme Thom est l’incarnation du postulat de Torga : « l’universel, c’est le local moins les murs ».
Le dernier tome : Thom le thaumaturge
Nul tour de passe-passe dans ces arguties, croyez le bien. Le thaumaturge Thom veille au grain et se reconnaîtra dans ces trois tomes.
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